Quand il ne fournit pas une conférence à l’Université de Dodoma (Udom) dans la capitale Tanzanienne , il est souvent en train de passer au crible des piles de livres à la bibliothèque.
Dr Abdallah Possi, un avocat de 36 ans, qui est connu pour son esprit juridique , et son comportement modeste. Ce qui lui a valu la réputation incontestable de défenseur des droits humains, cette nomination est un espoir, pour la lutte contre les meurtres d’albinos en Tanzanie.
Possi devient la première personne atteinte d’albinisme à occuper un poste ministériel puissant. Et le troisième à devenir membre du parlement Tanzanien.
Plus de 70 albinos, ont été brutalement assassinées en Tanzanie dans la dernière décennie, selon les chiffres des Nations Unies.
Le gouvernement tanzanien a accordé la responsabilité de ces crimes rituels, à des personnes qui se disent « sorciers ».
Car souvent ils demandent à leurs clients, d’apporter des organes d’albinos, qu’ils utilisent pour faire des sortilèges magiques. Dans l’espoir de rendre leurs clients riches et chanceux.
Des débuts modestes
Abdallah Possi est né le 25 Août 1979, à Dar es Salaam. Il est l’un des deux enfants atteints d’albinisme dans une famille de trois personnes.
L’albinisme est une maladie congénitale qui affecte environ une personne sur 20 000 dans le monde, selon les autorités médicales. Il est, cependant, plus fréquent en Afrique sub-saharienne.
Possi été intéressé par la loi et les droits humains depuis l’enfance. Il a étudié le droit à l’Université de Dar es Salaam, et un an plus tard, il a eu un bref passage comme instituteur à l’Institut de l’administration judiciaire dans la région orientale de Tanga. puis il est retourné en 2007 finir son master à l’Université de Dar es-Salaam. Pendant ses études à l’université, il a prêté serment en tant que défenseur de la Haute Cour.
Enfin Il rejoint l’Université de Dodoma en 2010, comme professeur adjoint et plus tard, il gravi les échelons pour devenir le doyen de la faculté de droit. En 2014, il complète son doctorat à l’Université de Friedrich Alexander à Nuremberg, en Allemagne, où il se spécialise en droit constitutionnel.
Possi n’a pas connu de stigmatisation avec ses frères, car ils sont grandi dans la même maison, cependant, les ennuis ont commencé, quand il a débuté sa scolarité .
« Plus jeune, certains enfants me narguer, ou bien essayé de me pincer la peau pour voir comment je réagissais, » se souvient-il dans une récente interview avec DW.
La mère de Possi a regardé autour d’elle, et a été choquée de comprendre, que c’était de son fils que l’enfant parlait.
ET étonnamment, l’autre femme dit à sa fille que le garçon était en fait «l’enfant du diable, » la mère de Possi ;
« Je me suis arrêté et j’ai demandé à cette femme comment elle se sentirait, si s’était son fils qui été appelé par ce nom, » dit-elle.
Lutter contre la discrimination
Possi dit que la persécution contre les albinos est basée sur la peur de l’inconnu.
« La plupart des gens ne comprennent pas que l’albinisme est une partie de la diversité humaine. Nous devons changer nos attitudes et créer un environnement favorable pour que les gens de toutes les races puissent profiter de leur liberté », at-il dit.
Possi, qui est le premier albinos, à détenir un diplôme de doctorat en Tanzanie, est profondément attachée aux questions des droits de l’homme. Sa thèse de doctorat portait sur les droits des personnes handicapées, non seulement en Tanzanie, mais dans toute l’Afrique.
D’après Possi, la notion mal conçue selon laquelle, les parties du corps des albinos apportent la richesse et la chance, est totalement absurde.
« L’albinisme est une maladie scientifique, mais la plupart des gens dans les villages ne comprennent pas cela. Si les parties du corps des albinos valaient quelque chose je serais très riche », at-il dit.
Assumant ses nouvelles responsabilités, Possi est confiant dans son rôle, de sensibilisation sur l’albinisme à travers le pays.
Dr Abdallah Possi, un avocat de 36 ans, qui est connu pour son esprit juridique , et son comportement modeste. Ce qui lui a valu la réputation incontestable de défenseur des droits humains, cette nomination est un espoir, pour la lutte contre les meurtres d’albinos en Tanzanie.
«C’est un jeune homme, qui est profondément engagé dans la défense des droits humains», a déclaré Elias Mugisha, un avocat des droits de l’homme basée à Dar es-Salaam.
Plus de 70 albinos, ont été brutalement assassinées en Tanzanie dans la dernière décennie, selon les chiffres des Nations Unies.
Le gouvernement tanzanien a accordé la responsabilité de ces crimes rituels, à des personnes qui se disent « sorciers ».
Car souvent ils demandent à leurs clients, d’apporter des organes d’albinos, qu’ils utilisent pour faire des sortilèges magiques. Dans l’espoir de rendre leurs clients riches et chanceux.
Des débuts modestes
Abdallah Possi est né le 25 Août 1979, à Dar es Salaam. Il est l’un des deux enfants atteints d’albinisme dans une famille de trois personnes.
L’albinisme est une maladie congénitale qui affecte environ une personne sur 20 000 dans le monde, selon les autorités médicales. Il est, cependant, plus fréquent en Afrique sub-saharienne.
Possi été intéressé par la loi et les droits humains depuis l’enfance. Il a étudié le droit à l’Université de Dar es Salaam, et un an plus tard, il a eu un bref passage comme instituteur à l’Institut de l’administration judiciaire dans la région orientale de Tanga. puis il est retourné en 2007 finir son master à l’Université de Dar es-Salaam. Pendant ses études à l’université, il a prêté serment en tant que défenseur de la Haute Cour.
Enfin Il rejoint l’Université de Dodoma en 2010, comme professeur adjoint et plus tard, il gravi les échelons pour devenir le doyen de la faculté de droit. En 2014, il complète son doctorat à l’Université de Friedrich Alexander à Nuremberg, en Allemagne, où il se spécialise en droit constitutionnel.
Possi n’a pas connu de stigmatisation avec ses frères, car ils sont grandi dans la même maison, cependant, les ennuis ont commencé, quand il a débuté sa scolarité .
« Plus jeune, certains enfants me narguer, ou bien essayé de me pincer la peau pour voir comment je réagissais, » se souvient-il dans une récente interview avec DW.
Beaucoup d’albinos en Tanzanie, en particulier les jeunes enfants, font l’objet de discrimination.
La mère de Possi, qui est professeur de psychologie à l’Université de Dar es Salaam, se rappelle il y’a quelques années, alors qu’elle se promenait avec son fils, elle a entendu un enfant qui demandait à sa mère de venir voir un »Mzungu » (un enfant blanc) . La mère de Possi a regardé autour d’elle, et a été choquée de comprendre, que c’était de son fils que l’enfant parlait.
ET étonnamment, l’autre femme dit à sa fille que le garçon était en fait «l’enfant du diable, » la mère de Possi ;
« Je me suis arrêté et j’ai demandé à cette femme comment elle se sentirait, si s’était son fils qui été appelé par ce nom, » dit-elle.
Lutter contre la discrimination
Possi dit que la persécution contre les albinos est basée sur la peur de l’inconnu.
« La plupart des gens ne comprennent pas que l’albinisme est une partie de la diversité humaine. Nous devons changer nos attitudes et créer un environnement favorable pour que les gens de toutes les races puissent profiter de leur liberté », at-il dit.
Possi, qui est le premier albinos, à détenir un diplôme de doctorat en Tanzanie, est profondément attachée aux questions des droits de l’homme. Sa thèse de doctorat portait sur les droits des personnes handicapées, non seulement en Tanzanie, mais dans toute l’Afrique.
D’après Possi, la notion mal conçue selon laquelle, les parties du corps des albinos apportent la richesse et la chance, est totalement absurde.
« L’albinisme est une maladie scientifique, mais la plupart des gens dans les villages ne comprennent pas cela. Si les parties du corps des albinos valaient quelque chose je serais très riche », at-il dit.
Assumant ses nouvelles responsabilités, Possi est confiant dans son rôle, de sensibilisation sur l’albinisme à travers le pays.