Arrivée en Guinée dans la mi-journée de mardi en moto-taxi par la frontière nord avec la Guinée-Bissau, les jihadistes sont repartis dans leur pays sous bonne escorte sécuritaire à bord d’un vol spécial, un boeing 737 affrété par Nouakchott.
Saleck Ould Cheikh, le jihadiste le plus recherché par les autorités mauritaniennes, en cavale depuis le 31 décembre dernier, est donc tombé dans les filets de la gendarmerie guinéenne sans effusion de sang.
Accompagné d’un de ses compatriotes, Mohamedine Ould Samba, soupçonné de l’avoir aidé dans son évasion, et de deux bissau-guinéens, ils ont été arrêtés grâce à la collaboration de la Section syndicale des transporteurs routiers de Boké, alertée par une source bissau-guinéenne. Un dispositif léger a été alors mis en place avant l’arrivée des jihadistes, qui n’ont pas hésité à ouvrir le feu sur les gendarmes guinéens au moment de leur fouille.
Aucun blessé n’a été enregistré et les quatre fugitifs ont été conduits à la brigade de gendarmerie de Boké puis transférés à Conakry avant de prendre un vol spécial en direction de Nouakchott. Là-bas, le convoi policier transportant les deux hommes a quitté l’aéroport par une issue à l’abri des regards des journalistes et des curieux, vers une destination inconnue.
Saleck Ould Cheikh, le jihadiste le plus recherché par les autorités mauritaniennes, en cavale depuis le 31 décembre dernier, est donc tombé dans les filets de la gendarmerie guinéenne sans effusion de sang.
Accompagné d’un de ses compatriotes, Mohamedine Ould Samba, soupçonné de l’avoir aidé dans son évasion, et de deux bissau-guinéens, ils ont été arrêtés grâce à la collaboration de la Section syndicale des transporteurs routiers de Boké, alertée par une source bissau-guinéenne. Un dispositif léger a été alors mis en place avant l’arrivée des jihadistes, qui n’ont pas hésité à ouvrir le feu sur les gendarmes guinéens au moment de leur fouille.
Aucun blessé n’a été enregistré et les quatre fugitifs ont été conduits à la brigade de gendarmerie de Boké puis transférés à Conakry avant de prendre un vol spécial en direction de Nouakchott. Là-bas, le convoi policier transportant les deux hommes a quitté l’aéroport par une issue à l’abri des regards des journalistes et des curieux, vers une destination inconnue.
Pour nous, il est extrêmement important de collaborer avec les Etats voisins et nous sommes extrêmement vigilants à nos frontières. Il fallait veiller à ce qu’ils n’utilisent pas le territoire guinéen. Nous ne pouvons accepter que le territoire soit utilisé par quiconque à l’encontre de notre pays. Alpha CONDE