C'est une nouvelle ère qui commence pour la Société africaine de raffinage (Sar). Elle a reçu sa première cargaison de Brut provenant du gisement pétrolier sénégalais de Sangomar.
Jusque-là contrainte d'exporter ses cargaisons de pétrole brut pour satisfaire les besoins en hydrocarbures du marché national et sous-régional (Mali), la Sar va transformer localement le brut de Sangomar. Après une réadaptation de ses installations et des ajustements techniques, la Sar s'apprête à effectuer son baptême de feu pour transformer le pétrole sénégalais.
Un nouveau tournant pour le secteur des hydrocarbures sénégalais. D'abord prévu dans un premier temps en septembre 2024, puis reporté pour juillet 2025, la Sar est désormais sur le point de concrétiser son ambition Sar 2.0 pour raffiner localement le brut du champ pétrolier de Sangomar qui a démarré sa production avec le First Oil enregistré depuis le 11 juin 2024.
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Le premier tanker a été ainsi chargé à bord du Fpso Léopold Sédar Senghor amarré dans le champ pétrolier de Sangomar à une centaine de kilomètres des côtes sénégalaises pour rejoindre le Port autonome de Dakar (Pad) pour approvisionner les installations de la Sar.
La cargaison de 647 426 barils a été chargée à bord d'un tanker le mercredi 5 février 2025 qui a fait cap sur les installations de la Sar au Port autonome de Dakar (Pad). Cette nouvelle page qui s'ouvre est un moment historique pour la Société africaine de raffinage, qui va pour la première fois depuis son existence raffiner du brut local.
La Sar a été créée en 1961 à l'initiative du Gouvernement sénégalais et de la Société africaine de pétrole (Sap) avec la participation des sociétés pétrolières opérant dans la distribution des produits finis.
Depuis sa création, la Sar assure l'approvisionnement du marché domestique sénégalais en gaz butane, essence super, essence ordinaire, ké-rosène, pétrole lampant, gasoil, diésel oil et fuel oil. Et de 600 000 tonnes par an à son démarrage, la capacité de traitement de la Sar est passée aujourd'hui à 1,5 million de tonnes par an. A cet effet, la Sar, pour traiter le brut de Sangomar à court et moyen terme, a opéré des mutations d'ordre techniques, technologiques et logistiques. Des investissements lourds ont été faits, à hauteur de 53 milliards F Cfa, pour le projet Sar 2.0.
IGFM
Jusque-là contrainte d'exporter ses cargaisons de pétrole brut pour satisfaire les besoins en hydrocarbures du marché national et sous-régional (Mali), la Sar va transformer localement le brut de Sangomar. Après une réadaptation de ses installations et des ajustements techniques, la Sar s'apprête à effectuer son baptême de feu pour transformer le pétrole sénégalais.
Un nouveau tournant pour le secteur des hydrocarbures sénégalais. D'abord prévu dans un premier temps en septembre 2024, puis reporté pour juillet 2025, la Sar est désormais sur le point de concrétiser son ambition Sar 2.0 pour raffiner localement le brut du champ pétrolier de Sangomar qui a démarré sa production avec le First Oil enregistré depuis le 11 juin 2024.
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Le premier tanker a été ainsi chargé à bord du Fpso Léopold Sédar Senghor amarré dans le champ pétrolier de Sangomar à une centaine de kilomètres des côtes sénégalaises pour rejoindre le Port autonome de Dakar (Pad) pour approvisionner les installations de la Sar.
La cargaison de 647 426 barils a été chargée à bord d'un tanker le mercredi 5 février 2025 qui a fait cap sur les installations de la Sar au Port autonome de Dakar (Pad). Cette nouvelle page qui s'ouvre est un moment historique pour la Société africaine de raffinage, qui va pour la première fois depuis son existence raffiner du brut local.
La Sar a été créée en 1961 à l'initiative du Gouvernement sénégalais et de la Société africaine de pétrole (Sap) avec la participation des sociétés pétrolières opérant dans la distribution des produits finis.
Depuis sa création, la Sar assure l'approvisionnement du marché domestique sénégalais en gaz butane, essence super, essence ordinaire, ké-rosène, pétrole lampant, gasoil, diésel oil et fuel oil. Et de 600 000 tonnes par an à son démarrage, la capacité de traitement de la Sar est passée aujourd'hui à 1,5 million de tonnes par an. A cet effet, la Sar, pour traiter le brut de Sangomar à court et moyen terme, a opéré des mutations d'ordre techniques, technologiques et logistiques. Des investissements lourds ont été faits, à hauteur de 53 milliards F Cfa, pour le projet Sar 2.0.
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