Les travailleurs du centre hospitalier régional de Saint-Louis ont tenu un sit-in, ce matin, pour contester une « gestion opaque » et réaffirmer leur demande auprès de l’État de contrôler la direction de l’établissement sanitaire.
Le pole syndical formé en novembre dénonce notamment le non-versement d’une somme 360 millions de francs CFA à l’IPRES en indiquant que des ponctions sur les salaires ne sont également pas versées.
Honorio TENDENG et ses camarades révèlent en outre qu’une somme de 75 millions de francs CFA est due à la caisse de sécurité.
« Il n’y a pas de collaboration dans la gestion dans cette structure alors que l’hôpital est un ensemble. Chaque entité à son mot à dire », a-t-il déclaré. Les travailleurs maintiennent toujours un manquement de 844 millions FCFA de subventions et 200 millions FCFA pour la réhabilitation en renseignant que leurs démarches entreprises pour consulter les justificatifs ont été nulles.
Les travailleurs s’interrogent sur « la curieuse complicité » entre le directeur Ousmane GUEYE et l’agent comptable et révèle que ce dernier est en service à l’hôpital depuis 15 ans.
Les syndicalistes font part d’un manque de réactifs de laboratoire. Ce qui rend les analyses impossibles. Pour eux, l’indisponibilité de cet élément médical primaire traduit le malaise dans lequel la structure sanitaire est plongée.
Le pole syndical formé en novembre dénonce notamment le non-versement d’une somme 360 millions de francs CFA à l’IPRES en indiquant que des ponctions sur les salaires ne sont également pas versées.
Honorio TENDENG et ses camarades révèlent en outre qu’une somme de 75 millions de francs CFA est due à la caisse de sécurité.
« Il n’y a pas de collaboration dans la gestion dans cette structure alors que l’hôpital est un ensemble. Chaque entité à son mot à dire », a-t-il déclaré. Les travailleurs maintiennent toujours un manquement de 844 millions FCFA de subventions et 200 millions FCFA pour la réhabilitation en renseignant que leurs démarches entreprises pour consulter les justificatifs ont été nulles.
Les travailleurs s’interrogent sur « la curieuse complicité » entre le directeur Ousmane GUEYE et l’agent comptable et révèle que ce dernier est en service à l’hôpital depuis 15 ans.
Les syndicalistes font part d’un manque de réactifs de laboratoire. Ce qui rend les analyses impossibles. Pour eux, l’indisponibilité de cet élément médical primaire traduit le malaise dans lequel la structure sanitaire est plongée.