L’alternance municipale sous Bamba Diéye a bientôt 4 ans. Elle a suscité beaucoup d’espoir à la mesure des attentes des populations exaspérées par bien des difficultés. L’élection de Cheikh Bamba Diéye était considérée comme un nouveau départ, un nouveau souffle bref un grand espoir incarné par un homme qui s’est battu pendant plusieurs années pour le Sénégal.
Certains même lui avaient conféré le titre de libérateur de tant d’années de souffrances avec le PDS mais beaucoup de faits montrent que le changement attendu n’a pas apporté ses fruits.
Ainsi, l’alternance Municipale fut un slogan certes, en son temps, plein de sens rationnel, mais la suite nous as édifié que ce n’est pas le slogan qui fonde la pertinence… ce qui fonde cette dernière, ne l’oublions jamais, c’est bien la maturation d’une conscience citoyenne autour d’un «idéal» de projet de société d’abord, d’un paradigme du développement durable eu égard à nos défis de pays en développement.
Cette alternance créa ainsi un désespoir total. Le rêve de milliers sénégalais s’est transformé ainsi en un cauchemar de ruine, de découragement et surtout en un déclin social
Mais quand même « ne regrettons rien, assumons notre choix ».
Nous avons fait ce qu’il fallait à l’époque pour chasser Ousmane Masseck Ndiaye qui était taxé d’arrogant. Ne le regrettons pas, Ce changement nous a permis de renforcer notre jeune démocratie mais aussi et surtout de comprendre et d’analyser les limites de l’actuelle équipe municipale en place.
D’ores et déjà, nous avons besoin d’un leadership capable d’inspirer, et de motiver les saint louisiens afin que, sans distinction politique, ethnique ou religieuse avec comme priorité l’amélioration des conditions de vie des populations.
Ainsi le futur maire de Notre ville tricentenaire devra être un citoyen crédible disposant d’une équipe compétente qui va piloter N’dar avec comme souci principal : être au chevet des populations et leur assurer un bien être.
Il va devoir donc travailler pour aider les populations à supporter leur quotidien qui devient intenable en commençant par créer les opportunités, changer les réalités sociales et éveiller les mentalités.
Pour cela, exigeons de celui ou celle qui prétend diriger la mairie qu’il dévoile d’abord sa vision ainsi que sa stratégie à transformer cette vision en réalité
De ce fait, le successeur de Cheikh Bamba Diéye devra être un homme digne et intègre, un homme de mérite, un homme imbu de valeurs démocratiques, pas un parfait homme ce qui n’existe nullement. Il doit être constant dans sa démarche et surtout respecter ses engagements vis-à-vis du peuple.
Qu’il sache que les urgences de Saint-Louis se déclinent en termes d’emplois, de soins de santé, d’éducation, de nourriture, de démocratie et de libertés. Ainsi, on attendra de lui une extrême lucidité dans les choix sur les priorités.
Pour cela, quelques soit les modalités de la prochaine élection, l’essentiel c’est que nous devons y aller avec la conviction que nous avons un impératif catégorique.
Ainsi, pour éviter de tomber dans le même piège de 2009 avec l’euphorie qui a emporté toute la population De Ndar, une étude minutieuse mérite d’être entreprise au préalable par chacun de nous avant de faire tout choix politique.
A rappeler que la politique n’est pas mauvaise, c’est l’usage que certaines personnes en font qui est répréhensible… et l’on comprendra combien est-il fascinant de faire de la politique dés lors qu’on est tenu que par la praticabilité de notre action et de notre vision…
Le moment n’est plus aux verbiages, ni aux discours interminables. Dans « la brousse Saint-Louis », l’herbe de la vie est sèche, le vent de l’accaparement est violent.
Conjointement, je m’en vais emprunter à Antoine de Saint-Exupéry, que j’aime décidemment tant, ces quelques autres mots qui synthétise bien mon raisonnement : « Pour ce qui est de l’avenir d’un pays, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. »
C’est donc, pour moi, une bonne occasion de dénoncer et de congédier le sort de cette politique politicienne qui me touche égoïstement dans ma propre chair, moi qui ne souhaiterais pas faire parti des témoins passifs mon propre histoire.
Je veux juste conscientiser les saint-louisiens à ce que les retombées et les gains de notre ville puissent retourné à nous mêmes et contribuer au bien-être social de tout un chacun dans cette communauté.
Cette ville nous appartenant tous, est-il acceptable de laisser une poignée d’hommes dilapider nos richesses
A partir d'aujourd'hui, nous devons nous relever, nous épousseter et reprendre la lourde tâche de la refondation de N’Dar.
Nous nous devons d’éviter de sombrer dans ce gouffre à tout prix. Saint-Louis peut se reprendre, notre pays peut encore rayonner, les enfants de N’Dar peuvent encore réussir, retourner à nos valeurs qui nous sont chères et qui nous ont toujours fait honneur aux yeux du monde.
Aux populations d’en attester de la véracité de l’approche, à l’opinion d’en juger de l’opportunité, mais je pense que ma modeste contribution, en ma qualité de saint-Louisiens, réveillera les esprits et installera dans le cœur de chaque domou –n’dar le dynamisme et le management moderne.
« Notre vie demeure le combat pour l’avenir de Saint-Louis»
Zahir Fall
Un patriote comme tant d’autres
Certains même lui avaient conféré le titre de libérateur de tant d’années de souffrances avec le PDS mais beaucoup de faits montrent que le changement attendu n’a pas apporté ses fruits.
Ainsi, l’alternance Municipale fut un slogan certes, en son temps, plein de sens rationnel, mais la suite nous as édifié que ce n’est pas le slogan qui fonde la pertinence… ce qui fonde cette dernière, ne l’oublions jamais, c’est bien la maturation d’une conscience citoyenne autour d’un «idéal» de projet de société d’abord, d’un paradigme du développement durable eu égard à nos défis de pays en développement.
Cette alternance créa ainsi un désespoir total. Le rêve de milliers sénégalais s’est transformé ainsi en un cauchemar de ruine, de découragement et surtout en un déclin social
Mais quand même « ne regrettons rien, assumons notre choix ».
Nous avons fait ce qu’il fallait à l’époque pour chasser Ousmane Masseck Ndiaye qui était taxé d’arrogant. Ne le regrettons pas, Ce changement nous a permis de renforcer notre jeune démocratie mais aussi et surtout de comprendre et d’analyser les limites de l’actuelle équipe municipale en place.
D’ores et déjà, nous avons besoin d’un leadership capable d’inspirer, et de motiver les saint louisiens afin que, sans distinction politique, ethnique ou religieuse avec comme priorité l’amélioration des conditions de vie des populations.
Ainsi le futur maire de Notre ville tricentenaire devra être un citoyen crédible disposant d’une équipe compétente qui va piloter N’dar avec comme souci principal : être au chevet des populations et leur assurer un bien être.
Il va devoir donc travailler pour aider les populations à supporter leur quotidien qui devient intenable en commençant par créer les opportunités, changer les réalités sociales et éveiller les mentalités.
Pour cela, exigeons de celui ou celle qui prétend diriger la mairie qu’il dévoile d’abord sa vision ainsi que sa stratégie à transformer cette vision en réalité
De ce fait, le successeur de Cheikh Bamba Diéye devra être un homme digne et intègre, un homme de mérite, un homme imbu de valeurs démocratiques, pas un parfait homme ce qui n’existe nullement. Il doit être constant dans sa démarche et surtout respecter ses engagements vis-à-vis du peuple.
Qu’il sache que les urgences de Saint-Louis se déclinent en termes d’emplois, de soins de santé, d’éducation, de nourriture, de démocratie et de libertés. Ainsi, on attendra de lui une extrême lucidité dans les choix sur les priorités.
Pour cela, quelques soit les modalités de la prochaine élection, l’essentiel c’est que nous devons y aller avec la conviction que nous avons un impératif catégorique.
Ainsi, pour éviter de tomber dans le même piège de 2009 avec l’euphorie qui a emporté toute la population De Ndar, une étude minutieuse mérite d’être entreprise au préalable par chacun de nous avant de faire tout choix politique.
A rappeler que la politique n’est pas mauvaise, c’est l’usage que certaines personnes en font qui est répréhensible… et l’on comprendra combien est-il fascinant de faire de la politique dés lors qu’on est tenu que par la praticabilité de notre action et de notre vision…
Le moment n’est plus aux verbiages, ni aux discours interminables. Dans « la brousse Saint-Louis », l’herbe de la vie est sèche, le vent de l’accaparement est violent.
Conjointement, je m’en vais emprunter à Antoine de Saint-Exupéry, que j’aime décidemment tant, ces quelques autres mots qui synthétise bien mon raisonnement : « Pour ce qui est de l’avenir d’un pays, il ne s’agit pas de le prévoir, mais de le rendre possible. »
C’est donc, pour moi, une bonne occasion de dénoncer et de congédier le sort de cette politique politicienne qui me touche égoïstement dans ma propre chair, moi qui ne souhaiterais pas faire parti des témoins passifs mon propre histoire.
Je veux juste conscientiser les saint-louisiens à ce que les retombées et les gains de notre ville puissent retourné à nous mêmes et contribuer au bien-être social de tout un chacun dans cette communauté.
Cette ville nous appartenant tous, est-il acceptable de laisser une poignée d’hommes dilapider nos richesses
A partir d'aujourd'hui, nous devons nous relever, nous épousseter et reprendre la lourde tâche de la refondation de N’Dar.
Nous nous devons d’éviter de sombrer dans ce gouffre à tout prix. Saint-Louis peut se reprendre, notre pays peut encore rayonner, les enfants de N’Dar peuvent encore réussir, retourner à nos valeurs qui nous sont chères et qui nous ont toujours fait honneur aux yeux du monde.
Aux populations d’en attester de la véracité de l’approche, à l’opinion d’en juger de l’opportunité, mais je pense que ma modeste contribution, en ma qualité de saint-Louisiens, réveillera les esprits et installera dans le cœur de chaque domou –n’dar le dynamisme et le management moderne.
« Notre vie demeure le combat pour l’avenir de Saint-Louis»
Zahir Fall
Un patriote comme tant d’autres