RUPTURE où CHAOS : Le dernier avertissement sénégalais !
Qui sait si l’impérieuse nécessité de rupture n’est pas la dernière chance pour la démocratie sénégalaise ? Les assises nationales, en adoptant le régime parlementaire, concluait déjà sur un coup d’Etat institutionnel. Suivra le 23 Juin 2011, date à laquelle la révolte de la nouvelle citoyenneté mettra fin à la dévolution monarchique.
Certes le Président WADE est parti, mais l’hyper-présidentialisme demeure. Vive la république des copains et des coquins, illustrée par des nominations parfois fantaisistes. Vive l’instrumentalisation de la justice par des audits à la carte, avec comme corollaire l’impunité des nouveaux dirigeants coresponsables du bilan tant décrié du régime de l’alternance. Vive le pillage des deniers publics avec les fonds politiques qui continuent d’être dépensé sans déclaration et sans contrôle, ni du Parlement, ni même de la Cour des comptes. Vive la campagne déguisée avec un gouvernement qui multiplie les promesses, en centaines de milliards et sur plusieurs années, sans adopter la moindre loi de finance.
Bref. Sénégalaises, Sénégalais, nouvelle citoyenneté, rien n’a fondamentalement changé. Plus que les animateurs, c’est l’architecture institutionnelle elle-même qu’il faut révolutionner en brisant l’hyper-présidentialisme. Entre régime présidentiel et régime parlementaire, le débat n’est pas tranché ; pour sûr le Sénégal ne décollera jamais avec la concentration abusive de tous pouvoirs entre les mains d’un hyper-président, fût-il volontariste et/ou visionnaire. L’avenir nous édifiera.
Pour un soutien critique.
M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP / Thiès.
Toutes mes publications citoyennes sur :
1°) www.dakaractu.com ;
2°) www.lvdps.info ;
3°) www.ndarinfo.com
Il suffit de rechercher : « momar idrissa ndiaye » avec le moteur de recherche interne de ces trois (3) sites merveilleux.
Qui sait si l’impérieuse nécessité de rupture n’est pas la dernière chance pour la démocratie sénégalaise ? Les assises nationales, en adoptant le régime parlementaire, concluait déjà sur un coup d’Etat institutionnel. Suivra le 23 Juin 2011, date à laquelle la révolte de la nouvelle citoyenneté mettra fin à la dévolution monarchique.
Certes le Président WADE est parti, mais l’hyper-présidentialisme demeure. Vive la république des copains et des coquins, illustrée par des nominations parfois fantaisistes. Vive l’instrumentalisation de la justice par des audits à la carte, avec comme corollaire l’impunité des nouveaux dirigeants coresponsables du bilan tant décrié du régime de l’alternance. Vive le pillage des deniers publics avec les fonds politiques qui continuent d’être dépensé sans déclaration et sans contrôle, ni du Parlement, ni même de la Cour des comptes. Vive la campagne déguisée avec un gouvernement qui multiplie les promesses, en centaines de milliards et sur plusieurs années, sans adopter la moindre loi de finance.
Bref. Sénégalaises, Sénégalais, nouvelle citoyenneté, rien n’a fondamentalement changé. Plus que les animateurs, c’est l’architecture institutionnelle elle-même qu’il faut révolutionner en brisant l’hyper-présidentialisme. Entre régime présidentiel et régime parlementaire, le débat n’est pas tranché ; pour sûr le Sénégal ne décollera jamais avec la concentration abusive de tous pouvoirs entre les mains d’un hyper-président, fût-il volontariste et/ou visionnaire. L’avenir nous édifiera.
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M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP / Thiès.
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