Le Projet d’intensification eco-soutenable de l’agriculture dans les Niayes (Piesan) ambitionne de luttter contre l’insécurité alimentaire en promouvant la production horticole, a affirmé, vendredi, son coordonnateur, Tanor Meissa Dieng.
‘’Piesan est une réponse a l’insécurité alimentaire car il constitue un moyen de contribuer à l’amélioration de la production horticole pour assurer davantage la sécurité alimentaire’’, a-t-il lors de l’atelier régional de son lancement organisé à Saint-Louis.
Le projet financé par la coopération italienne en collaboration avec le gouvernement du Sénégal pour plus de 6 milliards de francs Cfa, sera déroulé dans dans quatre régions : Dakar, Thiès, Louga et Saint-Louis.
Il vise également à renforcer les activités dans les zone des Niayes, à faire face à la dégradation de l’’environnement de la zone et va aider à la création de l’emploi des jeunes, a expliqué son coordonnateur.
Il a assuré que le projet allait intervenir sur toute la chaine de valeur horticole depuis la production de semence jusqu’à la transformation de produits horticoles.
C’est un projet à fort impact économique positif à travers l’augmentation de la production partant des exportations du pays en produits horticoles, a fait valoir M. Dieng.
Il a ajouté que le projet allait promouvoir l’autonomie et la valorisation des femmes et les jeunes sur le plan économique.
L’adjoint du gouverneur de Saint-Louis chargé des affaires administratives, Khadim Hann, s’est, de son côté, réjoui du choix porté sur Saint-Louis parmi les bénéficiaires de la mise en œuvre de ce projet.
Ce projet qui a déjà choisi quinze communes dont Gandong et Ndiebene Gandiole pour le département de Saint-Louis, vise à répondre, non seulement au problème de l’insécurité alimentaire mais aussi de l’emploi des jeunes, s’est-il félicité.
Lors de la rencontre, les producteurs ont interpellé le coordonnateur sur des problèmes liés à la commercialisation, à l’affectation des terres et de l’électricité ont été soulignés.
APS
‘’Piesan est une réponse a l’insécurité alimentaire car il constitue un moyen de contribuer à l’amélioration de la production horticole pour assurer davantage la sécurité alimentaire’’, a-t-il lors de l’atelier régional de son lancement organisé à Saint-Louis.
Le projet financé par la coopération italienne en collaboration avec le gouvernement du Sénégal pour plus de 6 milliards de francs Cfa, sera déroulé dans dans quatre régions : Dakar, Thiès, Louga et Saint-Louis.
Il vise également à renforcer les activités dans les zone des Niayes, à faire face à la dégradation de l’’environnement de la zone et va aider à la création de l’emploi des jeunes, a expliqué son coordonnateur.
Il a assuré que le projet allait intervenir sur toute la chaine de valeur horticole depuis la production de semence jusqu’à la transformation de produits horticoles.
C’est un projet à fort impact économique positif à travers l’augmentation de la production partant des exportations du pays en produits horticoles, a fait valoir M. Dieng.
Il a ajouté que le projet allait promouvoir l’autonomie et la valorisation des femmes et les jeunes sur le plan économique.
L’adjoint du gouverneur de Saint-Louis chargé des affaires administratives, Khadim Hann, s’est, de son côté, réjoui du choix porté sur Saint-Louis parmi les bénéficiaires de la mise en œuvre de ce projet.
Ce projet qui a déjà choisi quinze communes dont Gandong et Ndiebene Gandiole pour le département de Saint-Louis, vise à répondre, non seulement au problème de l’insécurité alimentaire mais aussi de l’emploi des jeunes, s’est-il félicité.
Lors de la rencontre, les producteurs ont interpellé le coordonnateur sur des problèmes liés à la commercialisation, à l’affectation des terres et de l’électricité ont été soulignés.
APS