En plus de ces actions, des médiations scolaires sont faites 2 ou 3 fois par mois pour étudier le niveau des écoliers encadrés, des soins de santé primaires et de chirurgies dentaires sont aussi dispensés en cas de besoin.
L’ATT qui a obtenu sa reconnaissance en 1997 grâce au dynamisme de son initiateur Samba TOUNKARA, encadre aujourd’hui plus de 250 élèves.
Malgré le concours immesurable de l’ambassade des États-Unis, de l’Institut français, de l’Infirmerie Nord et le soutien des services déconcentrés de l’État, la bonne marche de l’association est gangrenée par des contraintes financières et ressources humaines qui reposent sur le bénévolat et l’engagement social.
Mounass TOUNKARA, coordonnatrice est l’une des rares femmes de ville à œuvrer dans ce domaine et ce, depuis plusieurs années, à côté de son grand frère qui lui a insufflé cette passion du social.
Aujourd’hui, pleine d’ambitions, elle défie les préjugés et rêve de porter le centre au firmament. Mounass que NdarInfo a rencontré, ce matin, pense que la résolution du phénomène des talibés et le combat contre la mendicité des enfants passe par plus d’engagement de la part l’État.
« Il faut un recensement global et national de daaras, maîtres coraniques et talibés, la lutte contre les inégalités entre les enfants et les talibés », a-t-elle expliqué.
« Tous les enfants ont les mêmes droits et la même dignité humaine. Les talibés doivent être pris en charge dans le budget de l’éducation nationale », soutient la coordonnatrice de l’ATT.
Elle ajoute, par ailleurs, qu’une « reconnaissance officielle des daaras et maitres coraniques » est indispensable pour éradiquer le fléau.
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L’ATT qui a obtenu sa reconnaissance en 1997 grâce au dynamisme de son initiateur Samba TOUNKARA, encadre aujourd’hui plus de 250 élèves.
Malgré le concours immesurable de l’ambassade des États-Unis, de l’Institut français, de l’Infirmerie Nord et le soutien des services déconcentrés de l’État, la bonne marche de l’association est gangrenée par des contraintes financières et ressources humaines qui reposent sur le bénévolat et l’engagement social.
Mounass TOUNKARA, coordonnatrice est l’une des rares femmes de ville à œuvrer dans ce domaine et ce, depuis plusieurs années, à côté de son grand frère qui lui a insufflé cette passion du social.
Aujourd’hui, pleine d’ambitions, elle défie les préjugés et rêve de porter le centre au firmament. Mounass que NdarInfo a rencontré, ce matin, pense que la résolution du phénomène des talibés et le combat contre la mendicité des enfants passe par plus d’engagement de la part l’État.
« Il faut un recensement global et national de daaras, maîtres coraniques et talibés, la lutte contre les inégalités entre les enfants et les talibés », a-t-elle expliqué.
« Tous les enfants ont les mêmes droits et la même dignité humaine. Les talibés doivent être pris en charge dans le budget de l’éducation nationale », soutient la coordonnatrice de l’ATT.
Elle ajoute, par ailleurs, qu’une « reconnaissance officielle des daaras et maitres coraniques » est indispensable pour éradiquer le fléau.
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