Photo NdarInfo
La raréfaction des ressources halieutiques à Saint-Louis porte préjudice aux pêcheurs de Gueth Ndar qui se rabattent sur les eaux mauritaniennes pour assurer leur survie et s’exposer aux sanctions de la Marine côtière de ce pays.
Pour certains, l’espoir de retrouver du bon poisson au large est encore possible. « La mer est poissonneuse mais sale», « les solutions sont là, on peut draguer la mer pour enlever les saletés », déclare un spécialiste de la pêche artisanale. Pour lui, ce sont « les bateaux industriels qui déversent des produits toxiques en mer et c’est pourquoi certains espèces de poissions sont devenus introuvables ».
Pour bon nombre de pêcheurs « les bateaux industriels font leurs activités dans les zones rocheuses, lieux de reproduction des poissions et des crevettes. Et ces navires détruisent les roches pour pêcher en éliminant de ce fait les espaces de reproduction ».
En plus, « les bateaux bloquent le passage des poissions vers les grottes en haute mer et empêchent les pêcheurs de travailler », confie l’habitant de Gueth Ndar qui indique en guise de solution qu’il faut « que des montagnes de pierre soient englouties dans certaines zones pour empêcher aux bateaux de violer la zone interdite réservée à la reproduction des poissons».
« Si ce parking de reproduction mis en place avec une grande surveillance, dans 2 ans la mer deviendra poissonneuse et les pêcheurs de Saint-Louis n’iront plus vers les eaux mauritaniennes » a t’il ajouté.
Cheikh Saad Bou SEYE
Pour certains, l’espoir de retrouver du bon poisson au large est encore possible. « La mer est poissonneuse mais sale», « les solutions sont là, on peut draguer la mer pour enlever les saletés », déclare un spécialiste de la pêche artisanale. Pour lui, ce sont « les bateaux industriels qui déversent des produits toxiques en mer et c’est pourquoi certains espèces de poissions sont devenus introuvables ».
Pour bon nombre de pêcheurs « les bateaux industriels font leurs activités dans les zones rocheuses, lieux de reproduction des poissions et des crevettes. Et ces navires détruisent les roches pour pêcher en éliminant de ce fait les espaces de reproduction ».
En plus, « les bateaux bloquent le passage des poissions vers les grottes en haute mer et empêchent les pêcheurs de travailler », confie l’habitant de Gueth Ndar qui indique en guise de solution qu’il faut « que des montagnes de pierre soient englouties dans certaines zones pour empêcher aux bateaux de violer la zone interdite réservée à la reproduction des poissons».
« Si ce parking de reproduction mis en place avec une grande surveillance, dans 2 ans la mer deviendra poissonneuse et les pêcheurs de Saint-Louis n’iront plus vers les eaux mauritaniennes » a t’il ajouté.
Cheikh Saad Bou SEYE