Tout juste après ma sortie de la semaine dernière sur ce média, j'ai reçu des menaces et des attaques de personnes qui veulent me faire taire mais, elles ignorent que c'est, d'avance, une peine perdue. La plus audacieux d'entre elles est allée jusqu'à me dire ceci sur facebook:" Tu es en train de scier la branche sur laquelle tu es assis: l'UGB".
Il a parfaitement raison mais, malheureusement, il ne se rend même pas compte. C'est vrai qu'il ne se trompe pas: je suis en train de scier la branche sur laquelle je suis assis car c'est une blanche dans un mauvais état, c'est-à-dire cassée et pleine de termites qui la rongent. En plus, elle s'incline. Donc, elle a besoin de bûcheron comme moi pour l'abattre afin que d'autres blanches plus florissantes et plus résistantes puissent renaitre dans les prochains jours.
Je ferme ces parenthèses pour aller à l'essentiel!
L'insécurité aux campus sociaux est, à l'heure où j'écris ces lignes, inquiétante. Je n'ai pas encore fini de parler des herbes non encore défrichées dans sa totalité que surgissent des séries d'agression en espace d'une semaine.
Le dernier cas d'agression dont j'ai des preuves date d'hier (dimanche le 6 octobre 2019). Une étudiante en Licence 3 de Langues Étrangères Appliquées a été agressée sur le chemin du restaurant no2 à l'heure du dîner. J'ai vu la jeune fille en question et l'état dans lequel elle était. Et, malgré tout, ce matin du lundi, elle est venue à l'UFR de LSH avec beaucoup de souffrance pour faire son examen de rattrapage. Je l'ai vu et elle souffrait. Heureusement qu'elle est sortie de l'agression avec un pieds enflé du fait du violent coup qu'elle a reçu sur cette partie de son corps. D'après elle, l'agresseur a emporté sa pochette.
L'autre agression est un cas de viol sur une étudiante qui habite le village N (au campus2). Pour ce cas, j'ai tout fait en vain pour connaitre la victime et avoir plus d'informations. De toutes façons, nous sommes à l'UGB, au pays des rumeurs: rien ne se cache ici. Par conséquent, j'en aurai forcément un échos. Franchement, j'aurais aimer la connaitre afin de l'obliger à porter plainte contre X et, s'il y a vraiment cas de viol, qu'elle puisse livrer aux gendarmes les habits qu'elle portait au moment de l'agression pour une expertise. De toutes façons, je vais suivre le dossier.
Tout cela est causé par le manque d'éclairage et de voies de passages occupées par des herbes non évacuées. Les campus sociaux manquent d'éclairage et les étudiants vivent dans une obscurité indescriptible surtout avec l'emplacement très éloigné du restaurant no 2 ( derrière les villages F et G). Les étudiants qui s'y rendent se servent de leurs téléphones portables heureusement équipés de lampe torche pour éclairer leur chemin.
Le CROUS a des agents électriciens qui sont recrutés en CDI. Donc, qu'est-ce qui les empêche de descendre sur le terrain afin de rétablir la totalité de l'éclairage?
Je comprends pourquoi ce manque d'actions et d'initiatives. L'autorité vient très rarement aux campus sociaux et jamais la nuit. Ce qui fait qu'elle ignore la galère des étudiants. Même la direction qui est transférée à Khor en raison de travaux faits au niveau de l'ancienne direction mérite un vrai débat avec ses non-dits. Je consacrerai une contribution spéciale sur le deal qu'il y a dans le transfert provisoire de la direction du CROUS à Khor, dans un bâtiment dont le propriétaire est le repreneur du restaurant no1.
Les délégués sont très fatigués. Je ne les défends pas et ils le savent. J'ai eu à les redresser en avril dernier dans une contribution postée sur ndarinfo. Mais, ce qui me plait beaucoup et me rassure, c'est qu'ils ont beaucoup appris de mes conseils. Dans leurs démarches, je sens qu'ils suivent mes conseils. C'est pourquoi, je les appuis en ce moment dans leur combat très bien justifié. S'ils se détournent de l'idéal, ils s'entendront. Mais, pour le moment, leur combat est bien justifié.
Toutefois, je leur demande juste en tant que grand frère de ne pas prendre la question du wifi comme une revendication prioritaire. Le cas du château d'eaux aussi, je crois que les travaux ont bien avancé et il faut encore donner deux à trois mois à l'autorité pour qu'elle s'y mette. Je me suis rendu là-bas ce matin du lundi 7 octobre pour voir l'etat des travaux. Quant au démarrage de la construction des blocs administratifs et pédagogiques, de l'extension des restaurants universitaire ainsi que la livraison des 2000lits, ne reculez jamais sur ces points. Vous avez mon soutien!
Il faut que l'on oblige le Directeur du CROUS à travailler. On ne lui paie pas nos trois million deux cent mille francs (3.200.000f) pour qu'il fasse la belle vie et dormir sous ses lauriers. On veut des résultats positifs sinon il me verra toujours sur sa route.
Dr Mame Alé Mbaye
Docteur en Littérature orale
Spécialiste en analyse des discours
Membre du laboratoire: Groupe de Recherche en Analyse des Discours (GRADIS)
email: engagementmbaye@gmail.com
Il a parfaitement raison mais, malheureusement, il ne se rend même pas compte. C'est vrai qu'il ne se trompe pas: je suis en train de scier la branche sur laquelle je suis assis car c'est une blanche dans un mauvais état, c'est-à-dire cassée et pleine de termites qui la rongent. En plus, elle s'incline. Donc, elle a besoin de bûcheron comme moi pour l'abattre afin que d'autres blanches plus florissantes et plus résistantes puissent renaitre dans les prochains jours.
Je ferme ces parenthèses pour aller à l'essentiel!
L'insécurité aux campus sociaux est, à l'heure où j'écris ces lignes, inquiétante. Je n'ai pas encore fini de parler des herbes non encore défrichées dans sa totalité que surgissent des séries d'agression en espace d'une semaine.
Le dernier cas d'agression dont j'ai des preuves date d'hier (dimanche le 6 octobre 2019). Une étudiante en Licence 3 de Langues Étrangères Appliquées a été agressée sur le chemin du restaurant no2 à l'heure du dîner. J'ai vu la jeune fille en question et l'état dans lequel elle était. Et, malgré tout, ce matin du lundi, elle est venue à l'UFR de LSH avec beaucoup de souffrance pour faire son examen de rattrapage. Je l'ai vu et elle souffrait. Heureusement qu'elle est sortie de l'agression avec un pieds enflé du fait du violent coup qu'elle a reçu sur cette partie de son corps. D'après elle, l'agresseur a emporté sa pochette.
L'autre agression est un cas de viol sur une étudiante qui habite le village N (au campus2). Pour ce cas, j'ai tout fait en vain pour connaitre la victime et avoir plus d'informations. De toutes façons, nous sommes à l'UGB, au pays des rumeurs: rien ne se cache ici. Par conséquent, j'en aurai forcément un échos. Franchement, j'aurais aimer la connaitre afin de l'obliger à porter plainte contre X et, s'il y a vraiment cas de viol, qu'elle puisse livrer aux gendarmes les habits qu'elle portait au moment de l'agression pour une expertise. De toutes façons, je vais suivre le dossier.
Tout cela est causé par le manque d'éclairage et de voies de passages occupées par des herbes non évacuées. Les campus sociaux manquent d'éclairage et les étudiants vivent dans une obscurité indescriptible surtout avec l'emplacement très éloigné du restaurant no 2 ( derrière les villages F et G). Les étudiants qui s'y rendent se servent de leurs téléphones portables heureusement équipés de lampe torche pour éclairer leur chemin.
Le CROUS a des agents électriciens qui sont recrutés en CDI. Donc, qu'est-ce qui les empêche de descendre sur le terrain afin de rétablir la totalité de l'éclairage?
Je comprends pourquoi ce manque d'actions et d'initiatives. L'autorité vient très rarement aux campus sociaux et jamais la nuit. Ce qui fait qu'elle ignore la galère des étudiants. Même la direction qui est transférée à Khor en raison de travaux faits au niveau de l'ancienne direction mérite un vrai débat avec ses non-dits. Je consacrerai une contribution spéciale sur le deal qu'il y a dans le transfert provisoire de la direction du CROUS à Khor, dans un bâtiment dont le propriétaire est le repreneur du restaurant no1.
Les délégués sont très fatigués. Je ne les défends pas et ils le savent. J'ai eu à les redresser en avril dernier dans une contribution postée sur ndarinfo. Mais, ce qui me plait beaucoup et me rassure, c'est qu'ils ont beaucoup appris de mes conseils. Dans leurs démarches, je sens qu'ils suivent mes conseils. C'est pourquoi, je les appuis en ce moment dans leur combat très bien justifié. S'ils se détournent de l'idéal, ils s'entendront. Mais, pour le moment, leur combat est bien justifié.
Toutefois, je leur demande juste en tant que grand frère de ne pas prendre la question du wifi comme une revendication prioritaire. Le cas du château d'eaux aussi, je crois que les travaux ont bien avancé et il faut encore donner deux à trois mois à l'autorité pour qu'elle s'y mette. Je me suis rendu là-bas ce matin du lundi 7 octobre pour voir l'etat des travaux. Quant au démarrage de la construction des blocs administratifs et pédagogiques, de l'extension des restaurants universitaire ainsi que la livraison des 2000lits, ne reculez jamais sur ces points. Vous avez mon soutien!
Il faut que l'on oblige le Directeur du CROUS à travailler. On ne lui paie pas nos trois million deux cent mille francs (3.200.000f) pour qu'il fasse la belle vie et dormir sous ses lauriers. On veut des résultats positifs sinon il me verra toujours sur sa route.
Dr Mame Alé Mbaye
Docteur en Littérature orale
Spécialiste en analyse des discours
Membre du laboratoire: Groupe de Recherche en Analyse des Discours (GRADIS)
email: engagementmbaye@gmail.com