Le chef de l’Etat Macky Sall s’était fixé comme objectif d’atteindre l’autosuffisance en riz en 2017. Mais, à travers cet engagement politique, ‘’beaucoup de contraintes ont été levées’’ en termes de mécanisation, de problèmes post-récoltes, de stockage, selon le Secrétaire général du Comité interprofessionnel du riz, Charles Large.
‘’Maintenant, nous allons vers la commercialisation. Avec l’implication des importateurs de riz, des quotas sont alloués pour l’acquisition du riz local. Cela contribue à améliorer le réseau de distribution qui existait déjà à travers les rizeries locales. Ces dernières sont en train d’être relevées sur le plan technique pour que la qualité corresponde aux exigences des femmes sénégalaises’’, a-t-il soutenu.
Le gouvernement a alloué 5 milliards de francs CFA pour le fonds de commercialisation du riz paddy. Un montant qui n’est pas encore totalement consommé. ‘’Ce qui veut dire qu’il y a encore des difficultés dans l’acquisition du riz paddy et sa commercialisation. Il s’agit entre autres de la collecte, de l’achat du riz à temps, le décorticage en termes de qualité, l’écoulement sur le marché et les jonctions à faire entre les importations et la production locale’’, a précisé M. Large.
Pour sa part, le vice-président de l'Association des consommateurs du Sénégal (Ascosen), Momath Cissé, a estimé que la solution pour régler la question de la commercialisation du riz entier, c’est de mettre en œuvre la campagne de sensibilisation sur les habitudes alimentaires, prônée par le chef de l’Etat.
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‘’Maintenant, nous allons vers la commercialisation. Avec l’implication des importateurs de riz, des quotas sont alloués pour l’acquisition du riz local. Cela contribue à améliorer le réseau de distribution qui existait déjà à travers les rizeries locales. Ces dernières sont en train d’être relevées sur le plan technique pour que la qualité corresponde aux exigences des femmes sénégalaises’’, a-t-il soutenu.
Le gouvernement a alloué 5 milliards de francs CFA pour le fonds de commercialisation du riz paddy. Un montant qui n’est pas encore totalement consommé. ‘’Ce qui veut dire qu’il y a encore des difficultés dans l’acquisition du riz paddy et sa commercialisation. Il s’agit entre autres de la collecte, de l’achat du riz à temps, le décorticage en termes de qualité, l’écoulement sur le marché et les jonctions à faire entre les importations et la production locale’’, a précisé M. Large.
Pour sa part, le vice-président de l'Association des consommateurs du Sénégal (Ascosen), Momath Cissé, a estimé que la solution pour régler la question de la commercialisation du riz entier, c’est de mettre en œuvre la campagne de sensibilisation sur les habitudes alimentaires, prônée par le chef de l’Etat.
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