L’impératif sanitaire face aux préoccupations économiques ? Concilier ce dilemme planétaire dans une approche attentive à la fois aux vulnérabilités socioéconomiques et à la progression de la pandémie, reflète une perception empathique résultant d’une proximité sociale altruiste. Mourir du coronavirus ou mourir de faim ?
Allons trouver la réponse dans notre vécu identitaire fondamentalement basé sur la solidarité. La tradition de solidarité perpétuée depuis des générations, inscrit dans notremémoire collective une vertu jaillie des profondeurs de la nation sénégalaise. Transcendant le genre, l’âge, les ethnies, les terroirs et les religions, la solidarité comme composante essentielle de notre commune volonté de vivre ensemble, fait de chaque individu, le parent de l’autre.
La solidarité est une richesse sociale, un attribut de la démocratie, une recommandation divine. Elle renforce le confort moral national, efface les inégalités et les suspicions, complète les insuffisances, accompagne, console, élève et procure du bonheur là où la solitude, la déception ou la précarité allaient installer le malheur ou la tristesse. L’aide alimentaire pour appuyer la résilience sociale, l’appui aux entreprises impactées pour assurer la production et sauver les emplois, obéit à cette morale de solidarité et d’assistance mutuelle qui incombe à chaque citoyen mais aussi à l’Etat.
Au plan économique, la solidarité avec les acteurs s’est traduite par un soutien financier conséquent aux différents secteurs, l’allègement des restrictions imposées à certaines activités comme le transport, l’hôtellerie et la restauration, la modification des horaires des marchés, permettant la relance économique afin de freiner la dégringolade de notre Produit Intérieur Brut.
Au plan social, lever l’état d’urgence et le couvre feu, alléger les mesures restrictives de liberté, ouvrir les écoles pour les classes d’examen viennent renforcer l’appui alimentaire important alloué aux couches vulnérables pour amoindrir les chocs pandémiques.
Au plan sanitaire, l’impact négatif des mesures d’allégement peuvent induire des craintes de propagation rapide de la maladie dont l’atténuation ne pourra venir que du respect des règles préventives édictées par les autorités médicales. Telle est la substance du discours du Président Macky : la responsabilité collective et individuelle, à savoir le port du masque, la distanciation physique, la réduction des déplacements non essentiels, le lavage régulier des mains, avec pour finalité la maitrise de la pandémie puis son éradication.
Inédit en Afrique par son ampleur et sa consistance, le programme d’appui alimentaire à la résilience sociale, objet de doutes et de critiques sur sa pertinence et sa faisabilité, reçoit aujourd’hui reconnaissance et considération de la part des millions de bénéficiaires. Il est à noter qu’au regard des normes internationales admises en matière de gestion de la manutention, le rythme d’acheminement des denrées est plus que satisfaisant ( Demander le colonel Moussa Bayo Expert en logistique ) . Malgré les contraintes opérationnelles (ramadan, rareté de la main d’œuvre, disponibilité des camions, intempéries et couvre feu), toutes les 14 régions sont complètement servies.
L’opération réussie par la volonté du TOUT PUISSANT, suscite étonnement et admiration tant son ampleur et sa consistance présageaient des difficultés insurmontables.
Dans et hors du pays, des commentaires très favorables nous parviennent pour magnifier la grande générosité du Chef de l’État envers ses compatriotes potentiellement exposés à la pandémie et aussi l’engagement responsable du Ministre Mansour FAYE en charge de la distribution des kits alimentaires, qui a su allier efficacité et humilité.
Ce dernier offre une surprenante facette de sa personnalité imbue d’humilité et de générosité, d’engagement et de dévouement, parcourant les terroirs, portant des sacs de riz nonobstant son statut de Ministre de la République. Cette même disponibilité patriotique des personnels civils et militaires engagés dans cette opération, ne pouvait et ne devait produire que succès et satisfaction.
Le choix des denrées au lieu d'envoyer de l'argent aux bénéficiaires par voies électroniques n’échappe pas à la critique. Cette question est souvent agitée en faisant une comparaison avec la Cote d'Ivoire un pays amis dont nous respectons les choix. Certains détracteurs affirment même que les populations n'ont pas uniquement besoin de denrées et que l'argent leur permettrait de satisfaire des besoins non alimentaires.
Des facteurs objectifs motivent ce choix: la connexion électronique est-elle disponible dans toutes les localités ? Les surcouts inhérents aux paiements électroniques pour 1.000.000 de transferts à raison de 2.600 FRS l’unité coutent 2.600.000.000 FRS. Cette somme dépasse de tres loin la location des camions et la manutention. L'option des denrées et leur transport a fait travailler plusieurs personnes pour les opérations de chargement et de déchargement.
De toute façon aucune option ne serait exempte de critiques ; alors autant adopter la philosophie du père et de son fils qui utilisèrent leur âne selon leur convenance, un étant persuadés que toute forme d’utilisation peut etre critiquable, la perfection n’étant pas de ce monde.
« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu ». Appeler ses compatriotes à vivre en présence du virus dans des comportements responsables était conforme aux attentes des citoyens . Et le Président Macky SALL apporta la meilleure des réponses aux aléas naturels et aux conjonctures socio-économiques, pour cheminer vers l’émergence.
Ibrahima DIAO
Coordonnateur APR de la Commune de FASS NGOM
Allons trouver la réponse dans notre vécu identitaire fondamentalement basé sur la solidarité. La tradition de solidarité perpétuée depuis des générations, inscrit dans notremémoire collective une vertu jaillie des profondeurs de la nation sénégalaise. Transcendant le genre, l’âge, les ethnies, les terroirs et les religions, la solidarité comme composante essentielle de notre commune volonté de vivre ensemble, fait de chaque individu, le parent de l’autre.
La solidarité est une richesse sociale, un attribut de la démocratie, une recommandation divine. Elle renforce le confort moral national, efface les inégalités et les suspicions, complète les insuffisances, accompagne, console, élève et procure du bonheur là où la solitude, la déception ou la précarité allaient installer le malheur ou la tristesse. L’aide alimentaire pour appuyer la résilience sociale, l’appui aux entreprises impactées pour assurer la production et sauver les emplois, obéit à cette morale de solidarité et d’assistance mutuelle qui incombe à chaque citoyen mais aussi à l’Etat.
Au plan économique, la solidarité avec les acteurs s’est traduite par un soutien financier conséquent aux différents secteurs, l’allègement des restrictions imposées à certaines activités comme le transport, l’hôtellerie et la restauration, la modification des horaires des marchés, permettant la relance économique afin de freiner la dégringolade de notre Produit Intérieur Brut.
Au plan social, lever l’état d’urgence et le couvre feu, alléger les mesures restrictives de liberté, ouvrir les écoles pour les classes d’examen viennent renforcer l’appui alimentaire important alloué aux couches vulnérables pour amoindrir les chocs pandémiques.
Au plan sanitaire, l’impact négatif des mesures d’allégement peuvent induire des craintes de propagation rapide de la maladie dont l’atténuation ne pourra venir que du respect des règles préventives édictées par les autorités médicales. Telle est la substance du discours du Président Macky : la responsabilité collective et individuelle, à savoir le port du masque, la distanciation physique, la réduction des déplacements non essentiels, le lavage régulier des mains, avec pour finalité la maitrise de la pandémie puis son éradication.
Inédit en Afrique par son ampleur et sa consistance, le programme d’appui alimentaire à la résilience sociale, objet de doutes et de critiques sur sa pertinence et sa faisabilité, reçoit aujourd’hui reconnaissance et considération de la part des millions de bénéficiaires. Il est à noter qu’au regard des normes internationales admises en matière de gestion de la manutention, le rythme d’acheminement des denrées est plus que satisfaisant ( Demander le colonel Moussa Bayo Expert en logistique ) . Malgré les contraintes opérationnelles (ramadan, rareté de la main d’œuvre, disponibilité des camions, intempéries et couvre feu), toutes les 14 régions sont complètement servies.
L’opération réussie par la volonté du TOUT PUISSANT, suscite étonnement et admiration tant son ampleur et sa consistance présageaient des difficultés insurmontables.
Dans et hors du pays, des commentaires très favorables nous parviennent pour magnifier la grande générosité du Chef de l’État envers ses compatriotes potentiellement exposés à la pandémie et aussi l’engagement responsable du Ministre Mansour FAYE en charge de la distribution des kits alimentaires, qui a su allier efficacité et humilité.
Ce dernier offre une surprenante facette de sa personnalité imbue d’humilité et de générosité, d’engagement et de dévouement, parcourant les terroirs, portant des sacs de riz nonobstant son statut de Ministre de la République. Cette même disponibilité patriotique des personnels civils et militaires engagés dans cette opération, ne pouvait et ne devait produire que succès et satisfaction.
Le choix des denrées au lieu d'envoyer de l'argent aux bénéficiaires par voies électroniques n’échappe pas à la critique. Cette question est souvent agitée en faisant une comparaison avec la Cote d'Ivoire un pays amis dont nous respectons les choix. Certains détracteurs affirment même que les populations n'ont pas uniquement besoin de denrées et que l'argent leur permettrait de satisfaire des besoins non alimentaires.
Des facteurs objectifs motivent ce choix: la connexion électronique est-elle disponible dans toutes les localités ? Les surcouts inhérents aux paiements électroniques pour 1.000.000 de transferts à raison de 2.600 FRS l’unité coutent 2.600.000.000 FRS. Cette somme dépasse de tres loin la location des camions et la manutention. L'option des denrées et leur transport a fait travailler plusieurs personnes pour les opérations de chargement et de déchargement.
De toute façon aucune option ne serait exempte de critiques ; alors autant adopter la philosophie du père et de son fils qui utilisèrent leur âne selon leur convenance, un étant persuadés que toute forme d’utilisation peut etre critiquable, la perfection n’étant pas de ce monde.
« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont le temps est venu ». Appeler ses compatriotes à vivre en présence du virus dans des comportements responsables était conforme aux attentes des citoyens . Et le Président Macky SALL apporta la meilleure des réponses aux aléas naturels et aux conjonctures socio-économiques, pour cheminer vers l’émergence.
Ibrahima DIAO
Coordonnateur APR de la Commune de FASS NGOM