Le contrat du gisement de Sangomar sera renégocié par le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye. Le nouveau président de la République du Sénégal assure que cette renégociation aura lieu. Selon lui, « on va renégocier », c’est une promesse qu’il a faite.
Les contrats signés par l’ancien régime avec les compagnies pétrolières étrangères seront donc remis en cause. Macky Sall, successeur de l’ancien président sénégalais, semble certain d’une renégociation. Selon lui, « on nous dit que nous ne pouvons pas renégocier. Je vous le garantis ici, nous allons renégocier. Vous verrez ce que nous avions avant et ce que nous aurons après la renégociation. »
Bassirou Diomaye Faye s’est appuyé sur l’exemple du Mali qui, avec l’aide des Sénégalais, a réussi à renégocier des contrats similaires. Il a affirmé que « les Sénégalais verront d’eux-mêmes qu’il y aura renégociation » durant une conférence de presse.
Par ailleurs, le nouveau gouvernement remet en question les chiffres communiqués par Woodside, le groupe australien qui a réalisé la construction du gisement de Sangomar. Un audit des coûts du projet pétrolier de Sangomar a été décidé malgré le début des opérations d’exploitation.
Bassirou Diomaye Faye est convaincu qu’une meilleure négociation était possible, comme l’ont fait d’autres pays d’Afrique. Il a mentionné que « notre stratégie, c’est de revoir nos pistes de négociation. Pour Woodside, nous contestons les coûts annoncés par la compagnie ».
Selon Sikafinance, l’État sénégalais détient 18 % des parts de ce gisement, tandis que la firme australienne en détient 82 %, cotée en bourse en Australie. Bassirou Diomaye Faye estime que le Sénégal doit obtenir plus de parts dans ce projet pétrolier de grande envergure.
Les contrats signés par l’ancien régime avec les compagnies pétrolières étrangères seront donc remis en cause. Macky Sall, successeur de l’ancien président sénégalais, semble certain d’une renégociation. Selon lui, « on nous dit que nous ne pouvons pas renégocier. Je vous le garantis ici, nous allons renégocier. Vous verrez ce que nous avions avant et ce que nous aurons après la renégociation. »
Bassirou Diomaye Faye s’est appuyé sur l’exemple du Mali qui, avec l’aide des Sénégalais, a réussi à renégocier des contrats similaires. Il a affirmé que « les Sénégalais verront d’eux-mêmes qu’il y aura renégociation » durant une conférence de presse.
Par ailleurs, le nouveau gouvernement remet en question les chiffres communiqués par Woodside, le groupe australien qui a réalisé la construction du gisement de Sangomar. Un audit des coûts du projet pétrolier de Sangomar a été décidé malgré le début des opérations d’exploitation.
Bassirou Diomaye Faye est convaincu qu’une meilleure négociation était possible, comme l’ont fait d’autres pays d’Afrique. Il a mentionné que « notre stratégie, c’est de revoir nos pistes de négociation. Pour Woodside, nous contestons les coûts annoncés par la compagnie ».
Selon Sikafinance, l’État sénégalais détient 18 % des parts de ce gisement, tandis que la firme australienne en détient 82 %, cotée en bourse en Australie. Bassirou Diomaye Faye estime que le Sénégal doit obtenir plus de parts dans ce projet pétrolier de grande envergure.