''Le libéralisme devait permettre la démocratisation de la vente de l'engrais qui ne doit pas être monopolisée par une seule personne'', a dit le leader de Rewmi qui était à Ross-Béthio mardi pour s'enquérir
des difficultés auxquelles les riziculteurs du delta et de la vallée du fleuve Sénégal sont confrontés dans le cadre de la production agricole.
Ainsi, après avoir visité les champs de Serigne Moussa Nawel Ibn Moustapha Bassirou Mbacké situés à Mboundom, le maire de Thiès a félicité ce dernier pour les efforts qu'il déploie en vue de vivifier
l'héritage hérité de Serigne Ahmadou Bamba, qui s'articule autour de l'expansion, du rayonnement de l'islam, de la transmission du savoir, de la mystique du travail bien fait.
Pour lui, le rendement de 10 tonnes à l'hectare qu'il a noté dans les champs de Serigne moussa Nawel, prouve que le Sénégal est capable de produire la quantité de riz dont il a besoin pour survivre.
Cependant, a-t-il précisé, le secteur de l'agriculture ne donne pas grand-chose alors qu'il fait travailler 70% de la population.
Dans le programme que nous allons proposer aux sénégalais, a-t-il poursuivi, "il est prévu, en priorité, la valorisation des terres de culture qui passerait nécessairement par l'exploitation des périmètres
situés dans des zones où l'accès à l'eau ne pose aucun problème".
Après avoir rappelé que les berges du Oualo offrent un cadre idéal pour le développement de l'agriculture, qu'un volume d'eau de 6 milliards de mètres cube est disponible entre les barrages de Diama et
de Manantali pour l'irrigation de 240.000 ha dans la vallée.
SAD
des difficultés auxquelles les riziculteurs du delta et de la vallée du fleuve Sénégal sont confrontés dans le cadre de la production agricole.
Ainsi, après avoir visité les champs de Serigne Moussa Nawel Ibn Moustapha Bassirou Mbacké situés à Mboundom, le maire de Thiès a félicité ce dernier pour les efforts qu'il déploie en vue de vivifier
l'héritage hérité de Serigne Ahmadou Bamba, qui s'articule autour de l'expansion, du rayonnement de l'islam, de la transmission du savoir, de la mystique du travail bien fait.
Pour lui, le rendement de 10 tonnes à l'hectare qu'il a noté dans les champs de Serigne moussa Nawel, prouve que le Sénégal est capable de produire la quantité de riz dont il a besoin pour survivre.
Cependant, a-t-il précisé, le secteur de l'agriculture ne donne pas grand-chose alors qu'il fait travailler 70% de la population.
Dans le programme que nous allons proposer aux sénégalais, a-t-il poursuivi, "il est prévu, en priorité, la valorisation des terres de culture qui passerait nécessairement par l'exploitation des périmètres
situés dans des zones où l'accès à l'eau ne pose aucun problème".
Après avoir rappelé que les berges du Oualo offrent un cadre idéal pour le développement de l'agriculture, qu'un volume d'eau de 6 milliards de mètres cube est disponible entre les barrages de Diama et
de Manantali pour l'irrigation de 240.000 ha dans la vallée.
SAD