Le rayonnement de toute université à l’échelle mondiale nécessite l’abnégation et l’implication de tous les individus qui font sa raison d’être. Il s’agit dans le cas de l’UGB, de l’Etat central, du PER, du PATS, des étudiants, du personnel du CROUS, etc. Ces derniers doivent travailler en synergie pour faire fonctionner l’institution de manière efficace et efficiente afin de répondre aux besoins de la société et de surcroît assurer le bien-être de ses occupants. Indéniablement, l’université Gaston Berger a une renommée nationale et internationale du fait des résultats remarquables de ses étudiants dans certains concours, des résultats de recherches de ses enseignants, entre autres.
Cependant, il est à constater que l’excellence dont l’UGB fait montre subit des secousses tribord/bâbord depuis quelques années à cause des problèmes complexes et souvent connexes qui débouchent dans l’immensité des cas sur des grèves incessantes. Alors, au vu de la complexité des problématiques qui brimbalent l’UGB, dans les lignes qui vont suivre, nous donnerons notre opinion sur les mouvements estudiantins au sein de ce temple du savoir.
Indubitablement, les représentants ou les délégués des étudiants (COM-SOC et CESL) à l’UGB effectuent un travail méritoire pour la défense des causes de l’étudiant et pour rendre meilleur leur séjour dans cet espace.
Leur abnégation pour ces causes et les conséquences que leur dévouement peut avoir sur leurs études et leur vie personnelle sont légion. Par conséquent, on ne peut que les complimenter pour les combats acharnés mener lors des dernières reformes de l’enseignement supérieur, pour l’obtention de bourses de certains étudiants, pour la livraison de certains édifices au sein de l’université, pour l’amélioration des conditions de vie des étudiants au sein du campus, etc. Toutefois, nous estimons qu’il est nécessaire de formuler certaines critiques à leur égard car nous pensons, pour le perfectionnement de toute structure, les critiques sont indispensables.
Arrêtez de croire que vous êtes plus intelligents que la « masse étudiante».
Il est de coutume chez ceux qui nous dirigent de croire être le détenteur de toutes connaissances, des solutions miracles, etc. Par conséquent, ils ont tendance à négliger la « masse étudiante » car ils supposent qu’elle agit émotivement et qu’ils peuvent l’amener à suivre comme des pantins les différentes actions ou mouvements revendicatifs qu’ils déclenchent. Un pari réussi pendant plusieurs années au sein de l’université Gaston Berger par nos représentants (les délégués de la COM-SOC et de la CESL).
Cependant, malgré sa faiblesse, la tendance critique des modes d’actions revendicatives des délégués émanant d’une partie de la « masse » qui ne pense pas comme la « masse » prend de plus en plus d’ampleur.
Le fait est que les résultats ou les retombées des contestations ne sont pas toujours à la hauteur des attentes des étudiants sanarois puisqu’entrainant souvent des « sessions uniques » avec tous les maux qui vont avec, le rallongement de l’année universitaire qui entrave parfois la mobilité estudiantine et la réalisation de certains projets personnels. A titre d’exemple, les grèves et les JST pour la livraison du village N, de l’extension de la bibliothèque centrale étaient intenses et malgré tout, l’on nous les a livrés plusieurs années après. Quels sont les impacts réels des grèves et des JST sur le fonctionnement du CROUS et sur la réussite des étudiants ? (Durant ces JST, certains en profitent pour se restaurer comme bon leur semble en se disant que c’est l’Etat sénégalais qui paie tout en oubliant que ce sont les taxes des contribuables sénégalais qu’ils dilapident et que l’Etat c’est eux (les sénégalais).
Les JST et les grèves résolvent-elles toujours nos problèmes ? Combien d’étudiants ont souffert de ces soulèvements ? Combien sont et seront expulsés de l’université à cause d’un mouvement dont nous connaissons à l’avance le dénouement ou peut-être seuls les délégués maitrisent ? Le credo est de défendre l’intérêt de l’étudiant sanarois, mais comment ? Est-ce qu’on écoute l’étudiant sanarois au vrai sens du mot « écouter »? Combien de fois ils s’époumonent pour manifester leur désaccord par rapport à l’organisation de certaines manifestations et que nos représentants restent insensibles à leur réclamation? Nous avons l’impression que les représentants des étudiants sanarois les dirigent comme nos gouvernants dirigent les peuples en Afrique ou dans certaines contrées à travers le monde.
Pourquoi les étudiants sanorois sont les victimes des désaccords entre leurs dirigeants et les autorités du CROUS et quand ces deux entités décident d’organiser de connivence des évènements, les avis des étudiants ne comptent pas ?
Il est temps que l’on fasse resplendir l’image de l’UGB qui se dégrade quotidiennement. Ce resplendissement requiert l’effort de toutes les parties prenantes de l’institution. Ne serait-t-il pas plus ingénieux qu’au début de chaque année universitaire qu’une enquête soit menée auprès d’un échantillon représentatif d’étudiants de l’UGB sur les problèmes qu’ils souhaitent que leurs représentants et le CROUS résolvent ? Sur les manifestations à organiser au cours de l’année universitaire ? Etc.
Le statut d’étudiant confère à son détenteur une liberté de pensée, de questionner, de critiquer de manière objective. Il est important de soutenir nos dirigeants (délégués) dans les luttes qu’ils mènent pour « défendre nos intérêts », mais cette coopération nécessite de notre part une réflexion perspicace, un recul et de véritables questionnements. On doit être capables de se projeter et d’examiner minutieusement les résultantes des grèves et des JST initiées par nos délégués. Car, après tout, c’est nous (étudiants) qui subirons les conséquences de nos mouvements, qu’elles soient positives ou négatives. La récente venue des GMI pour sécuriser les restaurants universitaires était prévisible compte tenu de la durée des JST. Par ailleurs, la nécessité d’un « groupe critique » d’étudiants crédibles qui remettent en cause objectivement certaines décisions des délégués serait nécessaire.
Il en résulte que le non-respect du délai de livraison de certains bâtiments ou des engagements pris par les autorités du CROUS ; le manque de réflexion stratégique des délégués (COM-SOC/CESL) avant d’entamer certaines luttes, leur présomption à penser qu’ils détiennent toutes les vérités nous font souffrir temporellement et impacteront de manière négative notre avenir et celui de nos frères et sœurs sénégalais et africains qui souhaitent se cultiver dans ce temple du savoir qu’est l’UGB. De ce fait les autorités du CROUS doivent savoir dire la vérité aux étudiants. Laquelle vérité peut être blessante, mais elle met les parties prenantes au même niveau d’informations et peut-être, elles peuvent trouver une solution consensuelle qui les arrangera toutes.
Néanmoins, avec tous ces mouvements (grèves, JST) interminables, non analysés et qui paraissent dans certains cas arbitraires, l’université Gaston Berger est sur le point d’abandonner son crédo d’excellence pour embrasser celui d’ « université de l’incertitude ». L’incertitude pourquoi ? L’on ne sait jamais quand commencera une année universitaire et quand elle prendra fin ? (A l’exception peut-être de l’UFR 2S). Nous avons le sentiment que l’on doit remercier le ciel à chaque reprise des cours parce que nous ne maitrisons rien dans cette institution. Mais, pensons à ces étudiants étrangers qui ne peuvent dire à leur famille qu’ils ne font pas cours à cause des grèves, à ses étudiants sénégalais qui ont comme l’impression qu’ils sont fourvoyés. Alors, si nous continuons dans cette direction, l’excellence de l’UGB sera en péril, si elle ne l’est pas déjà.
Soyons solutions.
Si nous continuons à faire ce qu'on a toujours fait, nous continuerons à être ce qu'on a toujours été[[1]]url:#_ftn1 . Sans un changement de mentalités, de modes d’actions, la normalité des grèves estudiantines à l’UGB s’érigera en norme et cela pourrait entrainer la décadence de l’institution si rien n’est fait pour changer de cap. Il est de coutume de critiquer les modes d’actions de la COM-SOC et de la CELS consistant à décréter des grèves ou des JST pour inciter les autorités universitaires à répondre favorablement aux revendications estudiantines à l’UGB. Alors, est-il possible de trouver d’autres formes d’actions collectives qui ne mettent pas en péril la raison d’être des étudiants à l’UGB ? C'est-à-dire leur étude. Nous répondons affirmativement car quelqu’un a dit : « la culture crée l’homme et l’homme crée la culture. Si cette dernière n’assure pas le bien-être de l’homme, ce dernier a le droit de la changer ». Par conséquent, effectuons une enquête auprès des étudiants de l’UGB et filtrons les meilleures propositions sur les nouvelles manières de mener nos luttes qui n’influent pas négativement sur nos études. L’UGB détient des têtes bien faites, alors chers délégués profitons-en.
Nous ne prétendons pas donner des leçons à quiconque à travers ces lignes. Nous supposons qu’étant pur produit de l’université Gaston Berger, nous avons notre mot à dire sur le vécu de cette institution qui nous est chère. Il en est de même pour chaque étudiant (e) « étranger (ère) » de l’UGB. Ces derniers sont aussi des futurs (res) ambassadeurs (drices) de l’UGB. Ils subissent les conséquences des grèves/JST au même titre que les autochtones. Personne ne peut les empêcher de donner leur opinion de manière objective sur ce qui se passe à l’UGB.
Que l’on croit ou non au programme de l’émergence ou de développement économique actuel de nos pays, nous souhaitons pour la plupart le développement de nos nations. Aucun pays ne se développe sans une jeunesse correctement instruite. Il est du devoir de la jeunesse de contribuer à la réussite de sa formation, car enfin de compte avec ces modes d’actions impromptues, non maitrisées dans certains cas, nous sommes les premiers à travers une auto-analyse à examiner si nous sommes bien formés ou pas et ensuite, le marché de l’emploi nous scrutera selon ses propres références.
Cependant, il est à constater que l’excellence dont l’UGB fait montre subit des secousses tribord/bâbord depuis quelques années à cause des problèmes complexes et souvent connexes qui débouchent dans l’immensité des cas sur des grèves incessantes. Alors, au vu de la complexité des problématiques qui brimbalent l’UGB, dans les lignes qui vont suivre, nous donnerons notre opinion sur les mouvements estudiantins au sein de ce temple du savoir.
Indubitablement, les représentants ou les délégués des étudiants (COM-SOC et CESL) à l’UGB effectuent un travail méritoire pour la défense des causes de l’étudiant et pour rendre meilleur leur séjour dans cet espace.
Leur abnégation pour ces causes et les conséquences que leur dévouement peut avoir sur leurs études et leur vie personnelle sont légion. Par conséquent, on ne peut que les complimenter pour les combats acharnés mener lors des dernières reformes de l’enseignement supérieur, pour l’obtention de bourses de certains étudiants, pour la livraison de certains édifices au sein de l’université, pour l’amélioration des conditions de vie des étudiants au sein du campus, etc. Toutefois, nous estimons qu’il est nécessaire de formuler certaines critiques à leur égard car nous pensons, pour le perfectionnement de toute structure, les critiques sont indispensables.
Arrêtez de croire que vous êtes plus intelligents que la « masse étudiante».
Il est de coutume chez ceux qui nous dirigent de croire être le détenteur de toutes connaissances, des solutions miracles, etc. Par conséquent, ils ont tendance à négliger la « masse étudiante » car ils supposent qu’elle agit émotivement et qu’ils peuvent l’amener à suivre comme des pantins les différentes actions ou mouvements revendicatifs qu’ils déclenchent. Un pari réussi pendant plusieurs années au sein de l’université Gaston Berger par nos représentants (les délégués de la COM-SOC et de la CESL).
Cependant, malgré sa faiblesse, la tendance critique des modes d’actions revendicatives des délégués émanant d’une partie de la « masse » qui ne pense pas comme la « masse » prend de plus en plus d’ampleur.
Le fait est que les résultats ou les retombées des contestations ne sont pas toujours à la hauteur des attentes des étudiants sanarois puisqu’entrainant souvent des « sessions uniques » avec tous les maux qui vont avec, le rallongement de l’année universitaire qui entrave parfois la mobilité estudiantine et la réalisation de certains projets personnels. A titre d’exemple, les grèves et les JST pour la livraison du village N, de l’extension de la bibliothèque centrale étaient intenses et malgré tout, l’on nous les a livrés plusieurs années après. Quels sont les impacts réels des grèves et des JST sur le fonctionnement du CROUS et sur la réussite des étudiants ? (Durant ces JST, certains en profitent pour se restaurer comme bon leur semble en se disant que c’est l’Etat sénégalais qui paie tout en oubliant que ce sont les taxes des contribuables sénégalais qu’ils dilapident et que l’Etat c’est eux (les sénégalais).
Les JST et les grèves résolvent-elles toujours nos problèmes ? Combien d’étudiants ont souffert de ces soulèvements ? Combien sont et seront expulsés de l’université à cause d’un mouvement dont nous connaissons à l’avance le dénouement ou peut-être seuls les délégués maitrisent ? Le credo est de défendre l’intérêt de l’étudiant sanarois, mais comment ? Est-ce qu’on écoute l’étudiant sanarois au vrai sens du mot « écouter »? Combien de fois ils s’époumonent pour manifester leur désaccord par rapport à l’organisation de certaines manifestations et que nos représentants restent insensibles à leur réclamation? Nous avons l’impression que les représentants des étudiants sanarois les dirigent comme nos gouvernants dirigent les peuples en Afrique ou dans certaines contrées à travers le monde.
Pourquoi les étudiants sanorois sont les victimes des désaccords entre leurs dirigeants et les autorités du CROUS et quand ces deux entités décident d’organiser de connivence des évènements, les avis des étudiants ne comptent pas ?
Il est temps que l’on fasse resplendir l’image de l’UGB qui se dégrade quotidiennement. Ce resplendissement requiert l’effort de toutes les parties prenantes de l’institution. Ne serait-t-il pas plus ingénieux qu’au début de chaque année universitaire qu’une enquête soit menée auprès d’un échantillon représentatif d’étudiants de l’UGB sur les problèmes qu’ils souhaitent que leurs représentants et le CROUS résolvent ? Sur les manifestations à organiser au cours de l’année universitaire ? Etc.
Le statut d’étudiant confère à son détenteur une liberté de pensée, de questionner, de critiquer de manière objective. Il est important de soutenir nos dirigeants (délégués) dans les luttes qu’ils mènent pour « défendre nos intérêts », mais cette coopération nécessite de notre part une réflexion perspicace, un recul et de véritables questionnements. On doit être capables de se projeter et d’examiner minutieusement les résultantes des grèves et des JST initiées par nos délégués. Car, après tout, c’est nous (étudiants) qui subirons les conséquences de nos mouvements, qu’elles soient positives ou négatives. La récente venue des GMI pour sécuriser les restaurants universitaires était prévisible compte tenu de la durée des JST. Par ailleurs, la nécessité d’un « groupe critique » d’étudiants crédibles qui remettent en cause objectivement certaines décisions des délégués serait nécessaire.
Il en résulte que le non-respect du délai de livraison de certains bâtiments ou des engagements pris par les autorités du CROUS ; le manque de réflexion stratégique des délégués (COM-SOC/CESL) avant d’entamer certaines luttes, leur présomption à penser qu’ils détiennent toutes les vérités nous font souffrir temporellement et impacteront de manière négative notre avenir et celui de nos frères et sœurs sénégalais et africains qui souhaitent se cultiver dans ce temple du savoir qu’est l’UGB. De ce fait les autorités du CROUS doivent savoir dire la vérité aux étudiants. Laquelle vérité peut être blessante, mais elle met les parties prenantes au même niveau d’informations et peut-être, elles peuvent trouver une solution consensuelle qui les arrangera toutes.
Néanmoins, avec tous ces mouvements (grèves, JST) interminables, non analysés et qui paraissent dans certains cas arbitraires, l’université Gaston Berger est sur le point d’abandonner son crédo d’excellence pour embrasser celui d’ « université de l’incertitude ». L’incertitude pourquoi ? L’on ne sait jamais quand commencera une année universitaire et quand elle prendra fin ? (A l’exception peut-être de l’UFR 2S). Nous avons le sentiment que l’on doit remercier le ciel à chaque reprise des cours parce que nous ne maitrisons rien dans cette institution. Mais, pensons à ces étudiants étrangers qui ne peuvent dire à leur famille qu’ils ne font pas cours à cause des grèves, à ses étudiants sénégalais qui ont comme l’impression qu’ils sont fourvoyés. Alors, si nous continuons dans cette direction, l’excellence de l’UGB sera en péril, si elle ne l’est pas déjà.
Soyons solutions.
Si nous continuons à faire ce qu'on a toujours fait, nous continuerons à être ce qu'on a toujours été[[1]]url:#_ftn1 . Sans un changement de mentalités, de modes d’actions, la normalité des grèves estudiantines à l’UGB s’érigera en norme et cela pourrait entrainer la décadence de l’institution si rien n’est fait pour changer de cap. Il est de coutume de critiquer les modes d’actions de la COM-SOC et de la CELS consistant à décréter des grèves ou des JST pour inciter les autorités universitaires à répondre favorablement aux revendications estudiantines à l’UGB. Alors, est-il possible de trouver d’autres formes d’actions collectives qui ne mettent pas en péril la raison d’être des étudiants à l’UGB ? C'est-à-dire leur étude. Nous répondons affirmativement car quelqu’un a dit : « la culture crée l’homme et l’homme crée la culture. Si cette dernière n’assure pas le bien-être de l’homme, ce dernier a le droit de la changer ». Par conséquent, effectuons une enquête auprès des étudiants de l’UGB et filtrons les meilleures propositions sur les nouvelles manières de mener nos luttes qui n’influent pas négativement sur nos études. L’UGB détient des têtes bien faites, alors chers délégués profitons-en.
Nous ne prétendons pas donner des leçons à quiconque à travers ces lignes. Nous supposons qu’étant pur produit de l’université Gaston Berger, nous avons notre mot à dire sur le vécu de cette institution qui nous est chère. Il en est de même pour chaque étudiant (e) « étranger (ère) » de l’UGB. Ces derniers sont aussi des futurs (res) ambassadeurs (drices) de l’UGB. Ils subissent les conséquences des grèves/JST au même titre que les autochtones. Personne ne peut les empêcher de donner leur opinion de manière objective sur ce qui se passe à l’UGB.
Que l’on croit ou non au programme de l’émergence ou de développement économique actuel de nos pays, nous souhaitons pour la plupart le développement de nos nations. Aucun pays ne se développe sans une jeunesse correctement instruite. Il est du devoir de la jeunesse de contribuer à la réussite de sa formation, car enfin de compte avec ces modes d’actions impromptues, non maitrisées dans certains cas, nous sommes les premiers à travers une auto-analyse à examiner si nous sommes bien formés ou pas et ensuite, le marché de l’emploi nous scrutera selon ses propres références.
[[1]]url:#_ftnref1 Ce n’est pas notre phrase, nous l’avons entendue quelque part.