Plus de 50 000 talibés squattent les rues de Dakar, selon une étude de la Cellule nationale de lutte contre la traite des personnes, entre octobre et décembre 2014, sur la mendicité des enfants au Sénégal. A eux seuls, ces enfants talibés versent à leurs maîtres coraniques une manne financière de 25 millions de francs Cfa par jour, si l’on se basait seulement de la somme de 5 00 francs exigés à chaque talibé au quotidien. Imaginez, alors, avec ces 25 millions Cfa/jour multiplier par douze mois que compte l’année! En effet, pour l’année, donc, c’est la rondelette somme de 300 millions de francs Cfa qui est versée par ces enfants talibés de la capitale sénégalaise. Un business lucratif, effectivement que oui!
Nonobstant le pactole qu’ils versent, ces enfants talibés font très souvent l’objet de sévices corporelles imputées à leurs maîtres coraniques. Parfois, pour une faute non moins grave, certains sont battus à mort. Et que dire des parents “irresponsables” qui confient ces gosses à des “assassins” déguisés ?
Certes, d’aucuns diront que ce constat est fait à dessein, pour combattre l’Islam. Loin de là. Par contre, les plus sensibles à la causes lamentables des enfants talibés l’analyseront d’un œil objectif et certainement vont se constituer voix des sans voix.
Les chiffres sont là pour traduire ce mal qui gangrène la société. Rien que pour cet exemple, les organismes de défense des droits de l’homme, la société civile ainsi que les autorités, notamment le président de la République Macky Sall doivent se saisir de la question pour qu’enfin ces enfants talibés puissent être libérés de leurs exploiteurs. Un business bien lucratif?
Nonobstant le pactole qu’ils versent, ces enfants talibés font très souvent l’objet de sévices corporelles imputées à leurs maîtres coraniques. Parfois, pour une faute non moins grave, certains sont battus à mort. Et que dire des parents “irresponsables” qui confient ces gosses à des “assassins” déguisés ?
Certes, d’aucuns diront que ce constat est fait à dessein, pour combattre l’Islam. Loin de là. Par contre, les plus sensibles à la causes lamentables des enfants talibés l’analyseront d’un œil objectif et certainement vont se constituer voix des sans voix.
Les chiffres sont là pour traduire ce mal qui gangrène la société. Rien que pour cet exemple, les organismes de défense des droits de l’homme, la société civile ainsi que les autorités, notamment le président de la République Macky Sall doivent se saisir de la question pour qu’enfin ces enfants talibés puissent être libérés de leurs exploiteurs. Un business bien lucratif?