Après sa tournée d’imprégnation sur l’état des travaux de maintenance des ouvrages hydro-agricoles à Diawel, le directeur général de la SAED a visité des casiers du département de Podor.
Alassane BA a souligné le fort potentiel hydroagricole de la zone enrichi par le Fleuve Sénégal, le marigot du Doué et le Ngalenka. « Ces ressources hydrauliques doivent permettre de valoriser les 140 milles hectares que le département dispose pour aller résolument vers la souveraineté alimentaire », a-t-il déclaré.
Il a salué les périmètres réalisés avec le concours de la Koica, preuvre de la vitalité de la coopération entre le Sénégal et la République de Corée, ainsi que les nouvelles pratiques agricoles en cours d’expérimentation. « Cela montre qu’il y a de l’ambition », a-t-il dit.
Alassane BA a vivement déploré « les retards contrastés relatifs aux délais contractuels dans le cadre de la réalisation des périmètres irrigués ».
« Nous sommes très loin des délais. C’est inacceptable. Je le déplore fermement », a laissé entendre qui somme les entreprises de presser le pas. « Les populations sont dans des difficultés. Il faut que ces situations soient corrigées », a confié le DG.
Devant la faiblesse du taux de bancarisation noté dans la vallée qui n’est qu’à 30 %, la SAED s’engage à « renouer le lien entre La Banque Agricole et les producteurs afin que le financement bancaire soit assuré ».
Alassane BA a souligné le fort potentiel hydroagricole de la zone enrichi par le Fleuve Sénégal, le marigot du Doué et le Ngalenka. « Ces ressources hydrauliques doivent permettre de valoriser les 140 milles hectares que le département dispose pour aller résolument vers la souveraineté alimentaire », a-t-il déclaré.
Il a salué les périmètres réalisés avec le concours de la Koica, preuvre de la vitalité de la coopération entre le Sénégal et la République de Corée, ainsi que les nouvelles pratiques agricoles en cours d’expérimentation. « Cela montre qu’il y a de l’ambition », a-t-il dit.
Alassane BA a vivement déploré « les retards contrastés relatifs aux délais contractuels dans le cadre de la réalisation des périmètres irrigués ».
« Nous sommes très loin des délais. C’est inacceptable. Je le déplore fermement », a laissé entendre qui somme les entreprises de presser le pas. « Les populations sont dans des difficultés. Il faut que ces situations soient corrigées », a confié le DG.
Devant la faiblesse du taux de bancarisation noté dans la vallée qui n’est qu’à 30 %, la SAED s’engage à « renouer le lien entre La Banque Agricole et les producteurs afin que le financement bancaire soit assuré ».