La production reste le principal défi à relever pour couvrir les besoins nationaux estimés à 900 000 tonnes, a affirmé Seyni Ndao, directeur du développement et de l’aménagement de la Société d’exploitation des terres du delta et de la Falémé (SAED) selon qui le riz local est aujourd’hui bien prisé par les Sénégalais.
M. Ndao tirait ainsi face à la presse le bilan de la semaine de travail initiée par la Coalition pour le développement de la riziculture en Afrique (CARD). Une structure mise en place lors du sommet regroupant les pays africains et le Japon (Tika) en 2008 dans l’optique de doubler la production rizicole en Afrique pour la porter, à partir de 2018, à 28 millions de tonnes par an.
Le riz local est compétitif par rapport à celui qui est importé, a indiqué Seyni Ndao, soulignant les efforts faits dans le domaine de la commercialisation avec une structure regroupant les producteurs et les commerçants ainsi que tous les acteurs de la filière pour faciliter l’écoulement de la production.
Cette production est cependant évaluée à environ 500 000 tonnes. Ce qui fait que le reste devra être importé avec tous les inconvénients que cela comporte en termes de sortie de devises ayant une incidence négative sur la balance des paiements.
Au Sénégal, des cadres locaux ont été installés dans les différentes zones agricoles pour être les relais de la CARD qui recommande l’augmentation des aménagements et de la fertilisation des sols, indique le responsable de la SAED.
La lutte anti-aviaire a été aussi recommandée pour impulser la production ainsi que l’amélioration de la qualité du riz, souligne M. Ndao, notant que le Japon a prévu dans cet objectif de doter une vingtaine de rizeries sénégalaises de machines.
Selon lui, ‘’notre pays a enregistré des avancées dans la production de riz et s’est fixé comme objectif l’autosuffisance en riz en 2015 avec le programme autosuffisance en riz et la Grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (GOANA)’’.
D’ailleurs, la production y a connu des progressions notables depuis l’avènement de la GOANA qui a permis de faire passer la production de 200 000 à environ 500 000 tonnes
M. Ndao tirait ainsi face à la presse le bilan de la semaine de travail initiée par la Coalition pour le développement de la riziculture en Afrique (CARD). Une structure mise en place lors du sommet regroupant les pays africains et le Japon (Tika) en 2008 dans l’optique de doubler la production rizicole en Afrique pour la porter, à partir de 2018, à 28 millions de tonnes par an.
Le riz local est compétitif par rapport à celui qui est importé, a indiqué Seyni Ndao, soulignant les efforts faits dans le domaine de la commercialisation avec une structure regroupant les producteurs et les commerçants ainsi que tous les acteurs de la filière pour faciliter l’écoulement de la production.
Cette production est cependant évaluée à environ 500 000 tonnes. Ce qui fait que le reste devra être importé avec tous les inconvénients que cela comporte en termes de sortie de devises ayant une incidence négative sur la balance des paiements.
Au Sénégal, des cadres locaux ont été installés dans les différentes zones agricoles pour être les relais de la CARD qui recommande l’augmentation des aménagements et de la fertilisation des sols, indique le responsable de la SAED.
La lutte anti-aviaire a été aussi recommandée pour impulser la production ainsi que l’amélioration de la qualité du riz, souligne M. Ndao, notant que le Japon a prévu dans cet objectif de doter une vingtaine de rizeries sénégalaises de machines.
Selon lui, ‘’notre pays a enregistré des avancées dans la production de riz et s’est fixé comme objectif l’autosuffisance en riz en 2015 avec le programme autosuffisance en riz et la Grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance (GOANA)’’.
D’ailleurs, la production y a connu des progressions notables depuis l’avènement de la GOANA qui a permis de faire passer la production de 200 000 à environ 500 000 tonnes