Dans un récent article avec un optimisme réaliste, nous suggérions au 4ième président du Sénégal élu confortablement d’assumer en toute responsabilité sa charge de premier Magistrat de ce pays en adéquation avec son fameux slogan « la patrie avant le parti » en misant sur le citoyen sénégalais afin de fonder une véritable république déjà mal fondée par notre premier
Président,
malmenée ensuite par ses deux successeurs dont le dernier qui l’a presque achevée.
S’il est difficile de faire un bilan au bout de six mois, nous pouvions au moins espérer des actes forts allant dans les directions :
- D’un Etat fort campé sur ses fonctions régaliennes
. Une justice réellement indépendante et crédible
. Une sécurité renforcée des personnes et des biens
. Une intégrité territoriale sans faille
. Une éducation publique qui donne la même chance de départ à tous les fils de ce pays
. Une santé publique performante et accessible à tous
- D’un nouveau leadership axé sur l’éthique
. Initier in nouveau comportement chez les sénégalais basé sur le travail comme unique source de richesse et le mérite pour toute promotion.
.Une lutte sans complaisance contre la corruption sous toutes ses formes
. Un recouvrement accéléré des biens mal acquis
- De la promotion d’un nouvel ordre économique national
.éliminer tous les rentiers de la « Respublica »
.casser tous les lobbies parasitaires (syndicats fantoches presses partisanes, marabouts affairistes)
.identifier et aider les véritables producteurs économiques (paysans, éleveurs, pêcheurs et jeûnes entrepreneurs)
Hélas au bout de six mois nous constatons un terrible immobilisme de la part de notre nouveau président pour ne pas parler d’un retour vers un passé récent symbolisé par la plupart de ses nominations à des postes de responsabilité : la famille, les partisans, les bailleurs occultes et la der, la nomination de l’ex directrice de l’APIX symbole achevé de la mégalomanie et du gaspillage du dernier « père des peuples»
Monsieur le Président, les sénégalais ne constituent pas un peuple à part béni de Dieu à l’abri de tout soubresaut comme le pensent certains, la chienlit qui s’installe après un match de football perdu, les casses pour obtenir la libération d’un détenu sont des signes annonciateur de chaos.
Monsieur le Président, l’heure est grave, le bateau Sénégal a plus que besoin d’un commandant de bord lucide et déterminé pour naviguer en pleine tempête.
Que Dieu vous éclaire et préserve notre patrie commune.
Mame Latyr Fall
Forum Civil Saint-Louis
Président,
malmenée ensuite par ses deux successeurs dont le dernier qui l’a presque achevée.
S’il est difficile de faire un bilan au bout de six mois, nous pouvions au moins espérer des actes forts allant dans les directions :
- D’un Etat fort campé sur ses fonctions régaliennes
. Une justice réellement indépendante et crédible
. Une sécurité renforcée des personnes et des biens
. Une intégrité territoriale sans faille
. Une éducation publique qui donne la même chance de départ à tous les fils de ce pays
. Une santé publique performante et accessible à tous
- D’un nouveau leadership axé sur l’éthique
. Initier in nouveau comportement chez les sénégalais basé sur le travail comme unique source de richesse et le mérite pour toute promotion.
.Une lutte sans complaisance contre la corruption sous toutes ses formes
. Un recouvrement accéléré des biens mal acquis
- De la promotion d’un nouvel ordre économique national
.éliminer tous les rentiers de la « Respublica »
.casser tous les lobbies parasitaires (syndicats fantoches presses partisanes, marabouts affairistes)
.identifier et aider les véritables producteurs économiques (paysans, éleveurs, pêcheurs et jeûnes entrepreneurs)
Hélas au bout de six mois nous constatons un terrible immobilisme de la part de notre nouveau président pour ne pas parler d’un retour vers un passé récent symbolisé par la plupart de ses nominations à des postes de responsabilité : la famille, les partisans, les bailleurs occultes et la der, la nomination de l’ex directrice de l’APIX symbole achevé de la mégalomanie et du gaspillage du dernier « père des peuples»
Monsieur le Président, les sénégalais ne constituent pas un peuple à part béni de Dieu à l’abri de tout soubresaut comme le pensent certains, la chienlit qui s’installe après un match de football perdu, les casses pour obtenir la libération d’un détenu sont des signes annonciateur de chaos.
Monsieur le Président, l’heure est grave, le bateau Sénégal a plus que besoin d’un commandant de bord lucide et déterminé pour naviguer en pleine tempête.
Que Dieu vous éclaire et préserve notre patrie commune.
Mame Latyr Fall
Forum Civil Saint-Louis