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Professeur de lettres de formation et ensuite critique littéraire aux Nouvelles Editions africaines du Sénégal (Neas), Souleymane Ndiaye a fait les beaux jours de Sud et de Walfadjiri. Il continue son aventure dans la presse au mensuel « Démocratie », avant de rejoindre le quotidien « Le Matin » où il retrouve son collègue et ami Boubacar Boris Diop.
Son expérience en bandoulière, Souleymane Ndiaye a cheminé avec un autre journaliste de talent, Ibou Fall, pour lancer les quotidiens « Tract » et « Frasques» au début des années 2000 et ont fondé avec le caricaturiste Odia le mensuel satirique « P’tit railleur sénégalais ».
Son expérience en bandoulière, Souleymane Ndiaye a cheminé avec un autre journaliste de talent, Ibou Fall, pour lancer les quotidiens « Tract » et « Frasques» au début des années 2000 et ont fondé avec le caricaturiste Odia le mensuel satirique « P’tit railleur sénégalais ».
«Puriste de la langue, Souleymane était un brillant esprit, une plume exquise et doté d’une culture encyclopédique», témoigne le journaliste Ibou Fall, son ami et fidèle compagnon dans quelques intéressantes aventures journalistiques.
Souleymane Ndiaye fut aussi Conseiller en communication du Conseil national de concertation des ruraux (Cncr) et a eu à lancer le journal de la Foire internationale de l’agriculture et des Ressources animales (Fiara).
Ferloo présente à sa famille et ses amis Ibou Fall et Boris Diop, ses sincères condoléances.
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