Le Directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des sciences économiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis a déploré hier, jeudi 7 mai, la mise à l’écart des chercheurs et intellectuels africains dans l’élaboration des plans stratégiques de lutte contre la pandémie du Covid-19 par les pouvoirs politiques qui préfèrent faire du «copier et coller» des propositions des autres pays.
Invité matinal d’Iradio avec son collègue, Dr Cheikh Ibrahima Niang, Socio-anthropologue, le professeur Birahim Guèye a indiqué que, pour vaincre cette pandémie, le Sénégal doit jouer la carte de «l’organisation et la de discipline dans la stratégie mise en œuvre.
Alors que le continent africain fait face à une montée en puissance de la pandémie du Covid-19 qui a déjà occasionné 2009 décès pour 51915 personnes contaminées, le Directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des Sciences économiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis est monté au créneau hier, jeudi 7 mai, pour déplorer l’attitude des pouvoirs politiques du continent. Invité matinal chez nos confrères d’Iradio, le professeur Birahim Guèye a indiqué que ces derniers, en lieu et place de recueillir les avis des chercheurs et intellectuels africains dans l’élaboration des plans stratégiques de lutte contre cette pandémie, préfèrent plutôt faire du «copier et coller» des propositions des autres pays.
Poursuivant son propos, l’enseignant chercheur a souligné dans la foulée que c’est cette situation qui fait qu’«ils prennent souvent des décisions qui ne collent pas à nos réalités». Par ailleurs, se prononçant sur la situation de notre pays qui totalise 1492 cas positifs pour 13 décès liés au Covid-19, le professeur Birahim Guèye indiquera que cette pandémie a «permis de déceler nos faiblesses sur le plan stratégique», tout en soulignant que «les Sénégalais ne doivent pas dormir sur leurs lauriers». Qui plus est, il a relevé que le Sénégal doit jouer la carte de «l’organisation et de la discipline dans la stratégie mise en œuvre pour vaincre cette pandémie».
Abondant dans le même sens, son collègue et co-invité de cette émission matinal d’Iradio, Dr Cheikh Ibrahima Niang, Socio-anthropologue, soulignera que «le système médical à lui seul ne suffira pas pour stopper la propagation de cette maladie. Selon lui, il faut non seulement «les apports des autres secteurs, notamment les secteurs économiques et autres» mais aussi «le respect à la lettre des mesures édictées» ainsi que des «sanctions aux récalcitrants».
En effet, pour le professeur Niang, «la voie du salut se trouve dans la solidarité et l’entre-aide si notre pays veut rapidement remporter le combat qui l’oppose à l’impitoyable Covid-19».
SUDONLINE
Invité matinal d’Iradio avec son collègue, Dr Cheikh Ibrahima Niang, Socio-anthropologue, le professeur Birahim Guèye a indiqué que, pour vaincre cette pandémie, le Sénégal doit jouer la carte de «l’organisation et la de discipline dans la stratégie mise en œuvre.
Alors que le continent africain fait face à une montée en puissance de la pandémie du Covid-19 qui a déjà occasionné 2009 décès pour 51915 personnes contaminées, le Directeur de l’Unité de formation et de recherche (Ufr) des Sciences économiques à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis est monté au créneau hier, jeudi 7 mai, pour déplorer l’attitude des pouvoirs politiques du continent. Invité matinal chez nos confrères d’Iradio, le professeur Birahim Guèye a indiqué que ces derniers, en lieu et place de recueillir les avis des chercheurs et intellectuels africains dans l’élaboration des plans stratégiques de lutte contre cette pandémie, préfèrent plutôt faire du «copier et coller» des propositions des autres pays.
Poursuivant son propos, l’enseignant chercheur a souligné dans la foulée que c’est cette situation qui fait qu’«ils prennent souvent des décisions qui ne collent pas à nos réalités». Par ailleurs, se prononçant sur la situation de notre pays qui totalise 1492 cas positifs pour 13 décès liés au Covid-19, le professeur Birahim Guèye indiquera que cette pandémie a «permis de déceler nos faiblesses sur le plan stratégique», tout en soulignant que «les Sénégalais ne doivent pas dormir sur leurs lauriers». Qui plus est, il a relevé que le Sénégal doit jouer la carte de «l’organisation et de la discipline dans la stratégie mise en œuvre pour vaincre cette pandémie».
Abondant dans le même sens, son collègue et co-invité de cette émission matinal d’Iradio, Dr Cheikh Ibrahima Niang, Socio-anthropologue, soulignera que «le système médical à lui seul ne suffira pas pour stopper la propagation de cette maladie. Selon lui, il faut non seulement «les apports des autres secteurs, notamment les secteurs économiques et autres» mais aussi «le respect à la lettre des mesures édictées» ainsi que des «sanctions aux récalcitrants».
En effet, pour le professeur Niang, «la voie du salut se trouve dans la solidarité et l’entre-aide si notre pays veut rapidement remporter le combat qui l’oppose à l’impitoyable Covid-19».
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