Vingt-deux (22) acteurs africains ont pris part à un atelier international de formation des formateurs sur la cartographie locale de la dynamique de vulnérabilité au VIH/SIDA dans cette partie du continent.
Ce conclave de haut niveau piloté par le Groupe interdisciplinaire de recherche pour l'appui à la planification régionale et au développement local (GIRADEL) regroupe des participants de la Cote d’Ivoire, de la Guinée Bissau, Conakry, du Niger et du Sénégal à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Au terme de ces sessions de deux semaines, les bénéficiaires parviennent à mesurer la taille des populations vulnérables en évoluant des services spécifiques correspondants.
« La prévalence est faible au niveau national, mais très élevée dans certains groupes vulnérables. Il s’agit des professionnelles du sexe, des hommes qui entretiennent des rapports sexuels avec leurs semblables, des utilisateurs de drogue par voie injectable, mais aussi des détenus », a renseigné le docteur Cheikh Tidiane NDOUR, chef de la division de lutte contre le SIDA et des IST au ministère de la Santé et de l’Action sociale
M. NDOUR évoque des difficultés à toucher ces populations en soutenant que la rencontre internationale permettra de réfléchir sur les moyens de lever ces contraintes à lutte cette épidémie.
>>> Les réactions des parties prenantes ...
Ce conclave de haut niveau piloté par le Groupe interdisciplinaire de recherche pour l'appui à la planification régionale et au développement local (GIRADEL) regroupe des participants de la Cote d’Ivoire, de la Guinée Bissau, Conakry, du Niger et du Sénégal à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis. Au terme de ces sessions de deux semaines, les bénéficiaires parviennent à mesurer la taille des populations vulnérables en évoluant des services spécifiques correspondants.
« La prévalence est faible au niveau national, mais très élevée dans certains groupes vulnérables. Il s’agit des professionnelles du sexe, des hommes qui entretiennent des rapports sexuels avec leurs semblables, des utilisateurs de drogue par voie injectable, mais aussi des détenus », a renseigné le docteur Cheikh Tidiane NDOUR, chef de la division de lutte contre le SIDA et des IST au ministère de la Santé et de l’Action sociale
M. NDOUR évoque des difficultés à toucher ces populations en soutenant que la rencontre internationale permettra de réfléchir sur les moyens de lever ces contraintes à lutte cette épidémie.
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