La tournure «problématique et endémique» que prend certaines maladies qui sévissent en permanence dans la vallée du fleuve Sénégal et les profits que le Sénégal peut tirer des Tic, notamment favoriser la création d'emplois dans le secteur agricole en exploitant de manière «plus optimisée» les opportunités qu’ils offrent, ont été au menu d’une conférence organisée hier à Dakar par l’Académie national des sciences et techniques du Sénégal (Ansts), dans le cadre des rencontres qu’organise chaque dernier vendredi du mois.
Gilles Riveau, directeur du Centre biomédical de la santé de Saint-Louis, a qualifié de «problématique et endémique» certaines maladies qui sévissent en permanence dans la vallée du fleuve Sénégal. De l’avis de Gilles Riveau, des populations dans ces zones sont toujours en proie à des maladies telles que la tuberculose, la bilharziose ou d’autres pathologies. En vue de remédier à cette situation, il trouve que des efforts doivent être faits.
Et là, estime-t-il, la technologie doit être prise en compte dans le traitement de ces maladies. Gilles Riveau souhaite également le développement de la recherche qui, souligne-t-il, est trop concentré à Dakar. Il animait hier, vendredi 27 février, une conférence axée sur «La recherche biomédicale : instrument complexe et empirique du développement durable». La présentation de Gilles Riveau est faite dans le cadre des rencontres qu’organise chaque dernier vendredi du mois, l’Académie national des sciences et techniques du Sénégal (Ansts).
Gilles Riveau, directeur du Centre biomédical de la santé de Saint-Louis, a qualifié de «problématique et endémique» certaines maladies qui sévissent en permanence dans la vallée du fleuve Sénégal. De l’avis de Gilles Riveau, des populations dans ces zones sont toujours en proie à des maladies telles que la tuberculose, la bilharziose ou d’autres pathologies. En vue de remédier à cette situation, il trouve que des efforts doivent être faits.
Et là, estime-t-il, la technologie doit être prise en compte dans le traitement de ces maladies. Gilles Riveau souhaite également le développement de la recherche qui, souligne-t-il, est trop concentré à Dakar. Il animait hier, vendredi 27 février, une conférence axée sur «La recherche biomédicale : instrument complexe et empirique du développement durable». La présentation de Gilles Riveau est faite dans le cadre des rencontres qu’organise chaque dernier vendredi du mois, l’Académie national des sciences et techniques du Sénégal (Ansts).