ieur le président et cher camarade, les élections locales qui nous préoccupent, me donne l’occasion de me prononcer sur une certaine façon de faire la politique.
Politiquement engagé à vos côtés, monsieur le président, je suis co-auteur du document, qui a donné naissance au programme « Yonu – Yokkuté ». Mener une politique de développement est fondamentalement ce qui a motivé ma descente dans l’arène politique.Une bonne articulation entre le PSE et l’Acte 3 de la décentralisation permettra à coup sûr de sortir notre pays de la situation dans laquelle il se trouve. Car, seul le développement des localités, chacune en fonction de ses potentialités propres, permettra au Sénégal de tendre vers l’émergence. Nous sommes convaincus, que le développement de notre département (Podor) est possible. Et, pour son harmonie, il devrait commencer par le désenclavement de certaines localités, mais surtout une volonté politique accompagnée d’une compétence et d’un savoir faire certain.
Que de projets depuis l’expérimentation de la culture de blé dans les années 70. Aucune exploitation n’est allée au-delà du stade de projet. Nous avons besoins d’entrepreneurs agricoles capables de conduire leur exploitation et d’en assurer leur pérennité. Le Président MackySall nous donne l’opportunité de réaliser ce rêve, qui s’appelle développement de la vallée du fleuve Sénégal.
Monsieur le Président, le visionnaire que vous êtes sait mieux que quiconque, qu’un tel développement n’est possible que si les populations y adhérent. Et seuls des responsables et militants convaincus, adeptes « du faire la politique autrement », peuvent vous y aider. Le principal obstacle à votre vision est la politique – politicienne, et surtout les professionnels de la politique.
La tournure des événements, liés aux investitures locales, nous montre que certaines pratiques politiques ne sont pas prêtes à changer (copinages, complots, coups-bas, mensonges, etc.). Ce sont ces pratiques qui nous ont poussé, les militants qui me font confiance et moi, à aller aux élections locales sous les couleurs du R. P. (Rassemblement pour le Peuple).
Le 28 avril 2014, à 24 heures de l’échéance du dépôt des listes en vue des élections locales, et malgré une détermination sans faille de trouver une solution pour construire une unité de l’APR, la commission litige venait de donner le ticket de mandataire à l’autre «tendance».
Au nom des militants de l’APR, je tiens à exprimer mon indignation et ma plus vive préoccupation face à ce comportement des responsables du parti du département de Podor.
Nous restons des militants convaincus de l’APR ; et seront toujours au – devant pour le combat du développement.
Le changement est et sera très difficile, mais c’est la seule voie pour un chemin porteur de développement.
Au moment où, grâce à dieu, par votre détermination sans faille, votre amour sincère de la patrie, votre sens élevé de l’Etat, le Sénégal pose les premiers jalons qui mènent vers l’émergence, nous affirmons notre volonté à accompagner votre action pour que le développement juste et durable s’installe dans chaque coin et localité du Sénégal.
Nous vous prions d’agréer, monsieur le président de la République, l’expression de notre très profond respect.
Mahmoudou Bocar Sall
Professeur Agrégé en Sciences de Gestion
Premier sénégalais agrégé
Politiquement engagé à vos côtés, monsieur le président, je suis co-auteur du document, qui a donné naissance au programme « Yonu – Yokkuté ». Mener une politique de développement est fondamentalement ce qui a motivé ma descente dans l’arène politique.Une bonne articulation entre le PSE et l’Acte 3 de la décentralisation permettra à coup sûr de sortir notre pays de la situation dans laquelle il se trouve. Car, seul le développement des localités, chacune en fonction de ses potentialités propres, permettra au Sénégal de tendre vers l’émergence. Nous sommes convaincus, que le développement de notre département (Podor) est possible. Et, pour son harmonie, il devrait commencer par le désenclavement de certaines localités, mais surtout une volonté politique accompagnée d’une compétence et d’un savoir faire certain.
Que de projets depuis l’expérimentation de la culture de blé dans les années 70. Aucune exploitation n’est allée au-delà du stade de projet. Nous avons besoins d’entrepreneurs agricoles capables de conduire leur exploitation et d’en assurer leur pérennité. Le Président MackySall nous donne l’opportunité de réaliser ce rêve, qui s’appelle développement de la vallée du fleuve Sénégal.
Monsieur le Président, le visionnaire que vous êtes sait mieux que quiconque, qu’un tel développement n’est possible que si les populations y adhérent. Et seuls des responsables et militants convaincus, adeptes « du faire la politique autrement », peuvent vous y aider. Le principal obstacle à votre vision est la politique – politicienne, et surtout les professionnels de la politique.
La tournure des événements, liés aux investitures locales, nous montre que certaines pratiques politiques ne sont pas prêtes à changer (copinages, complots, coups-bas, mensonges, etc.). Ce sont ces pratiques qui nous ont poussé, les militants qui me font confiance et moi, à aller aux élections locales sous les couleurs du R. P. (Rassemblement pour le Peuple).
Le 28 avril 2014, à 24 heures de l’échéance du dépôt des listes en vue des élections locales, et malgré une détermination sans faille de trouver une solution pour construire une unité de l’APR, la commission litige venait de donner le ticket de mandataire à l’autre «tendance».
Au nom des militants de l’APR, je tiens à exprimer mon indignation et ma plus vive préoccupation face à ce comportement des responsables du parti du département de Podor.
Nous restons des militants convaincus de l’APR ; et seront toujours au – devant pour le combat du développement.
Le changement est et sera très difficile, mais c’est la seule voie pour un chemin porteur de développement.
Au moment où, grâce à dieu, par votre détermination sans faille, votre amour sincère de la patrie, votre sens élevé de l’Etat, le Sénégal pose les premiers jalons qui mènent vers l’émergence, nous affirmons notre volonté à accompagner votre action pour que le développement juste et durable s’installe dans chaque coin et localité du Sénégal.
Nous vous prions d’agréer, monsieur le président de la République, l’expression de notre très profond respect.
Mahmoudou Bocar Sall
Professeur Agrégé en Sciences de Gestion
Premier sénégalais agrégé