Depuis 1960 quatre (4) chefs d’Etat se sont succédé au Palais. Léopold Sédar Senghor a bâti une nation, Abdou Diouf a construit un Etat, Abdoulaye Wade a consolidé notre Africanité et Macky Sall a restauré les vertus d’une République. C’est le Sénégal qui évolue selon ses époques et ses dirigeants, selon son peuple et ses humeurs.
En effet, notre pays, qui s’est offert depuis le soir du 26 mars 2012 d’un jeune président né après l’Indépendance, semble ouvrir une nouvelle ère de démocratie fondée sur la répartition des ressources, sur l’équilibre, l’équité et la justice.
Ainsi, le Président Macky Sall, depuis son élection à la tête de ce pays, ne cesse de travailler pour le bien-être des populations sénégalaises à travers ses grands chantiers et projets de grandes envergures inscrits dans le Programme Sénégal Emergent (PSE). Le Président Sall nous emmène le PUDC, instaure les bourses sociales et nous offre la Couverture Maladie Universelle, mais malgré toutes ces belles réalisations, « Sacré sénégalais* » dit : « il n’a rien fait » ou bien « rien ne va dans ce pays », ou alors qu’il faut le remplacer par des hommes qui n’ont que le don du bavardage, voire qui ne pensent qu’à « ôtes toi, je m’y mets »…
Inutile d’évoquer des chiffres, les réalisations tangibles, les routes bien tracées et bitumées de Dakar à Touba, de Thiès à Fatick, de Fatick à Kaolack, en plus des pistes de production… Encore « Sacré Sénégalais » sous-estime les milliards investis dans ce pays par le Président Macky Sall, lui il raisonne en multi milliards.
D’abord, survolons les environs de la capitale pour contempler le majestueux AIBD, le TER, l’autoroute ILA TOUBA ou le Pôle urbain de Diamniadio.
« Sacré sénégalais » dira toujours « c’est du gâchis financier et c’est pour enrichir les européens ».
Ensuite, que dire de cette diplomatie de proximité avec le récent séjour de 48 h du Président Sall en Gambie, du climat de confiance qui règne désormais entre Dakar et Bissau, et j’en passe. Réjouissons-nous de la politique de bon voisinage avant de se féliciter de la coopération bilatérale entre la France et le Sénégal et entre notre pays et les grandes puissances de ce monde telles que Luxembourg, Qatar, Espagne, Turquie… Les retombées économiques de ces relations sont incommensurables et c’est toujours le Sénégal qui y gagne, mais « sacré sénégalais » dira toujours que c’est du néo colonialisme ou de la dépendance économique.
Cependant, les sénégalais devraient se féliciter du défilé de ces hautes personnalités dans notre pays, symbole d’un havre de paix et de stabilité politique.
N’est-ce pas, aimons-nous ces pétillants rayons sortis des centrales solaires de Santhiou Mekhé, de Bokhol et de Malicounda pour éclairer nos beaux villages ?
Continuons-nous à raffoler du riz « indien » ou « siam », « cambodge » ou « caroline » comme ce fut le cas il y’a dix à vingt ans ou même plus ? Grâce à la politique agricole intense pour la promotion du riz local appelé « walo », aujourd’hui la plupart des sénégalais consomment le riz cultivé dans notre cher terroir. Tout cela nous le devons au Président Macky Sall qui a accompagné les paysans, les jeunes et les femmes à investir dans ce secteur en y injectant d’énormes moyens financiers et matériels.
« Sacré sénégalais », qui est souvent nihiliste, dira « rien de cela n’est bon », il faudrait toujours qu’il parle pour exister.
Enfin, en quoi la modernisation des citées religieuses gêne-t-il ? « Sacré sénégalais ! ». Ce sont des villes à moderniser car elles sont des lieux de dévotion où convergent tous les croyants à des moments donnés de l’année. Elles ont besoin de confort et de sécurité. Et cela se réalise grâce à la volonté du Président Macky Sall et à la bénédiction de nos illustres marabouts.
Au vu de toutes ces réalisations, nous pouvons maintenant répondre à notre propre interrogation : quel Président de la République voulons-nous en 2019 ? Nous ne pouvons que choisir Macky Sall pour parachever ses chantiers sources d’espoir. En somme, choisir Macky Sall, c’est suivre la voie de l’émergence tracée par un jeune visionnaire…
SOULEYMANE NIANG
Ancien DAF UGB Saint-Louis
Ancien DRH Université de Thiès
* Cette expression a été utilisée par un de mes professeurs de philosophie dans les années 70. Un jour en observant les réactions et les comportements de nos compatriotes, s’était exclamé : SACRE SENEGALAIS ! A l’époque, peut-être, je comprenais peu le sens de cette expression mais il m’est venu à l’idée de disserter là-dessus.
En effet, notre pays, qui s’est offert depuis le soir du 26 mars 2012 d’un jeune président né après l’Indépendance, semble ouvrir une nouvelle ère de démocratie fondée sur la répartition des ressources, sur l’équilibre, l’équité et la justice.
Ainsi, le Président Macky Sall, depuis son élection à la tête de ce pays, ne cesse de travailler pour le bien-être des populations sénégalaises à travers ses grands chantiers et projets de grandes envergures inscrits dans le Programme Sénégal Emergent (PSE). Le Président Sall nous emmène le PUDC, instaure les bourses sociales et nous offre la Couverture Maladie Universelle, mais malgré toutes ces belles réalisations, « Sacré sénégalais* » dit : « il n’a rien fait » ou bien « rien ne va dans ce pays », ou alors qu’il faut le remplacer par des hommes qui n’ont que le don du bavardage, voire qui ne pensent qu’à « ôtes toi, je m’y mets »…
Inutile d’évoquer des chiffres, les réalisations tangibles, les routes bien tracées et bitumées de Dakar à Touba, de Thiès à Fatick, de Fatick à Kaolack, en plus des pistes de production… Encore « Sacré Sénégalais » sous-estime les milliards investis dans ce pays par le Président Macky Sall, lui il raisonne en multi milliards.
D’abord, survolons les environs de la capitale pour contempler le majestueux AIBD, le TER, l’autoroute ILA TOUBA ou le Pôle urbain de Diamniadio.
« Sacré sénégalais » dira toujours « c’est du gâchis financier et c’est pour enrichir les européens ».
Ensuite, que dire de cette diplomatie de proximité avec le récent séjour de 48 h du Président Sall en Gambie, du climat de confiance qui règne désormais entre Dakar et Bissau, et j’en passe. Réjouissons-nous de la politique de bon voisinage avant de se féliciter de la coopération bilatérale entre la France et le Sénégal et entre notre pays et les grandes puissances de ce monde telles que Luxembourg, Qatar, Espagne, Turquie… Les retombées économiques de ces relations sont incommensurables et c’est toujours le Sénégal qui y gagne, mais « sacré sénégalais » dira toujours que c’est du néo colonialisme ou de la dépendance économique.
Cependant, les sénégalais devraient se féliciter du défilé de ces hautes personnalités dans notre pays, symbole d’un havre de paix et de stabilité politique.
N’est-ce pas, aimons-nous ces pétillants rayons sortis des centrales solaires de Santhiou Mekhé, de Bokhol et de Malicounda pour éclairer nos beaux villages ?
Continuons-nous à raffoler du riz « indien » ou « siam », « cambodge » ou « caroline » comme ce fut le cas il y’a dix à vingt ans ou même plus ? Grâce à la politique agricole intense pour la promotion du riz local appelé « walo », aujourd’hui la plupart des sénégalais consomment le riz cultivé dans notre cher terroir. Tout cela nous le devons au Président Macky Sall qui a accompagné les paysans, les jeunes et les femmes à investir dans ce secteur en y injectant d’énormes moyens financiers et matériels.
« Sacré sénégalais », qui est souvent nihiliste, dira « rien de cela n’est bon », il faudrait toujours qu’il parle pour exister.
Enfin, en quoi la modernisation des citées religieuses gêne-t-il ? « Sacré sénégalais ! ». Ce sont des villes à moderniser car elles sont des lieux de dévotion où convergent tous les croyants à des moments donnés de l’année. Elles ont besoin de confort et de sécurité. Et cela se réalise grâce à la volonté du Président Macky Sall et à la bénédiction de nos illustres marabouts.
Au vu de toutes ces réalisations, nous pouvons maintenant répondre à notre propre interrogation : quel Président de la République voulons-nous en 2019 ? Nous ne pouvons que choisir Macky Sall pour parachever ses chantiers sources d’espoir. En somme, choisir Macky Sall, c’est suivre la voie de l’émergence tracée par un jeune visionnaire…
SOULEYMANE NIANG
Ancien DAF UGB Saint-Louis
Ancien DRH Université de Thiès
* Cette expression a été utilisée par un de mes professeurs de philosophie dans les années 70. Un jour en observant les réactions et les comportements de nos compatriotes, s’était exclamé : SACRE SENEGALAIS ! A l’époque, peut-être, je comprenais peu le sens de cette expression mais il m’est venu à l’idée de disserter là-dessus.