Le débat qui se pose sur le choix des compétences constituant le gouvernement de Macky Sall ne laisse personne indifférente. Certains adoptent une position de neutralité objective et prudente, jugeant qu’il serait trop tôt de porter une quelconque observation critique. C’est à la lumière des actes et des résultats des uns et des autres qu’il serait plus judicieux de faire des observations. Cette position ne peut être que salutaire car fondée sur la prudence, mère de la sureté et donc de la sagesse. D’autres, émettent une appréciation somme toute positive. Car ils pensent que Macky a globalement, tenu parole en réalisant la promesse électorale : limitation des portefeuilles ministériels à 25, entrée par les compétences (les hommes qu’il faut à la place qu’il faut), intégration des membres des coalitions et des partis qui l’ont soutenu au deuxième tour. De ce fait, il ne reste qu’à lui souhaiter une bonne réussite pour le bien et l’intérêt du peuple sénégalais.
Ailleurs, on retrouve, ceux qui affirment leur désapprobation totale allant même jusqu’à qualifier la nouvelle équipe de reproduction de l’ancien régime. Ce jugement relèverait tout simplement d’un point de vue normal dans une démocratie qui consacre la liberté d’expression et d’opinion dans sa loi fondamentale. Mais, ce qui choc et heurte la conscience, c’est qu’il est injustement ciblé sur un certain nombre de personnes, en l’occurrence sur l’honorable Youssou Ndour sur lequel une certaine opinion s’acharne, de façon on ne plus insoutenable. Ce qui est grave, ce n’est certainement pas les arguments avancés car aucun, fort heureusement, ne tient la route, mais, c’est les effets nocifs de l’intoxication qu’ils peuvent provoquer dans la conscience de certains. Et puisque, comme on le dit en Wolof « Saytané wahoul deugue, wayé yak na khèl » (le menteur ne dit pas la vérité mais peut susciter le doute,) il urge, non pas, de prendre la défense de Monsieur Ndour (Ses prestations dans la campagne et les actions qu’il a posées l’ont déjà fait), mais de participer à l’éradication d’un certain nombre de préjugés rétrogrades qui freinent la marche de notre société car antidémocratiques et relevant d’un autre âge.
Je n’en crois pas à mes oreilles quand j’entends, les arguments légers et scandaleux selon lesquels Youssou Ndour ne sait pas parler correctement le Français ou qu’il n’est pas intellectuel ou qu’il n’a pas le profil. C’est d’autant plus grave que ces formules qui ne relèvent pas du débat d’idée, viennent de là où on était loin de les attendre. Mais heureusement, ils ne convainquent personne à moins qu’on soit sot et naïf comme Candide, car oser affirmer que Youssou Ndour ne parle pas correctement pas Français c’est oser affirmer que le soleil ne se lève pas au Sénégal. Maintenant, si c’est à cause d’un « le » mis à la place d’une « la » ou vis versa qui motiverait de tels allégations, autant dire que personne au Sénégal n’est compétent pour être ministre. Au demeurant, si la compétence se jaugeait à la capacité de manier avec virtuosité la langue de Molière, Dakar serait comme Paris en 2000 tel le prédisait l’agrégé en grammaire française, le président Senghor.
Cela dit, suffit il de faire l’école pour bâtir ? J.J. Rousseau, lui-même qui s’inspire de sa propre expérience, ne disait-il pas que le grand livre de la vie c’est la découverte du monde. Il n’a jamais fait les bancs comme beaucoup de savants autodidactes qui jusqu’à présent constituent des références pour toute l’humanité. Quand est-ce que l’on comprendra que l’école n’est pas le seul lieu d’apprentissage ? Que le Français n’est qu’un outil de communication qui ne vaut pas plus que le wolof ou le Soninké pour ne citer que ces exemples de notre riche patrimoine linguistique.
Une autre bourde, certains pensent que n’est pas intellectuel, celui qui ne sait pas parler Français ou qui n’a pas suivi le cursus académique classique. Mais, qu’est – ce qu’un intellectuel ? Celui qui est bourré de diplômes académiques, comme Wade, et qui passe tout son temps à tromper son peuple, à détourner des milliards publics, ou bien celui qui n’a pas fait les bancs, mais qui s’est battu durant toute sa vie pour sa réussite et pour se mettre au service de sa communauté ? Choisissez ! Youssou Ndour est un self made man ! Comme le préconisait le président J.F Kennedy, c’est un citoyen qui ne s’est pas demandé qu’est ce le pays pouvait faire pour lui ? Mais, qu’est-ce qu’il pouvait faire pour son pays ? Il n’a pas fait « l’école du Blanc », mais, l’école de la vie : il n’a pas seulement réussi dans le domaine où il excelle, mais il a réussi dans d’autres disciplines comme le management, la gestion des ressources humaines, la communication en bâtissant une industrie culturelle, et tout récemment dans la politique. Il s’est auparavant s’imposer comme l’une des personnalités les plus influentes du monde.
Rien que sa participation à l’élection présidentielle, a attiré les observateurs internationaux qui ne savaient même où se trouvait le Sénégal. Alassane Samba Diop l’a d’ailleurs, (dit après l’intervention surprenante de Tamsir Ndiaye à la TFM) : Vous allez dans les pays les plus reculés du monde, au japon, en Australie, ils ne connaissent que Youssou Ndour et El Hadji Diouf. Qui donc redorera mieux que Youssou Ndour, Ministre de la Culture et du Tourisme, le blason du Sénégal écorché vive par 12 ans de népotisme de gabegies, de pillage, d’escroquerie, par le régime libéral ? Qui donc sera plus capable que Youssou Ndour d’attirer les investisseurs et de favoriser l’émergence d’un Tourisme de qualité dans un environnement culturel maîtrisé ! Bien sûr, il d’autres compétences mais qui sont aussi valables que lui.
L’on argue que la Culture ne se limite pas à la musique ! Youssou Ndour le sait très bien, et c’est pourquoi il a bâti une industrie culturelle qui prend en charge, non pas toutes, mais bien plusieurs dimensions de la culture qui dépasse la musique.
Ce qui se passe c’est que Youssou Ndour est victime du complexe de Caïn : son intrusion et son ascension fulgurante dans la vie politique, chasse gardée d’un certain clan politicien et intellectualiste qui ne dit pas son nom, a renversé de tenaces préjugés qui subsistent encore dans certaines consciences mal éclairés qui voudrait toujours confiner d’honnêtes citoyens à l’immobilisme et à la dépendance. Ainsi, a –t-il crée des jaloux sans le vouloir, tel Caïn qui a tué son petit frère Abel coupable d’avoir pris la place de l’enfant choyé par ses parents. Ici, puisque le meurtre est impossible, il est reversé dans le registre du dénigrement (agressivité et violence verbale injustifiées) qui est l’arme des faibles.
Nous croyons que la nomination de Youssou Ndour devrait susciter vraiment un enthousiasme et non une rancœur car, tel le rêve américain, elle est une promesse au peuple sénégalais à qui il dit : Yes we can ! Oui nous pouvons le faire ! Nous pouvons accéder aux fonctions les plus élevées dans ce pays, nous pouvons y accéder à force de persévérance dans le travail, d’abnégation et d’engagement au profit de son peuple, et non en chantant les louanges du président ou en formant un particule politique. D’autres peuples l’ont réussi, (comme le Brésil avec Lula Da Silva, ancien tourneur qui a quitté les bancs à l’âge de 10 ans mais qui, en tant que Président de la république (2003 à 2011) a réussi à faire émerger son pays), pourquoi pas nous ?
La nomination de Youssou Ndour comme Ministre aura au moins permis la réalisation de ces belles promesses de notre Constitution :
- l'accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux.
- le rejet et l'élimination, sous toutes leurs formes de l'injustice, des inégalités et des discriminations ;
Elle permettra, j’en suis convaincu à plusieurs enfants, dont le rêve, était loin d’accéder à un certain statut politique, (à cause de leur origine ou métier modeste) de se dire, aujourd’hui en regardant Youssou Ndour, impossible, pour parodier le général De Gaulle, n’est pas sénégalais.
Par ailleurs, il n’est mentionné dans aucun des articles de la Constitution relevant du Gouvernement (de l’art. 53 l’art. à 57) qu’un ministre doit être choisi sur la base d’un critère orthographique ou grammatical. La nomination ministérielle émanant du suffrage indirect, (le peuple élit le Président mais c’est le Président qui choisit le chef de Gouvernement lequel bien entendu en collaboration avec le Président choisit les ministres), c’est le chef de Gouvernement qui assume l’entière responsabilité quant au choix au non d’un Ministre.
Outre, ne pas nommer untel ministre par ce qu’il est artiste relève d’un argument qui n’a de mesure que l’ignorance et le mépris que, au-delà de la personne, on porte sur l’Art et la Culture en général : C’est une insulte dont tous le monde culturel devrait s’offusquer. Or, l’importance et la primauté de ce domaine est affichées au fronton de notre Constitution :
« Le Président de la République est le gardien de la Constitution. Il est le premier Protecteur des Arts et des Lettres du Sénégal. » (Article 42)
On n’a pas écrit Protecteur des sciences et des techniques, mais bien Protecteur des Arts et des Lettres. Pourquoi tant de mépris donc à l’endroit des artistes ?
Aujourd’hui la victoire du peuple sénégalais est saluée par tout le monde ! Une nouvelle ère s’ouvre ! Un nouveau gouvernement est mis en place ! Certes, rien n’est parfait dans ce bas monde et que tout choix est arbitraire ! A défaut de prier pour la réussite au profit de tous, sachons au moins raison gardée et restons sage en adoptant une position de neutralité objective qui recommande de juger sur la base des actes et des résultats qui ne tarderont pas. Sinon on serait taxé d’oiseau de mauvais augure ou tout simplement de méchant. Et comme on le dit « Ku soxor gawa dé », Ne vivra pas longtemps, celui qui porte la rancune injustifiée !
Abdoulaye Sall, professeur de Lettres (LCG)
Ailleurs, on retrouve, ceux qui affirment leur désapprobation totale allant même jusqu’à qualifier la nouvelle équipe de reproduction de l’ancien régime. Ce jugement relèverait tout simplement d’un point de vue normal dans une démocratie qui consacre la liberté d’expression et d’opinion dans sa loi fondamentale. Mais, ce qui choc et heurte la conscience, c’est qu’il est injustement ciblé sur un certain nombre de personnes, en l’occurrence sur l’honorable Youssou Ndour sur lequel une certaine opinion s’acharne, de façon on ne plus insoutenable. Ce qui est grave, ce n’est certainement pas les arguments avancés car aucun, fort heureusement, ne tient la route, mais, c’est les effets nocifs de l’intoxication qu’ils peuvent provoquer dans la conscience de certains. Et puisque, comme on le dit en Wolof « Saytané wahoul deugue, wayé yak na khèl » (le menteur ne dit pas la vérité mais peut susciter le doute,) il urge, non pas, de prendre la défense de Monsieur Ndour (Ses prestations dans la campagne et les actions qu’il a posées l’ont déjà fait), mais de participer à l’éradication d’un certain nombre de préjugés rétrogrades qui freinent la marche de notre société car antidémocratiques et relevant d’un autre âge.
Je n’en crois pas à mes oreilles quand j’entends, les arguments légers et scandaleux selon lesquels Youssou Ndour ne sait pas parler correctement le Français ou qu’il n’est pas intellectuel ou qu’il n’a pas le profil. C’est d’autant plus grave que ces formules qui ne relèvent pas du débat d’idée, viennent de là où on était loin de les attendre. Mais heureusement, ils ne convainquent personne à moins qu’on soit sot et naïf comme Candide, car oser affirmer que Youssou Ndour ne parle pas correctement pas Français c’est oser affirmer que le soleil ne se lève pas au Sénégal. Maintenant, si c’est à cause d’un « le » mis à la place d’une « la » ou vis versa qui motiverait de tels allégations, autant dire que personne au Sénégal n’est compétent pour être ministre. Au demeurant, si la compétence se jaugeait à la capacité de manier avec virtuosité la langue de Molière, Dakar serait comme Paris en 2000 tel le prédisait l’agrégé en grammaire française, le président Senghor.
Cela dit, suffit il de faire l’école pour bâtir ? J.J. Rousseau, lui-même qui s’inspire de sa propre expérience, ne disait-il pas que le grand livre de la vie c’est la découverte du monde. Il n’a jamais fait les bancs comme beaucoup de savants autodidactes qui jusqu’à présent constituent des références pour toute l’humanité. Quand est-ce que l’on comprendra que l’école n’est pas le seul lieu d’apprentissage ? Que le Français n’est qu’un outil de communication qui ne vaut pas plus que le wolof ou le Soninké pour ne citer que ces exemples de notre riche patrimoine linguistique.
Une autre bourde, certains pensent que n’est pas intellectuel, celui qui ne sait pas parler Français ou qui n’a pas suivi le cursus académique classique. Mais, qu’est – ce qu’un intellectuel ? Celui qui est bourré de diplômes académiques, comme Wade, et qui passe tout son temps à tromper son peuple, à détourner des milliards publics, ou bien celui qui n’a pas fait les bancs, mais qui s’est battu durant toute sa vie pour sa réussite et pour se mettre au service de sa communauté ? Choisissez ! Youssou Ndour est un self made man ! Comme le préconisait le président J.F Kennedy, c’est un citoyen qui ne s’est pas demandé qu’est ce le pays pouvait faire pour lui ? Mais, qu’est-ce qu’il pouvait faire pour son pays ? Il n’a pas fait « l’école du Blanc », mais, l’école de la vie : il n’a pas seulement réussi dans le domaine où il excelle, mais il a réussi dans d’autres disciplines comme le management, la gestion des ressources humaines, la communication en bâtissant une industrie culturelle, et tout récemment dans la politique. Il s’est auparavant s’imposer comme l’une des personnalités les plus influentes du monde.
Rien que sa participation à l’élection présidentielle, a attiré les observateurs internationaux qui ne savaient même où se trouvait le Sénégal. Alassane Samba Diop l’a d’ailleurs, (dit après l’intervention surprenante de Tamsir Ndiaye à la TFM) : Vous allez dans les pays les plus reculés du monde, au japon, en Australie, ils ne connaissent que Youssou Ndour et El Hadji Diouf. Qui donc redorera mieux que Youssou Ndour, Ministre de la Culture et du Tourisme, le blason du Sénégal écorché vive par 12 ans de népotisme de gabegies, de pillage, d’escroquerie, par le régime libéral ? Qui donc sera plus capable que Youssou Ndour d’attirer les investisseurs et de favoriser l’émergence d’un Tourisme de qualité dans un environnement culturel maîtrisé ! Bien sûr, il d’autres compétences mais qui sont aussi valables que lui.
L’on argue que la Culture ne se limite pas à la musique ! Youssou Ndour le sait très bien, et c’est pourquoi il a bâti une industrie culturelle qui prend en charge, non pas toutes, mais bien plusieurs dimensions de la culture qui dépasse la musique.
Ce qui se passe c’est que Youssou Ndour est victime du complexe de Caïn : son intrusion et son ascension fulgurante dans la vie politique, chasse gardée d’un certain clan politicien et intellectualiste qui ne dit pas son nom, a renversé de tenaces préjugés qui subsistent encore dans certaines consciences mal éclairés qui voudrait toujours confiner d’honnêtes citoyens à l’immobilisme et à la dépendance. Ainsi, a –t-il crée des jaloux sans le vouloir, tel Caïn qui a tué son petit frère Abel coupable d’avoir pris la place de l’enfant choyé par ses parents. Ici, puisque le meurtre est impossible, il est reversé dans le registre du dénigrement (agressivité et violence verbale injustifiées) qui est l’arme des faibles.
Nous croyons que la nomination de Youssou Ndour devrait susciter vraiment un enthousiasme et non une rancœur car, tel le rêve américain, elle est une promesse au peuple sénégalais à qui il dit : Yes we can ! Oui nous pouvons le faire ! Nous pouvons accéder aux fonctions les plus élevées dans ce pays, nous pouvons y accéder à force de persévérance dans le travail, d’abnégation et d’engagement au profit de son peuple, et non en chantant les louanges du président ou en formant un particule politique. D’autres peuples l’ont réussi, (comme le Brésil avec Lula Da Silva, ancien tourneur qui a quitté les bancs à l’âge de 10 ans mais qui, en tant que Président de la république (2003 à 2011) a réussi à faire émerger son pays), pourquoi pas nous ?
La nomination de Youssou Ndour comme Ministre aura au moins permis la réalisation de ces belles promesses de notre Constitution :
- l'accès de tous les citoyens, sans discrimination, à l'exercice du pouvoir à tous les niveaux.
- le rejet et l'élimination, sous toutes leurs formes de l'injustice, des inégalités et des discriminations ;
Elle permettra, j’en suis convaincu à plusieurs enfants, dont le rêve, était loin d’accéder à un certain statut politique, (à cause de leur origine ou métier modeste) de se dire, aujourd’hui en regardant Youssou Ndour, impossible, pour parodier le général De Gaulle, n’est pas sénégalais.
Par ailleurs, il n’est mentionné dans aucun des articles de la Constitution relevant du Gouvernement (de l’art. 53 l’art. à 57) qu’un ministre doit être choisi sur la base d’un critère orthographique ou grammatical. La nomination ministérielle émanant du suffrage indirect, (le peuple élit le Président mais c’est le Président qui choisit le chef de Gouvernement lequel bien entendu en collaboration avec le Président choisit les ministres), c’est le chef de Gouvernement qui assume l’entière responsabilité quant au choix au non d’un Ministre.
Outre, ne pas nommer untel ministre par ce qu’il est artiste relève d’un argument qui n’a de mesure que l’ignorance et le mépris que, au-delà de la personne, on porte sur l’Art et la Culture en général : C’est une insulte dont tous le monde culturel devrait s’offusquer. Or, l’importance et la primauté de ce domaine est affichées au fronton de notre Constitution :
« Le Président de la République est le gardien de la Constitution. Il est le premier Protecteur des Arts et des Lettres du Sénégal. » (Article 42)
On n’a pas écrit Protecteur des sciences et des techniques, mais bien Protecteur des Arts et des Lettres. Pourquoi tant de mépris donc à l’endroit des artistes ?
Aujourd’hui la victoire du peuple sénégalais est saluée par tout le monde ! Une nouvelle ère s’ouvre ! Un nouveau gouvernement est mis en place ! Certes, rien n’est parfait dans ce bas monde et que tout choix est arbitraire ! A défaut de prier pour la réussite au profit de tous, sachons au moins raison gardée et restons sage en adoptant une position de neutralité objective qui recommande de juger sur la base des actes et des résultats qui ne tarderont pas. Sinon on serait taxé d’oiseau de mauvais augure ou tout simplement de méchant. Et comme on le dit « Ku soxor gawa dé », Ne vivra pas longtemps, celui qui porte la rancune injustifiée !
Abdoulaye Sall, professeur de Lettres (LCG)