Au Sénégal, la pratique de l’excision concerne 18% des filles de moins de 15 ans et 15 % des filles de moins de 10 ans, renseigne une étude du Groupe pour l'Étude et l'Enseignement de la Population (GEEP).
Les Mutilations génitales féminines (MGF) sont encore une pratique courante dans la zone nord. En effet, la région de Matam enregistre un taux de prévalence de 93% et celle de Saint-Louis 44% avec toutes les conséquences psychosomatiques qui vont avec.
Ces constats ont amené le GEEP à mettre l’accent sur les changements d’attitudes et de comportements à travers des activités de socialisation dans l’espace scolaire et communautaire et celles faisant appel à la créativité des jeunes filles et garçons.
Ainsi avec l’appui de l’UNFPA, un atelier de formation thématique de l’éducation à la santé sexuelle et celle de la reproduction et de la lutte contre les MGF.
> Suivez les explications de Mamadou KHOUMA, membre de la coordination nationale du GEEP
Les Mutilations génitales féminines (MGF) sont encore une pratique courante dans la zone nord. En effet, la région de Matam enregistre un taux de prévalence de 93% et celle de Saint-Louis 44% avec toutes les conséquences psychosomatiques qui vont avec.
Ces constats ont amené le GEEP à mettre l’accent sur les changements d’attitudes et de comportements à travers des activités de socialisation dans l’espace scolaire et communautaire et celles faisant appel à la créativité des jeunes filles et garçons.
Ainsi avec l’appui de l’UNFPA, un atelier de formation thématique de l’éducation à la santé sexuelle et celle de la reproduction et de la lutte contre les MGF.
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