Plusieurs dizaines de femmes de la région de Thiès (centre) ont répondu mardi à l’appel de l’AFAO à Mbour pour une mobilisation dans la lutte contre la féminisation du VIH/Sida, en partenariat avec l’Alliance nationale contre le Sida (ANCS).
Une occasion saisie par la présidente de l’AFAO, Khady Fall Tall, pour saluer l’ANCS qui, à travers sa secrétaire exécutive, selon elle, s’est investie "personnellement" pour sceller un autre partenariat avec l’AFAO pour le programme round 9, destiné à mobiliser et sensibiliser les femmes sur la problématique ’’genre et VIH".
"Nous avons accueilli avec fierté ce nouveau programme, avec un nouveau financement plus important qui nos a permis d’élargir nos zones ’interventions dans les régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis, afin de consolider les acquis constatés lors du round 6", a déclaré Mme Tall, sans préciser le montant du financement.
Elle a souligné que la pertinence de ce programme est d’autant plus avérée que les femmes sont les plus exposées, car le taux de féminisation est de 2,5%.
C’est pourquoi Khady Fall Tall a demandé au médecin-chef du district sanitaire de Mbour ainsi qu’à ses autres collègues d’impliquer les communicateurs, les associations de jeunesse et de femmes dans la lutte afin de bouter du Sénégal le VIH/Sida.
Selon elle, le choix de Mbour pour une telle activité s’explique par ‘’les activités touristiques qui s’y développent et le fait que Mbour est un véritable pôle d’attraction’’.
"Nous devons donc profiter de ce genre d’activités et autres rencontres de mobilisation pour insister sur l’existence de ce fléau que constitue le VIH/Sida. Car il y en a qui ne croient pas à son existence", a souligné Mme Tall qui promet la pérennisation de ce programme afin de poursuivre la lutte pour l’éradication du Sida.
Pour sa part, le médecin-chef du district sanitaire de Mbour a rappelé le rôle avant-gardiste que les femmes jouent dans cette lutte contre le VIH/Sida. Il a estimé que leur implication, qui n’est plus à démontrer, peut ‘’contribuer considérablement" à combattre ce fléau.
"Les femmes ont leur place dans la lutte, si elles sont davantage impliquées, on peut bien atteindre nos objectifs dans ce domaine ", a martelé Dr Aloyse Waly Diouf qui a magnifié l’implication de l’AFAO.
Une occasion saisie par la présidente de l’AFAO, Khady Fall Tall, pour saluer l’ANCS qui, à travers sa secrétaire exécutive, selon elle, s’est investie "personnellement" pour sceller un autre partenariat avec l’AFAO pour le programme round 9, destiné à mobiliser et sensibiliser les femmes sur la problématique ’’genre et VIH".
"Nous avons accueilli avec fierté ce nouveau programme, avec un nouveau financement plus important qui nos a permis d’élargir nos zones ’interventions dans les régions de Dakar, Thiès et Saint-Louis, afin de consolider les acquis constatés lors du round 6", a déclaré Mme Tall, sans préciser le montant du financement.
Elle a souligné que la pertinence de ce programme est d’autant plus avérée que les femmes sont les plus exposées, car le taux de féminisation est de 2,5%.
C’est pourquoi Khady Fall Tall a demandé au médecin-chef du district sanitaire de Mbour ainsi qu’à ses autres collègues d’impliquer les communicateurs, les associations de jeunesse et de femmes dans la lutte afin de bouter du Sénégal le VIH/Sida.
Selon elle, le choix de Mbour pour une telle activité s’explique par ‘’les activités touristiques qui s’y développent et le fait que Mbour est un véritable pôle d’attraction’’.
"Nous devons donc profiter de ce genre d’activités et autres rencontres de mobilisation pour insister sur l’existence de ce fléau que constitue le VIH/Sida. Car il y en a qui ne croient pas à son existence", a souligné Mme Tall qui promet la pérennisation de ce programme afin de poursuivre la lutte pour l’éradication du Sida.
Pour sa part, le médecin-chef du district sanitaire de Mbour a rappelé le rôle avant-gardiste que les femmes jouent dans cette lutte contre le VIH/Sida. Il a estimé que leur implication, qui n’est plus à démontrer, peut ‘’contribuer considérablement" à combattre ce fléau.
"Les femmes ont leur place dans la lutte, si elles sont davantage impliquées, on peut bien atteindre nos objectifs dans ce domaine ", a martelé Dr Aloyse Waly Diouf qui a magnifié l’implication de l’AFAO.