La gratuité de la dialyse est effective dans les structures publiques depuis le 1er juillet dernier, a annoncé le professeur Boucar Diouf, chef du service néphrologie de l’hôpital Aristide Le Dantec, point focal de l'insuffisance rénale au ministère de la Santé et de l'Action sociale.
‘’La dialyse est gratuite, je parle de l’hémodialyse même. Elle est gratuite à l’hôpital Le Dantec, à l’hôpital Principal et à l’hôpital de Saint-Louis’’, a-t-il dit sur les ondes de la radio privée RFM, indiquant que ‘’pour les structures privées, l’Etat a envoyé une convention pour la réduction des coûts de l’hémodialyse’’.
Selon lui, ‘’la balle est dans le camp des privés qui doivent faire une contre-proposition pour que tout le monde puisse se retrouver et définir exactement quel sera le taux dans le privé et dans chaque structure’’.
Le nombre de machines étant limité, ‘’il a été introduit au niveau de l’Assemblée (nationale), dans le cadre de la loi des finances rectificative, la possibilité de mettre un centre à Grand-Yoff, Kaolack, Tambacounda, Ziguinchor et Touba’’.
Au Sénégal, plus de 15.000 personnes souffrent d’insuffisance rénale et devaient débourser 60.000 francs CFA tous les deux jours pour se faire soigner, dans un contexte de pauvreté des ménages sénégalais.
Pour sa part, la Fondation Servir le Sénégal de Marième Faye Sall, épouse du chef de l’Etat sénégalais, est en train de mettre de l’ordre dans son "appui ponctuel" aux "cas sociaux" parmi les malades souffrant de l’insuffisance rénale aiguë.
‘’A la date du 1er août, en l’espace de deux mois, nous avions engagé des dépenses de plus de 8 millions pour 100 cas et il fallait voir plus clair’’, a confié à l'APS, son administrateur, Alioune Fall Sall.
‘’Jamais nous n’avions eu la prétention d’assurer la dialyse à tous les malades et tout le temps, c’était un appui ponctuel à la limite de nos moyens’’, a-t-il expliqué.
Sa fondation s’informait auprès des représentants des malades eux-mêmes, des cas sociaux nécessitant un traitement urgent à la charge de Servir le Sénégal.
‘’Nous encouragions (les autorités) à la baisse de 50% du coût de la dialyse, de 60.000 francs par séance à 30.000 francs.’’
‘’La dialyse est gratuite, je parle de l’hémodialyse même. Elle est gratuite à l’hôpital Le Dantec, à l’hôpital Principal et à l’hôpital de Saint-Louis’’, a-t-il dit sur les ondes de la radio privée RFM, indiquant que ‘’pour les structures privées, l’Etat a envoyé une convention pour la réduction des coûts de l’hémodialyse’’.
Selon lui, ‘’la balle est dans le camp des privés qui doivent faire une contre-proposition pour que tout le monde puisse se retrouver et définir exactement quel sera le taux dans le privé et dans chaque structure’’.
Le nombre de machines étant limité, ‘’il a été introduit au niveau de l’Assemblée (nationale), dans le cadre de la loi des finances rectificative, la possibilité de mettre un centre à Grand-Yoff, Kaolack, Tambacounda, Ziguinchor et Touba’’.
Au Sénégal, plus de 15.000 personnes souffrent d’insuffisance rénale et devaient débourser 60.000 francs CFA tous les deux jours pour se faire soigner, dans un contexte de pauvreté des ménages sénégalais.
Pour sa part, la Fondation Servir le Sénégal de Marième Faye Sall, épouse du chef de l’Etat sénégalais, est en train de mettre de l’ordre dans son "appui ponctuel" aux "cas sociaux" parmi les malades souffrant de l’insuffisance rénale aiguë.
‘’A la date du 1er août, en l’espace de deux mois, nous avions engagé des dépenses de plus de 8 millions pour 100 cas et il fallait voir plus clair’’, a confié à l'APS, son administrateur, Alioune Fall Sall.
‘’Jamais nous n’avions eu la prétention d’assurer la dialyse à tous les malades et tout le temps, c’était un appui ponctuel à la limite de nos moyens’’, a-t-il expliqué.
Sa fondation s’informait auprès des représentants des malades eux-mêmes, des cas sociaux nécessitant un traitement urgent à la charge de Servir le Sénégal.
‘’Nous encouragions (les autorités) à la baisse de 50% du coût de la dialyse, de 60.000 francs par séance à 30.000 francs.’’