Représentant des pays francophones parmi lesquels on peut notamment citer le Burkina Faso, le Cameroun, la Rd Congo, la République de Guinée, le Mali, le Sénégal et le Niger, les participants auront l'occasion, pendant deux semaines, de renforcer leurs capacités sur les opérations récolte et post-récolte du riz et de valider le curriculum développé dans ce sens.
La cérémonie officielle d'ouverture de cet atelier organisé avec l'appui de l'Agence Canadienne de Développement International (Acdi) et du Fonds International de Développement Agricole (Fida), s'est déroulée dans les locaux d'Africa Rice à Ndiayes, en présence du représentant de la Saed, Seyni Ndao, de la présidente de la fédération des productrices du delta (Feprodes), Mme Penda Gueye Cissé.
Dr Kabirou Ndiaye a rappelé qu'Africa Rice a jugé nécessaire d'organiser cet atelier international après avoir constaté dans le secteur de la riziculture, les énormes pertes en récolte et stockage, les problèmes auxquels les producteurs sont régulièrement confrontés, relatifs à la compétitivité, à la rentabilité, à la valorisation de la production rizicole et des sous-produits, à l'insuffisance de connaissances appropriées et de personnel qualifié.
L'expert Jean Moreira d'Africa Rice a souligné qu'en décembre 2012, des experts en technologie de récolte et de post récolte, avec l'appui du consultant international Jean Beneist, ont développé ce curriculum sur les techniques de récolte et post-récolte destiné aux producteurs, aux industriels des pays membres d'Africa Rice. Ce curriculum doit être testé avant d'être validé par les participants.
Le directeur de la station régionale d'Africa Rice du Sahel, Dr Vincent Bado, a mis en exergue les énormes fortunes dépensées pour importer du riz en Afrique.
Si on veut passer de l'agriculture de subsistance à l'agriculture durable, il est nécessaire, de l'avis du Dr Bado, de maîtriser les opérations de récolte et de post-récolte, la mécanisation agricole (en particulier la mécanisation de la récolte) qui permet d'améliorer la productivité et la qualité du riz produit.
Cette formation participative et active, a-t-il précisé, permettra aux acteurs de la chaîne de valeur de plancher sur les principales techniques de décorticage, de séchage et d'étuvage du paddy. Ces derniers sont appelés à démultiplier les connaissances acquises dans leurs pays respectifs.
Mbagnick Kharachi Diagne
La cérémonie officielle d'ouverture de cet atelier organisé avec l'appui de l'Agence Canadienne de Développement International (Acdi) et du Fonds International de Développement Agricole (Fida), s'est déroulée dans les locaux d'Africa Rice à Ndiayes, en présence du représentant de la Saed, Seyni Ndao, de la présidente de la fédération des productrices du delta (Feprodes), Mme Penda Gueye Cissé.
Dr Kabirou Ndiaye a rappelé qu'Africa Rice a jugé nécessaire d'organiser cet atelier international après avoir constaté dans le secteur de la riziculture, les énormes pertes en récolte et stockage, les problèmes auxquels les producteurs sont régulièrement confrontés, relatifs à la compétitivité, à la rentabilité, à la valorisation de la production rizicole et des sous-produits, à l'insuffisance de connaissances appropriées et de personnel qualifié.
L'expert Jean Moreira d'Africa Rice a souligné qu'en décembre 2012, des experts en technologie de récolte et de post récolte, avec l'appui du consultant international Jean Beneist, ont développé ce curriculum sur les techniques de récolte et post-récolte destiné aux producteurs, aux industriels des pays membres d'Africa Rice. Ce curriculum doit être testé avant d'être validé par les participants.
Le directeur de la station régionale d'Africa Rice du Sahel, Dr Vincent Bado, a mis en exergue les énormes fortunes dépensées pour importer du riz en Afrique.
Si on veut passer de l'agriculture de subsistance à l'agriculture durable, il est nécessaire, de l'avis du Dr Bado, de maîtriser les opérations de récolte et de post-récolte, la mécanisation agricole (en particulier la mécanisation de la récolte) qui permet d'améliorer la productivité et la qualité du riz produit.
Cette formation participative et active, a-t-il précisé, permettra aux acteurs de la chaîne de valeur de plancher sur les principales techniques de décorticage, de séchage et d'étuvage du paddy. Ces derniers sont appelés à démultiplier les connaissances acquises dans leurs pays respectifs.
Mbagnick Kharachi Diagne