L'homme révèle être victime de graves troubles de vision, héritées des tortures du régime de Mawiya Ould Taya. « On nous obligeait à regarder d'intenses sources de lumière et ils n'hésitaient, au cours de ses séquestrations inhumaines, à mettre des cigarettes dans nos yeux », explique M. Diop, joint par Ndarinfo.com.
Depuis 2006, le président des réfugiés mauritaniens à Saint-Louis soufre d'une forme rare de glaucome. « Aujourd'hui, je ne vois presque plus et le HCR pense que mes interpellations sont poussées par un souci d'insertion. C'est ma santé qui me préoccupe et c'est pour ce que je me bats », a-t-il laissé entendre.
« Je dois subir une opération dans un centre spécialisé. C'est une intervention minutieuse qui exige une grande expertise, au cas contraire, je perdrais à jamais l'usage de mes yeux. J'appelle le HCR à généraliser leurs actions et à ne pas se pas se focaliser seulement sur les réfugiés de Dakar », lance M. Diop.
Depuis 2006, le président des réfugiés mauritaniens à Saint-Louis soufre d'une forme rare de glaucome. « Aujourd'hui, je ne vois presque plus et le HCR pense que mes interpellations sont poussées par un souci d'insertion. C'est ma santé qui me préoccupe et c'est pour ce que je me bats », a-t-il laissé entendre.
« Je dois subir une opération dans un centre spécialisé. C'est une intervention minutieuse qui exige une grande expertise, au cas contraire, je perdrais à jamais l'usage de mes yeux. J'appelle le HCR à généraliser leurs actions et à ne pas se pas se focaliser seulement sur les réfugiés de Dakar », lance M. Diop.