Les Industries Chimiques du Sénégal (ICS), où l’État détient 5 % du capital, refusent d’accueillir un représentant de la Société des Mines du Sénégal (SOMISEN) au sein de leur conseil d’administration, malgré une demande du ministre en charge des Mines. Contrairement aux 14 autres sociétés minières où l’État est actionnaire, les ICS campent sur leur position, illustrant une défiance persistante.
Ce refus s’ajoute à une dette colossale : selon un rapport de la Cour des comptes, les ICS doivent à l’État 192 milliards de FCFA de redevances minières non payées, un montant en forte augmentation depuis 2000. Pendant ce temps, l’entreprise continue de verser des dividendes, sans que l’État puisse réellement contrôler ses finances.
Un expert du secteur rappelle avec ironie que cette situation dure depuis 1981, soit depuis que le président Bassirou Diomaye Faye n’avait qu’un an. Un dossier brûlant qui reste sous examen à la Primature.
Ce refus s’ajoute à une dette colossale : selon un rapport de la Cour des comptes, les ICS doivent à l’État 192 milliards de FCFA de redevances minières non payées, un montant en forte augmentation depuis 2000. Pendant ce temps, l’entreprise continue de verser des dividendes, sans que l’État puisse réellement contrôler ses finances.
Un expert du secteur rappelle avec ironie que cette situation dure depuis 1981, soit depuis que le président Bassirou Diomaye Faye n’avait qu’un an. Un dossier brûlant qui reste sous examen à la Primature.