Karim Wade n’est ni partant pour une grâce présidentielle, ni pour une libération conditionnelle. Il conditionne sa libération de prison par une amnistie. Et devant l’intransigeance de l’intéressé à ne pas vouloir recouvrer la liberté à la faveur d’une grâce, révèle Walf Quotidien.
Le chef de l’Etat compte respecter sa parole jusqu’au bout. Il est conscient qu’une amnistie serait suicidaire pour le régime qui avait érigé la traque des biens mal acquis au rang de la demande sociale. C’est pourquoi, il opte pour la grâce qui n’épargnera pas à Karim de payer ses dettes à l’Etat sénégalais.
Selon la même source, Karim est constant sur ses convictions. ” Il a toujours clamé son innocence. Il considère qu’accepter une grâce serait une manière de reconnaître les faits qu’il a niés tout au long du procès qui s’est soldé par une condamnation de 6 ans ferme pour enrichissement illicite “.
Mais, le fis de Wade a pu de chance d’obtenir cette amnistie car le président a déjà signé le décret portant la grâce présidentielle, telle est la voie choisie par le pouvoir pour procéder à son élargissement.
Senego
Le chef de l’Etat compte respecter sa parole jusqu’au bout. Il est conscient qu’une amnistie serait suicidaire pour le régime qui avait érigé la traque des biens mal acquis au rang de la demande sociale. C’est pourquoi, il opte pour la grâce qui n’épargnera pas à Karim de payer ses dettes à l’Etat sénégalais.
Selon la même source, Karim est constant sur ses convictions. ” Il a toujours clamé son innocence. Il considère qu’accepter une grâce serait une manière de reconnaître les faits qu’il a niés tout au long du procès qui s’est soldé par une condamnation de 6 ans ferme pour enrichissement illicite “.
Mais, le fis de Wade a pu de chance d’obtenir cette amnistie car le président a déjà signé le décret portant la grâce présidentielle, telle est la voie choisie par le pouvoir pour procéder à son élargissement.
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