La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) constitue ''un véritable'' problème pour la Compagnie agricole de Saint-Louis (CASL), a déclaré, lundi, son directeur des opérations, François Grandi, plaidant pour une exonération, afin de faciliter l’extension des activités de cette société qui a démarré en juillet 2013.
‘’Nous bénéficions d’une exonération sur le matériel agricole mais pas sur le gasoil et le matériel de construction utilisés pour les besoins de l'entreprise’’, a dit M. Grandi.
Il présentait cette structure au directeur général de la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé (SAED), Samba Kanté, en tournée pré-hivernale dans le delta.
Selon M. Grandi, qui a invité le DG de la SAED à intercéder pour le règlement de ce problème, ‘’en un an, nous avons consommé 200 000 litres de gasoil équivalant à deux véhicules 4X4 Prado neufs ou 10 ha d’aménagement de plus’’.
''La CASL peut bénéficier de certaines dispositions du code général des impôts qui offrent des allégements fiscaux aux investisseurs et affecter cette somme à d’autres secteurs pour son extension'', a-t-il indiqué.
Financée par la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque européenne d’investissement (BEI), cette société mise en place par des Français a investi 30 milliards de F CFA. Elle exploite des terres affectées par la communauté rurale de Diama dont les populations profitent du chenal de 8 km pour accéder à l’eau et d’autres avantages bien mentionnés dans la convention liant les deux parties.
''A terme, elle ambitionne d’aménager 4000 ha et d'améliorer la production du riz en visant le haut de gamme auquel sont initiés les producteurs locaux dans le cadre d’une formation, malgré la préférence de la majorité des consommateurs pour le riz brisé'', a dit M. Grandi.
Aps
‘’Nous bénéficions d’une exonération sur le matériel agricole mais pas sur le gasoil et le matériel de construction utilisés pour les besoins de l'entreprise’’, a dit M. Grandi.
Il présentait cette structure au directeur général de la Société d’aménagement des terres du delta et de la Falémé (SAED), Samba Kanté, en tournée pré-hivernale dans le delta.
Selon M. Grandi, qui a invité le DG de la SAED à intercéder pour le règlement de ce problème, ‘’en un an, nous avons consommé 200 000 litres de gasoil équivalant à deux véhicules 4X4 Prado neufs ou 10 ha d’aménagement de plus’’.
''La CASL peut bénéficier de certaines dispositions du code général des impôts qui offrent des allégements fiscaux aux investisseurs et affecter cette somme à d’autres secteurs pour son extension'', a-t-il indiqué.
Financée par la Banque africaine de développement (BAD) et la Banque européenne d’investissement (BEI), cette société mise en place par des Français a investi 30 milliards de F CFA. Elle exploite des terres affectées par la communauté rurale de Diama dont les populations profitent du chenal de 8 km pour accéder à l’eau et d’autres avantages bien mentionnés dans la convention liant les deux parties.
''A terme, elle ambitionne d’aménager 4000 ha et d'améliorer la production du riz en visant le haut de gamme auquel sont initiés les producteurs locaux dans le cadre d’une formation, malgré la préférence de la majorité des consommateurs pour le riz brisé'', a dit M. Grandi.
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