L’APR a du mal à décoller dans la capitale du nord, le coordonnateur départemental M. FAYE n’est pas bien inspirer en politique il gère mal le parti, ces lieutenants responsabilisé dans les 33 Quartiers de saint louis ne font rien pour accélérer la cadence. Je reproche Mr Faye d’être trop suffisant et n’aime pas communiquer avec la base, en réalité il ne donne aucune considération aux militants, non seulement il est inaccessible; ne répond pas aux messages ce qui constitue un danger pour lui, qui veut briguer le suffrage des populations.
J’ai alerté à plusieurs reprises pour ramener le parti à élaborer un plan d’action pour corriger les tares constatées sur le terrain ou l’on n’aperçoit aucun leader. À la place des réunions se sont des S.MS de parrainage, de baptême, ou de yendou que l’on envoie aux militants, pour palabrer et se faire voir, un parti respectueux bien organisé ne se comporte pas de la sorte, le parti a besoin d’être massifier, en organisant des animations, sensibiliser les populations et aller s’inscrire pour l’obtention de la pièce d’identité.
J’ai comme l’impression que les hauts responsables des quartiers ont eue peur du coordonnateur départemental, qui n’est rien d’autre qu’une personne en chair et en os. Pour lui apporter souvent la contradiction dans les rares rencontres que le secrétariat, exécutif, local organise à ndioloffene.
Je lance un appel aux militants, de veiller sur le mode de désignation lors des investitures, et que l’on nous parachute pas des personnes dépourvues de valeur et ignorantes à la fois.
Le parti a suffisamment de personnes ressources qui ont une bonne moralité, faisons attention, les manœuvres ont commencé, la tristesse est que l’AP.R à st louis n’a pas de banque de données pour ces électeurs dans les quartiers. Si toutes fois des mesures ne sont pas prise, le parti risque d’être sanctionner car le (yama nekh) est souvent utiliser par le patron départemental qui n’a peur de rien et fait ce qu’il pense.
Parlant de Darou le quartier le plus pauvre qui n’a jamais été battu aux élections ; mais aujourd’hui, il est laissé en rade par les responsables politiques qui ne cherchent que leurs intérêts. De l’avis des populations l’on constate la recrudescence de la violence, des agressions sauvages et le chômage chronique de nos jeunes, c’est pourquoi de bonnes volontés se sont levées pour mettre fin à ce fléau qui sape la quiétude des habitants.
Après réflexion sur les problèmes et les solutions, on constate le manque d’éclairage des rues, la promiscuité, et la délinquance. Au niveau de la digue, les nouvelles constructions sont devenues le haut lieu des bandits, Darou étant un quartier peuplé mais dépourvu de structures de développement malgré ses ressources humaines.
Darou n’a pas de représentant dans le comité de gestion de santé de sor, le conseil de quartier n’étant plus légitime car le mandat a pris fin depuis longtemps, de même que la case des tout-petits qui attend d’être renouvelé comme les autres. En fin Darou veut d’autres structures de veille pour la protection de ces enfants.
ADAMA GUELELE DIALLO
J’ai alerté à plusieurs reprises pour ramener le parti à élaborer un plan d’action pour corriger les tares constatées sur le terrain ou l’on n’aperçoit aucun leader. À la place des réunions se sont des S.MS de parrainage, de baptême, ou de yendou que l’on envoie aux militants, pour palabrer et se faire voir, un parti respectueux bien organisé ne se comporte pas de la sorte, le parti a besoin d’être massifier, en organisant des animations, sensibiliser les populations et aller s’inscrire pour l’obtention de la pièce d’identité.
J’ai comme l’impression que les hauts responsables des quartiers ont eue peur du coordonnateur départemental, qui n’est rien d’autre qu’une personne en chair et en os. Pour lui apporter souvent la contradiction dans les rares rencontres que le secrétariat, exécutif, local organise à ndioloffene.
Je lance un appel aux militants, de veiller sur le mode de désignation lors des investitures, et que l’on nous parachute pas des personnes dépourvues de valeur et ignorantes à la fois.
Le parti a suffisamment de personnes ressources qui ont une bonne moralité, faisons attention, les manœuvres ont commencé, la tristesse est que l’AP.R à st louis n’a pas de banque de données pour ces électeurs dans les quartiers. Si toutes fois des mesures ne sont pas prise, le parti risque d’être sanctionner car le (yama nekh) est souvent utiliser par le patron départemental qui n’a peur de rien et fait ce qu’il pense.
Parlant de Darou le quartier le plus pauvre qui n’a jamais été battu aux élections ; mais aujourd’hui, il est laissé en rade par les responsables politiques qui ne cherchent que leurs intérêts. De l’avis des populations l’on constate la recrudescence de la violence, des agressions sauvages et le chômage chronique de nos jeunes, c’est pourquoi de bonnes volontés se sont levées pour mettre fin à ce fléau qui sape la quiétude des habitants.
Après réflexion sur les problèmes et les solutions, on constate le manque d’éclairage des rues, la promiscuité, et la délinquance. Au niveau de la digue, les nouvelles constructions sont devenues le haut lieu des bandits, Darou étant un quartier peuplé mais dépourvu de structures de développement malgré ses ressources humaines.
Darou n’a pas de représentant dans le comité de gestion de santé de sor, le conseil de quartier n’étant plus légitime car le mandat a pris fin depuis longtemps, de même que la case des tout-petits qui attend d’être renouvelé comme les autres. En fin Darou veut d’autres structures de veille pour la protection de ces enfants.
ADAMA GUELELE DIALLO