En provenance de Birmanie, le navire Ocean Princess devait accoster à Lomé après un passage en Guinée. À son bord, 14 000 tonnes de riz indien et 22 000 tonnes de riz birman. Une partie de la cargaison a pu être débarquée en Guinée puisqu’étant consommable. Il s’agit du riz indien. Le riz en provenance de Yangon (Myanmar), en Birmanie, n’a pu être accepté par l’opérateur économique guinéen à qui il était destiné.
Selon les informations recueillies par nos confrères de Dakaractu, seules 3 900 tonnes du riz birman sur les 22 000 en cale ont été débarquées. Le navire a poursuivi son chemin et croyait pouvoir trouver preneur au Togo.
Arrivé au port de Lomé le 06 janvier dernier, les autorités togolaises se sont opposées au débarquement de la marchandise. L’affaire a fait scandale au pays de Faure Essozimna Gnassingbé et le ministre de l’Agriculture a adressé une note au Directeur du port pour interdire le déchargement d’Ocean Princess au motif que la documentation fournie par le navire était non conforme à la réglementation phytosanitaire en vigueur au Togo. Le navire a ainsi quitté les eaux togolaises le 21 janvier.
La cargaison a été débarquée au port d’Abidjan. Cependant, la marchandise n’est pas prête d’être écoulée et pour cause. Les autorités ivoiriennes ont pris toutes les précautions d’usage pour éviter à la population une intoxication.
Pour ce faire, des échantillons de ce riz, pour l’heure sous douane, ont été prélevés pour des analyses exhaustives, a assuré le ministre ivoirien du Commerce qui était en visite au port d’Abidjan ce 19 mars. Selon Kaladji Fadiga, ils prendront le soin de détruire, au frais de l’opérateur toute la cargaison si les résultats des analyses ne sont pas concluants. C’est dire qu’il est improbable que ce riz termine sa course au Sénégal.
Par ailleurs, il a été allégué qu’un proche de Olam Guinée serait le propriétaire de la cargaison en question. Votre site a consulté le site d’Olam International et une section Guinée n’y est pas visible. Nous aurons la confirmation de Olam Senegal qui, dans la même veine, nie attendre une cargaison en provenance de Birmanie.
NDARINFO.COM
Selon les informations recueillies par nos confrères de Dakaractu, seules 3 900 tonnes du riz birman sur les 22 000 en cale ont été débarquées. Le navire a poursuivi son chemin et croyait pouvoir trouver preneur au Togo.
Arrivé au port de Lomé le 06 janvier dernier, les autorités togolaises se sont opposées au débarquement de la marchandise. L’affaire a fait scandale au pays de Faure Essozimna Gnassingbé et le ministre de l’Agriculture a adressé une note au Directeur du port pour interdire le déchargement d’Ocean Princess au motif que la documentation fournie par le navire était non conforme à la réglementation phytosanitaire en vigueur au Togo. Le navire a ainsi quitté les eaux togolaises le 21 janvier.
La cargaison a été débarquée au port d’Abidjan. Cependant, la marchandise n’est pas prête d’être écoulée et pour cause. Les autorités ivoiriennes ont pris toutes les précautions d’usage pour éviter à la population une intoxication.
Pour ce faire, des échantillons de ce riz, pour l’heure sous douane, ont été prélevés pour des analyses exhaustives, a assuré le ministre ivoirien du Commerce qui était en visite au port d’Abidjan ce 19 mars. Selon Kaladji Fadiga, ils prendront le soin de détruire, au frais de l’opérateur toute la cargaison si les résultats des analyses ne sont pas concluants. C’est dire qu’il est improbable que ce riz termine sa course au Sénégal.
Par ailleurs, il a été allégué qu’un proche de Olam Guinée serait le propriétaire de la cargaison en question. Votre site a consulté le site d’Olam International et une section Guinée n’y est pas visible. Nous aurons la confirmation de Olam Senegal qui, dans la même veine, nie attendre une cargaison en provenance de Birmanie.
NDARINFO.COM