La fureur estudiantine de ces derniers jours et le regain de tension verbale provoqués par le vote de la Loi-cadre posent le débat sur l’esclavagisme intellectuel que le SAES inflige aux délégués de la Coordination des Étudiants de Saint-Louis.
Dans ses revendications, motifs de la grève décrétée le lundi, on retrouve en “copier-coller” les mêmes termes utilises par le SAES, des éléments de discours similaire.
La CESL aurait-elle perdu son autonomie en se laissant manipuler par une vague syndicale dont les intérêts sont à l’antipode de ceux de la communauté estudiantine ?
L’étudiant s’est toujours illustré par la profondeur de son analyse, mais surtout par son sens de recul et son esprit critique. Au vu de la situation, il est possible d’admettre que ces qualifications s’estompent au détriment du suivisme et de l’instinct grégaire.
Par Makhou SYLLA
Dans ses revendications, motifs de la grève décrétée le lundi, on retrouve en “copier-coller” les mêmes termes utilises par le SAES, des éléments de discours similaire.
La CESL aurait-elle perdu son autonomie en se laissant manipuler par une vague syndicale dont les intérêts sont à l’antipode de ceux de la communauté estudiantine ?
L’étudiant s’est toujours illustré par la profondeur de son analyse, mais surtout par son sens de recul et son esprit critique. Au vu de la situation, il est possible d’admettre que ces qualifications s’estompent au détriment du suivisme et de l’instinct grégaire.
Par Makhou SYLLA