De la crèche à l’université, l’utilisation des technologies de l’information et de la communication est devenue une nécessité. Les enfants sont des utilisateurs potentiels des outils de haute technologie mais, incontrôlés, ils sont enclins à la dégénérescence et au danger. Ils consacrent leur temps à utiliser des gadgets électroniques et appartiennent à la « génération branchée ». Cette argumentation de taille suscite la question suivante : puisque les enfants ont tendance à dépasser les bornes, quel rôle devrait-on jouer ? Après l’analyse contextuelle du sujet, nous exposeront les avantages de l’utilisation des TIC. Dans notre deuxième étape, nous montrerons, à travers des exemples tangibles, ses inconvénients dans le vécu quotidien des enfants. En dernière analyse, nous suggérerons des solutions à savoir comment les parents et les autorités compétentes peuvent empêcher les jeunes de se transformer en consommateurs amoraux de technologie.
Au commencement
Etymologiquement, le vocable « technologie » vient du grec techne, art ou compétence. Il s’agit de l’utilisation pratique des connaissances scientifiques dans l’industrie et dans la vie de tous les jours et elle fait partie intégrante de la civilisation humaine. N’oublions pas que les poteaux télégraphiques, si rudimentaires qu’ils fussent, ont aidé le regretté président des Américains, Abraham Lincoln, à gagner la guerre civile depuis le bureau ovale à Washington, en 1865. En outre, avant l’avènement des téléphones, postes de radio et téléviseurs, les cellulaires et Internet, il n’y avait que la presse pour assurer les couvertures médiatiques. Ce moyen d’information s’avéra utile. Même de nos jours, nous ne pouvons point nous passer des journaux parce qu’aucune source ne peut étancher la soif de savoir, d’écrire et de lire. Sa présence a donc apporté beaucoup de changements dans la vie. Elle représente le quatrième pouvoir : la voix, les yeux et oreilles des populations.
L’avenir du monde
Cependant, aujourd’hui, il y a un tournant dans le monde de l’information et de la communication. Il fut une heure où personne ne s’attendait à ce que la science découvre un réseau sans fil virtuel pour connecter les gens partout dans le monde. Mais, espoirs et espérances commencèrent à prendre forme avec Timothy Berners-Lee et Robert Cailliau, les inventeurs du Web dans les années 1990. Ensuite, la révolution du Microsoft de Bill Gates avec son camarade de classe Paul Allen naquit. Mais la force du cinquième pouvoir révéla son efficacité avec des pirates informatiques de renommée internationale tel que Julian Assange, un Britannique qui, à travers Wikileaks, divulgua des milliers d’informations louches, classées top-secret, de plusieurs pays y compris les Etats-Unis, afin de mettre à nu les cruautés déraisonnables des guerres d’Irak et d’Afghanistan, pour ne citer que ces guerres-là. De nos jours, Internet est sans aucun doute doté d’organes sensoriels aussi efficaces que ceux de Big Brother dans 1984 et des possibilités de communication qui prennent le dessus sur le téléphone. Même l’éminent écrivain, George Orwell, et le talentueux inventeur, Alexandre Graham Bell, auraient du mal à le croire.
Le télé-enseignement
Un autre aspect digne d’éloges de la technologie est sa motivation de l’éducation. Elle a rendu l’acquisition des connaissances plus facile et plus démocratique. L’ère du web a donné lieu à l’inscription gratuite dans les universités les plus prestigieuses au monde, notamment Harvard, Yale, Princeton, Sorbonne, Cambridge, entres autres. Des programmes tels que Massive Open Online Course (MOOC) permettent aux gens, qui n’ont pas les moyens ou le temps d’aller à l’université, d’apprendre en ligne gratuitement et d’une manière pratique tout en faisant d’autres activités en même temps. Avec le Net, on n’a plus besoin de faire des centaines de copies pour s’approprier d’une édition épuisée. Il suffit de taper les mots clés de ce qu’on cherche dans la barre de recherche de Google, et d’un seul clic, des millions de liens vous comblent de résultats en une fraction de seconde. Sur ce, il faut citer les banques de données généreuses en livres numériques et autres richesses intellectuelles qui dépassent largement notre attente. Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres pour fournir des preuves à l’utilité indéniable qu’offre Internet aux chercheurs. Néanmoins, la toile est trop large et tissée d’une façon si trompeuse qu’elle facilite à l’araignée monstrueuse la tâche d’attraper beaucoup plus de proies au niveau des couches les plus vulnérables des sociétés humaines.
Une nouvelle forme d’expression
Les enfants sont les utilisateurs les plus avertis des outils de haute technologie. Ils en savent plus que les adultes. Ils en profitent parce que la technologie a changé le monde rustique que nous connaissions en un village planétaire numérique où la plus improbable des choses peut y avoir lieu. C’est la raison pour laquelle son nom « cinquième pouvoir » est significatif. Par exemple, en Afrique, le vent de changement effroyable de Facebook a balayé les régimes dictatoriaux de l’Egypte, du Tunisie et de la Lybie, créant une panique maghrébine générale connue sous le nom de « printemps arabe ». « Printemps » même, évoque la jeunesse et l’espoir. Les enfants peuvent passer un long moment à tchatcher en temps réel par l’intermédiaire de Facebook, Tweeter, Skype, et autres. Ainsi, avec leurs correspondants, ils s’échangent des informations en un clin d’œil faisant des réseaux sociaux des armes modernes, puissantes et rapides pour l’action communautaire. Cette liberté d’expression unique leur donne du pouvoir et du respect.
De ce fait, « utiliser », dans le domaine des TIC, peut avoir comme synonymes : « communiquer, » « donner, » « prendre, » et « partager ». Or, elles développent la perversité et la corruption. En abuser, risque de détériorer les bonnes manières et briser les familles. Il existe des sites web influents et publics tels que Youtube et Dailymotion, desquels les internautes téléchargent des vidéos de natures différentes. Certaines images informent, divertissent, mais d’autres pervertissent. C’est là où le bât blesse. L’analyse suivante en atteste la triste véracité.
L’internet et le commerce du sexe
Beaucoup de filles mineures versent dans la prostitution après avoir été séduites par des sites web corrompus. Ces derniers se cachent sous le voile de salons de beauté ou d’agences de mannequinat basées en Europe ou en Amérique. La brutale réalité est qu’ils recherchent de l’agent sale sous le manteau. Plusieurs formes de délinquances sexuelles financées par des multinationales voient le jour sur les cendres de ces feux dévastatrices attisés par les combustibles du gain facile : les réseaux secrets de call-girl, la pornographie, le lesbianisme, l’homosexualité, le proxénétisme, entre autres. Certains experts l’appellent « esclavage des blanches » puisque de grands nombres de jeunes femmes caucasiennes en provenance d’Europe de l’est tombent dans ces abimes profonds et ténébreux pour y demeurer à jamais.
Un symbole d’individualité
A côté de ces déviances sexuelles, les gadgets électroniques tels qu’ordinateurs portables, smartphones et iPads ont une forte influence sur les jeunes gens. La lettre « i » n’insinue pas seulement « langue de programmation », mais aussi « mobilité » et « individualité ». En guise d’exemple, iPhone peut représenter ceci : « je téléphone qui je veux parce que ce gadget m’appartient et personne n’a le droit de consulter mes messages ni mes appels ». Cette individualité trop recherchée, déclenchée par l’amour inconsidéré de la communication virtuelle, pourrait être diagnostiquée sous un angle critique par le biais de plusieurs questions. Mon correspondant en Australie est-il plus proche de moi que mon voisin d’à côté ? Ai-je bien fait d’avoir partagé ma vie privée avec des inconnus sur ce site web ? Etait-il poli de poster un tel commentaire licencieux sur les idées d’autrui ? Etc.
La délivrance
Comment maîtriser l’utilisation des TIC pour endiguer le flot de sa dépendance destructrice ? Comment les gouvernements, autorités locales et parents pourraient-ils combattre les effets secondaires de l’utilisation des TIC par les enfants ? Selon Harrap’s 21st Century Dictionary, « enfant » signifie, un garçon ou une fille entre la naissance et la maturité physique manquant d’expérience et de compréhension. On en déduit que les enfants ne sont pas aussi responsables qu’on le croit à cause de leur manque de discernement. Ils ne peuvent pas toujours différencier le bien du mal si intelligents soient-ils. Il faut donc les surveiller, les encadrer et les conseiller dans les familles, écoles et centres de jeunes. Les parents font parfois preuve d’une négligence blâmable doublée de permissivité inadmissible. Ils doivent être sensibilisés aux matériels technologiques ou programmes interdits aux enfants et contrôler leurs téléphones portables à la maison tous les jours.
D’autre part, un autre moyen de lutter contre la dépravation des mœurs provoquée par l’abus des TIC, c’est d’apprendre aux enfants comment bénéficier des outils technologiques. Par exemple, au lieu de publier déraisonnablement des dizaines de photos sur les réseaux sociaux, ils peuvent créer un groupe de discussion pour partager ce qu’ils ont appris à l’école et inviter un professeur pour leur guider et corriger de temps à autre. Nous sommes tous d’accord que les mathématiques exigent de la concentration et beaucoup d’exercices. Ceci dit, pourquoi pas un cours en ligne sur Facebook, administré par un professeur « branché », dans lequel les élèves, chez eux ou en vacances, pourraient poser toute question en rapport avec les leçons qu’ils ont prises à l’école ? Ceci est un créneau pour les enseignants et les parents, désireux d’aider les enfants, à découvrir que derrière la vidéo, la musique, les sites de rencontre, les photos et ainsi de suite, l’internet offre des ressources inépuisables pour ceux qui s’intéressent à l’éducation.
En substance
Les TIC donnent beaucoup, mais par imprudence, elles peuvent prendre plus. Elles ont rendu le monde meilleur dans bien des circonstances. Combien y a-t-il de gens qui travaillent ou fondent une famille grâce à l’internet ? Cependant, combien de fois par jour entendons-nous, de par les informations ou de bouche-à-oreille, qu’un enfant a été corrompu en consultant un site web pervers ? Lorsque la révolution industrielle était à son apogée au 19ème siècle, Mahatma Gandhi nous prévint que les chemins de fer ont exacerbé le mauvais côté de la nature humaine, les méchants peuvent, désormais, faire leurs basses besognes plus vite que jamais. Aujourd’hui, le 21ème siècle vit pire. Pour informer et communiquer, la technologie fait une course acharnée contre la montre. Sa consommation inconsidérée, si on ne le contrôle pas, risque d’égarer les enfants. Puisqu’on ignore l’échelle illimitée de la technologie, se soucier de son utilisation par nos enfants équivaut à préparer un avenir meilleur pour nos petits enfants dans un monde où l’utilisation des TIC est d’une nécessité incontournable.
Au commencement
Etymologiquement, le vocable « technologie » vient du grec techne, art ou compétence. Il s’agit de l’utilisation pratique des connaissances scientifiques dans l’industrie et dans la vie de tous les jours et elle fait partie intégrante de la civilisation humaine. N’oublions pas que les poteaux télégraphiques, si rudimentaires qu’ils fussent, ont aidé le regretté président des Américains, Abraham Lincoln, à gagner la guerre civile depuis le bureau ovale à Washington, en 1865. En outre, avant l’avènement des téléphones, postes de radio et téléviseurs, les cellulaires et Internet, il n’y avait que la presse pour assurer les couvertures médiatiques. Ce moyen d’information s’avéra utile. Même de nos jours, nous ne pouvons point nous passer des journaux parce qu’aucune source ne peut étancher la soif de savoir, d’écrire et de lire. Sa présence a donc apporté beaucoup de changements dans la vie. Elle représente le quatrième pouvoir : la voix, les yeux et oreilles des populations.
L’avenir du monde
Cependant, aujourd’hui, il y a un tournant dans le monde de l’information et de la communication. Il fut une heure où personne ne s’attendait à ce que la science découvre un réseau sans fil virtuel pour connecter les gens partout dans le monde. Mais, espoirs et espérances commencèrent à prendre forme avec Timothy Berners-Lee et Robert Cailliau, les inventeurs du Web dans les années 1990. Ensuite, la révolution du Microsoft de Bill Gates avec son camarade de classe Paul Allen naquit. Mais la force du cinquième pouvoir révéla son efficacité avec des pirates informatiques de renommée internationale tel que Julian Assange, un Britannique qui, à travers Wikileaks, divulgua des milliers d’informations louches, classées top-secret, de plusieurs pays y compris les Etats-Unis, afin de mettre à nu les cruautés déraisonnables des guerres d’Irak et d’Afghanistan, pour ne citer que ces guerres-là. De nos jours, Internet est sans aucun doute doté d’organes sensoriels aussi efficaces que ceux de Big Brother dans 1984 et des possibilités de communication qui prennent le dessus sur le téléphone. Même l’éminent écrivain, George Orwell, et le talentueux inventeur, Alexandre Graham Bell, auraient du mal à le croire.
Le télé-enseignement
Un autre aspect digne d’éloges de la technologie est sa motivation de l’éducation. Elle a rendu l’acquisition des connaissances plus facile et plus démocratique. L’ère du web a donné lieu à l’inscription gratuite dans les universités les plus prestigieuses au monde, notamment Harvard, Yale, Princeton, Sorbonne, Cambridge, entres autres. Des programmes tels que Massive Open Online Course (MOOC) permettent aux gens, qui n’ont pas les moyens ou le temps d’aller à l’université, d’apprendre en ligne gratuitement et d’une manière pratique tout en faisant d’autres activités en même temps. Avec le Net, on n’a plus besoin de faire des centaines de copies pour s’approprier d’une édition épuisée. Il suffit de taper les mots clés de ce qu’on cherche dans la barre de recherche de Google, et d’un seul clic, des millions de liens vous comblent de résultats en une fraction de seconde. Sur ce, il faut citer les banques de données généreuses en livres numériques et autres richesses intellectuelles qui dépassent largement notre attente. Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres pour fournir des preuves à l’utilité indéniable qu’offre Internet aux chercheurs. Néanmoins, la toile est trop large et tissée d’une façon si trompeuse qu’elle facilite à l’araignée monstrueuse la tâche d’attraper beaucoup plus de proies au niveau des couches les plus vulnérables des sociétés humaines.
Une nouvelle forme d’expression
Les enfants sont les utilisateurs les plus avertis des outils de haute technologie. Ils en savent plus que les adultes. Ils en profitent parce que la technologie a changé le monde rustique que nous connaissions en un village planétaire numérique où la plus improbable des choses peut y avoir lieu. C’est la raison pour laquelle son nom « cinquième pouvoir » est significatif. Par exemple, en Afrique, le vent de changement effroyable de Facebook a balayé les régimes dictatoriaux de l’Egypte, du Tunisie et de la Lybie, créant une panique maghrébine générale connue sous le nom de « printemps arabe ». « Printemps » même, évoque la jeunesse et l’espoir. Les enfants peuvent passer un long moment à tchatcher en temps réel par l’intermédiaire de Facebook, Tweeter, Skype, et autres. Ainsi, avec leurs correspondants, ils s’échangent des informations en un clin d’œil faisant des réseaux sociaux des armes modernes, puissantes et rapides pour l’action communautaire. Cette liberté d’expression unique leur donne du pouvoir et du respect.
De ce fait, « utiliser », dans le domaine des TIC, peut avoir comme synonymes : « communiquer, » « donner, » « prendre, » et « partager ». Or, elles développent la perversité et la corruption. En abuser, risque de détériorer les bonnes manières et briser les familles. Il existe des sites web influents et publics tels que Youtube et Dailymotion, desquels les internautes téléchargent des vidéos de natures différentes. Certaines images informent, divertissent, mais d’autres pervertissent. C’est là où le bât blesse. L’analyse suivante en atteste la triste véracité.
L’internet et le commerce du sexe
Beaucoup de filles mineures versent dans la prostitution après avoir été séduites par des sites web corrompus. Ces derniers se cachent sous le voile de salons de beauté ou d’agences de mannequinat basées en Europe ou en Amérique. La brutale réalité est qu’ils recherchent de l’agent sale sous le manteau. Plusieurs formes de délinquances sexuelles financées par des multinationales voient le jour sur les cendres de ces feux dévastatrices attisés par les combustibles du gain facile : les réseaux secrets de call-girl, la pornographie, le lesbianisme, l’homosexualité, le proxénétisme, entre autres. Certains experts l’appellent « esclavage des blanches » puisque de grands nombres de jeunes femmes caucasiennes en provenance d’Europe de l’est tombent dans ces abimes profonds et ténébreux pour y demeurer à jamais.
Un symbole d’individualité
A côté de ces déviances sexuelles, les gadgets électroniques tels qu’ordinateurs portables, smartphones et iPads ont une forte influence sur les jeunes gens. La lettre « i » n’insinue pas seulement « langue de programmation », mais aussi « mobilité » et « individualité ». En guise d’exemple, iPhone peut représenter ceci : « je téléphone qui je veux parce que ce gadget m’appartient et personne n’a le droit de consulter mes messages ni mes appels ». Cette individualité trop recherchée, déclenchée par l’amour inconsidéré de la communication virtuelle, pourrait être diagnostiquée sous un angle critique par le biais de plusieurs questions. Mon correspondant en Australie est-il plus proche de moi que mon voisin d’à côté ? Ai-je bien fait d’avoir partagé ma vie privée avec des inconnus sur ce site web ? Etait-il poli de poster un tel commentaire licencieux sur les idées d’autrui ? Etc.
La délivrance
Comment maîtriser l’utilisation des TIC pour endiguer le flot de sa dépendance destructrice ? Comment les gouvernements, autorités locales et parents pourraient-ils combattre les effets secondaires de l’utilisation des TIC par les enfants ? Selon Harrap’s 21st Century Dictionary, « enfant » signifie, un garçon ou une fille entre la naissance et la maturité physique manquant d’expérience et de compréhension. On en déduit que les enfants ne sont pas aussi responsables qu’on le croit à cause de leur manque de discernement. Ils ne peuvent pas toujours différencier le bien du mal si intelligents soient-ils. Il faut donc les surveiller, les encadrer et les conseiller dans les familles, écoles et centres de jeunes. Les parents font parfois preuve d’une négligence blâmable doublée de permissivité inadmissible. Ils doivent être sensibilisés aux matériels technologiques ou programmes interdits aux enfants et contrôler leurs téléphones portables à la maison tous les jours.
D’autre part, un autre moyen de lutter contre la dépravation des mœurs provoquée par l’abus des TIC, c’est d’apprendre aux enfants comment bénéficier des outils technologiques. Par exemple, au lieu de publier déraisonnablement des dizaines de photos sur les réseaux sociaux, ils peuvent créer un groupe de discussion pour partager ce qu’ils ont appris à l’école et inviter un professeur pour leur guider et corriger de temps à autre. Nous sommes tous d’accord que les mathématiques exigent de la concentration et beaucoup d’exercices. Ceci dit, pourquoi pas un cours en ligne sur Facebook, administré par un professeur « branché », dans lequel les élèves, chez eux ou en vacances, pourraient poser toute question en rapport avec les leçons qu’ils ont prises à l’école ? Ceci est un créneau pour les enseignants et les parents, désireux d’aider les enfants, à découvrir que derrière la vidéo, la musique, les sites de rencontre, les photos et ainsi de suite, l’internet offre des ressources inépuisables pour ceux qui s’intéressent à l’éducation.
En substance
Les TIC donnent beaucoup, mais par imprudence, elles peuvent prendre plus. Elles ont rendu le monde meilleur dans bien des circonstances. Combien y a-t-il de gens qui travaillent ou fondent une famille grâce à l’internet ? Cependant, combien de fois par jour entendons-nous, de par les informations ou de bouche-à-oreille, qu’un enfant a été corrompu en consultant un site web pervers ? Lorsque la révolution industrielle était à son apogée au 19ème siècle, Mahatma Gandhi nous prévint que les chemins de fer ont exacerbé le mauvais côté de la nature humaine, les méchants peuvent, désormais, faire leurs basses besognes plus vite que jamais. Aujourd’hui, le 21ème siècle vit pire. Pour informer et communiquer, la technologie fait une course acharnée contre la montre. Sa consommation inconsidérée, si on ne le contrôle pas, risque d’égarer les enfants. Puisqu’on ignore l’échelle illimitée de la technologie, se soucier de son utilisation par nos enfants équivaut à préparer un avenir meilleur pour nos petits enfants dans un monde où l’utilisation des TIC est d’une nécessité incontournable.