L’Assemblée nationale se penche sur le projet de Loi de finances rectificative (LFR) pour l’année 2025. Lors de son intervention, le député non-inscrit Thierno Alassane SALL, également leader du mouvement République des Valeurs, a mis en lumière des incohérences notables dans la gestion budgétaire actuelle, soulignant un « paradoxe » entre la rationalisation annoncée et le maintien d’agences inutiles.
« Nous constatons un déficit budgétaire qui sert essentiellement à subventionner de la consommation. Ce déficit est tellement important que, paradoxalement, vous maintenez une nomenclature administrative pléthorique, composée d’agences qui ne servent à rien », a dénoncé SALL. Cette incohérence, selon lui, contribue à creuser davantage le déficit tout en alimentant une structure administrative jugée excessive.
Le député a précisé que les besoins de financement pour couvrir ce déficit atteignent près de 4491 milliards CFA, un montant largement supérieur aux recettes prévues du budget. « Pour la première fois, les financements extérieurs dépassent les recettes du budget », a-t-il alerté, mettant ainsi en exergue une situation alarmante qui pousse à agir rapidement.
Thierno Alassane SALL conclut son discours en appelant à une action immédiate : « Il est impérieux de faire quelque chose ici et maintenant, sans renvoyer les décisions à plus tard. » Son intervention soulève des questions cruciales quant à la viabilité du cadre budgétaire actuel et l’efficacité des agences gouvernementales, incitant les décideurs à reconsidérer leurs priorités face à une situation économique difficile.
« Nous constatons un déficit budgétaire qui sert essentiellement à subventionner de la consommation. Ce déficit est tellement important que, paradoxalement, vous maintenez une nomenclature administrative pléthorique, composée d’agences qui ne servent à rien », a dénoncé SALL. Cette incohérence, selon lui, contribue à creuser davantage le déficit tout en alimentant une structure administrative jugée excessive.
Le député a précisé que les besoins de financement pour couvrir ce déficit atteignent près de 4491 milliards CFA, un montant largement supérieur aux recettes prévues du budget. « Pour la première fois, les financements extérieurs dépassent les recettes du budget », a-t-il alerté, mettant ainsi en exergue une situation alarmante qui pousse à agir rapidement.
Thierno Alassane SALL conclut son discours en appelant à une action immédiate : « Il est impérieux de faire quelque chose ici et maintenant, sans renvoyer les décisions à plus tard. » Son intervention soulève des questions cruciales quant à la viabilité du cadre budgétaire actuel et l’efficacité des agences gouvernementales, incitant les décideurs à reconsidérer leurs priorités face à une situation économique difficile.