Le Parti démocratique sénégalais réaffirme sa volonté d'aller aux législatives sous la bannière "d'une grande coalition de l'opposition patriotique". L'objectif selon, Omar Sarr qui dirigeait la délégation libérale à Diourbel, "c'est de défaire le régime en place, être majoritaire à l'Assemblée Nationale et impulser un coup politique nouveau". Il a indiqué que les partis vont discuter sur la question, proposer un programme sur lequel, en cas de victoire, ils vont s'appuyer pour les éléments de gouvernement. Pour le coordonnateur du PDS, l'urgence, ce sont les élections législatives.
Mais sur cette ouverture à d'autres partis, le président du Conseil départemental de Diourbel Khadim Guèye appelle à jouer la prudence. Il pense qu'il ne faudrait pas ouvrir largement les bras et accueillir tous ceux qui le désirent, redoutant que certains partis les larguent par la suite pour rejoindre le camp présidentiel. Le PDS comptera-t-il sur ses alliés de "Mako Wattu Sénégal"? Les responsables de la formation libérale pensent que même si le PDS en est un des initiateurs, la structure n'en est pas pour autant une coalition électorale.
Sur la cas Karim Wade, Oumar Sarr assure qu'il n'y a rien qui interdit sa candidature en 2019. " Nous voulons gagner les élections de 2017 et affirmer notre majorité, et comme cela, nous prémunir de toute mesure liberticide que le gouvernement actuel prévoit pour empêcher à Karim Wade d'être candidat. Car, il ne peut pas y avoir d'élection présidentielle sans la candidature du PDS, sans la candidature de Karim Wade. Ca, c'est clair pour nous tous et pour le gouvernement. Donc, nous pensons qu'il n'y aura pas d'autre entrave", répond-il à ceux qui disqualifient Wade-fils, condamné à 6 ans de prison ferme pour enrichissement illicite.
source: le quotidien
Mais sur cette ouverture à d'autres partis, le président du Conseil départemental de Diourbel Khadim Guèye appelle à jouer la prudence. Il pense qu'il ne faudrait pas ouvrir largement les bras et accueillir tous ceux qui le désirent, redoutant que certains partis les larguent par la suite pour rejoindre le camp présidentiel. Le PDS comptera-t-il sur ses alliés de "Mako Wattu Sénégal"? Les responsables de la formation libérale pensent que même si le PDS en est un des initiateurs, la structure n'en est pas pour autant une coalition électorale.
Sur la cas Karim Wade, Oumar Sarr assure qu'il n'y a rien qui interdit sa candidature en 2019. " Nous voulons gagner les élections de 2017 et affirmer notre majorité, et comme cela, nous prémunir de toute mesure liberticide que le gouvernement actuel prévoit pour empêcher à Karim Wade d'être candidat. Car, il ne peut pas y avoir d'élection présidentielle sans la candidature du PDS, sans la candidature de Karim Wade. Ca, c'est clair pour nous tous et pour le gouvernement. Donc, nous pensons qu'il n'y aura pas d'autre entrave", répond-il à ceux qui disqualifient Wade-fils, condamné à 6 ans de prison ferme pour enrichissement illicite.
source: le quotidien