Le référendum est un procédé de démocratie semi-directe par lequel l'ensemble des citoyens d'un territoire donné est appelé à exprimer une position sur une proposition qui leur est soumise, concernant « une mesure qu'une autre autorité a prise ou envisage de prendre ». Partant de ce postulat, il est erroné si on s’en tient aux discours de certains politiques qui veulent nous faire croire que ce type d’élection est exclusivement à mettre au compte du Président de la République. Je m’inscris en faux et sans aucune exagération, je peux affirmer que les révélations rapportées et traitées ne jouent le jeu des pouvoirs occultes, omnipotents et tentaculaires qui, chez les opposants fourbes ou chez leurs alliés et leurs amis, distillent à doses « nanométriquement » calculées et «fuitent» périodiquement des « reconnaissances » d’erreurs politiques, par-ci par-là.
Mais, d’évidence, ces opposants du « OUI » et donc du progrès, de la consolidation de la démocratie se trompent en stratégie politique.
Leur potentiel de nuisance est incommensurable, caractérisé par des capacités multidimensionnelles d’anticipation et de prospective, des moyens inimaginables théorique d’observation et de surveillance omni-hypersophistiquées ininterrompues et d’une précision inouïe, d’accumulation et d’exploitation croisée de données classiques (de la plus névralgique à la plus banale), d’expérimentation d’hypothèses et de schémas théoriques, de maturation patiente d’objectifs, d’élaboration de scénarios interchangeables et interactifs, d’identification hiérarchisée de cibles potentielles, de conduite et/ou d’orientation d’opérations tactiques matérialisées, de manipulation et d’instrumentalisation anodines mais redoutables de situations propices à la réaction, et à l’intervention, de mise en mouvement dynamique d’évènements et d’acteurs clandestins ou/et publics, individuels et/ou collectifs, indirectement ou directement et enfin d’intervention forcée mais à la manière j’ai envie de dire chirurgicale mais ce n’est pas le cas.
Aux autres parties ou organisations de la société civile qui prônent le choix du boycott, ils gagneraient à convaincre leurs militants et les Sénégalais à aller voter dans la mesure où le peuple ne peut en aucun cas, exercer son pouvoir, consacrer et jouir de sa souveraineté par le boycott. La souveraineté et le pouvoir du peuple sont représentés par l'urne, d'où l'obligation de voter.
L’enjeu du prochain rendez-vous du 20 Mars, est très important, sinon décisif dès lors qu'il s'agit de l'avenir du pays et de notre démocratie. En votant pour le « OUI », le peuple Sénégalais aura ''voté pour la stabilité du pays, sa cohésion, pour de nouvelles réformes politiques, pour l’octroi des nouveaux droits aux Sénégalais, pour un contrôle citoyen de la gestion de l’Etat et en fin régler une bonne fois cette question de la durée et du nombre de mandat.
Pape Malick Diop
COJER Saint-Louis
Mais, d’évidence, ces opposants du « OUI » et donc du progrès, de la consolidation de la démocratie se trompent en stratégie politique.
Leur potentiel de nuisance est incommensurable, caractérisé par des capacités multidimensionnelles d’anticipation et de prospective, des moyens inimaginables théorique d’observation et de surveillance omni-hypersophistiquées ininterrompues et d’une précision inouïe, d’accumulation et d’exploitation croisée de données classiques (de la plus névralgique à la plus banale), d’expérimentation d’hypothèses et de schémas théoriques, de maturation patiente d’objectifs, d’élaboration de scénarios interchangeables et interactifs, d’identification hiérarchisée de cibles potentielles, de conduite et/ou d’orientation d’opérations tactiques matérialisées, de manipulation et d’instrumentalisation anodines mais redoutables de situations propices à la réaction, et à l’intervention, de mise en mouvement dynamique d’évènements et d’acteurs clandestins ou/et publics, individuels et/ou collectifs, indirectement ou directement et enfin d’intervention forcée mais à la manière j’ai envie de dire chirurgicale mais ce n’est pas le cas.
Aux autres parties ou organisations de la société civile qui prônent le choix du boycott, ils gagneraient à convaincre leurs militants et les Sénégalais à aller voter dans la mesure où le peuple ne peut en aucun cas, exercer son pouvoir, consacrer et jouir de sa souveraineté par le boycott. La souveraineté et le pouvoir du peuple sont représentés par l'urne, d'où l'obligation de voter.
L’enjeu du prochain rendez-vous du 20 Mars, est très important, sinon décisif dès lors qu'il s'agit de l'avenir du pays et de notre démocratie. En votant pour le « OUI », le peuple Sénégalais aura ''voté pour la stabilité du pays, sa cohésion, pour de nouvelles réformes politiques, pour l’octroi des nouveaux droits aux Sénégalais, pour un contrôle citoyen de la gestion de l’Etat et en fin régler une bonne fois cette question de la durée et du nombre de mandat.
Pape Malick Diop
COJER Saint-Louis