« L’ÉTAT continuera à prendre les mesures nécessaires pour accroître les programmes d’investissements, limiter les facteurs de risques et trouver des solutions durables à la commercialisation du riz local. Cela a été tout dernièrement réaffirmé par le Président de la République, son Excellence Macky SALL, lors de sa tournée économique au niveau de la vallée du fleuve Sénégal », a expliqué Seyni NDAO qui présidait la cérémonie d’inauguration d’une nouvelle usine de décorticage de riz implanté à Ndiougue Mbéres.
« Pour résoudre définitivement cette question de commercialisation, l’Etat a consenti dans son Budget consolidé d’Investissement, une enveloppe de 5 milliards de F CFA sous forme de ligne de crédit de commercialisation. Cette ligne de crédit sera totalement opérationnelle pour les prochaines campagnes de commercialisation », a ajouté le directeur adjoint de la SAED qui magnifie l’initiative de Société sénégalaise des filières alimentaires (SFA) en collaboration avec ses partenaires financiers belges, dont la société DURABILIS et GRAMEEN Crédit Agricole.
« Cette nouvelle unité vient s’ajouter aux 25 rizeries de la Vallée dont les plateaux techniques ont été relevés grâce aux équipements complémentaires offerts dans le cadre de la Coopération avec le Gouvernement du Japon et permettre ainsi une capacité de transformation totale de la Vallée de l’ordre de 140 000 tonnes de paddy pour un riz de qualité », a indiqué M. NDAO, Ingénieur Agro Hydraulicien.
L’usine de décorticage de SFA implantée au cœur du Walo a mobilisé un financement de plus de 600millions de francs CFA et tentera de jouer son rôle dans la promotion du riz de la vallée en promettant sur le marché sénégalais un produit compétitif et de qualité.
Pour Kevin TORCK, directeur de cette nouvelle unité agro-industrielle, l’enjeu est double. Il s’agira d’abord de lutter contre l’importation massive du riz par la vulgarisation du « consomme local », mais aussi de renforcer de l’action de l’État dans ce secteur qui s’est engagé à atteindre l’autosuffisance en riz.
« Cette usine va ainsi augmenter de façon drastique la capacité d’usinage du riz paddy commercialisé sous la marque « Terral » en passant de 2.400 tonnes à 8.000 tonnes par an », a assuré M. TORCK.
Alioune DIOP, représentant des populations de Ndiougue Mberès et Mbodoum Barrage a mis l’accent sur les retombées positives de cette usine sur les populations de cette localité. « Les avantages qu’elle produira ne seront pas exclusivement bénéfices aux habitants de Ndiougue. Elles toucheront toutes les localités environnantes. Ndiougue Mbérès a une longue tradition de partage de ses ressources avec son voisinage », a rappelé M. DIOP.
NDARINFO.COM
« Pour résoudre définitivement cette question de commercialisation, l’Etat a consenti dans son Budget consolidé d’Investissement, une enveloppe de 5 milliards de F CFA sous forme de ligne de crédit de commercialisation. Cette ligne de crédit sera totalement opérationnelle pour les prochaines campagnes de commercialisation », a ajouté le directeur adjoint de la SAED qui magnifie l’initiative de Société sénégalaise des filières alimentaires (SFA) en collaboration avec ses partenaires financiers belges, dont la société DURABILIS et GRAMEEN Crédit Agricole.
« Cette nouvelle unité vient s’ajouter aux 25 rizeries de la Vallée dont les plateaux techniques ont été relevés grâce aux équipements complémentaires offerts dans le cadre de la Coopération avec le Gouvernement du Japon et permettre ainsi une capacité de transformation totale de la Vallée de l’ordre de 140 000 tonnes de paddy pour un riz de qualité », a indiqué M. NDAO, Ingénieur Agro Hydraulicien.
L’usine de décorticage de SFA implantée au cœur du Walo a mobilisé un financement de plus de 600millions de francs CFA et tentera de jouer son rôle dans la promotion du riz de la vallée en promettant sur le marché sénégalais un produit compétitif et de qualité.
Pour Kevin TORCK, directeur de cette nouvelle unité agro-industrielle, l’enjeu est double. Il s’agira d’abord de lutter contre l’importation massive du riz par la vulgarisation du « consomme local », mais aussi de renforcer de l’action de l’État dans ce secteur qui s’est engagé à atteindre l’autosuffisance en riz.
« Cette usine va ainsi augmenter de façon drastique la capacité d’usinage du riz paddy commercialisé sous la marque « Terral » en passant de 2.400 tonnes à 8.000 tonnes par an », a assuré M. TORCK.
Alioune DIOP, représentant des populations de Ndiougue Mberès et Mbodoum Barrage a mis l’accent sur les retombées positives de cette usine sur les populations de cette localité. « Les avantages qu’elle produira ne seront pas exclusivement bénéfices aux habitants de Ndiougue. Elles toucheront toutes les localités environnantes. Ndiougue Mbérès a une longue tradition de partage de ses ressources avec son voisinage », a rappelé M. DIOP.
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