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Jumbo Sénégal Groupe Tarraf : Du vitamine A ; Jumbo est avec vous ! Notre objectif principal est d'apporter du goût et de la couleur à des milliers de foyers, avec cette touche si particulière qui rend vos plats uniques.

Lundi 18 Août 2014

J
Voici une recette, parmi nos préférés : Thiéboudienne bou weexh (riz avec poisson) - pour 4 personnes
Ingrédients
• 500 g de riz
• 500 g de poisson
• 100 g de poisson sec
• Chou vert
• Persil
• 1 carotte
• Manioc
• 1 oignon
• 1 aubergine
• 1 citron
• Huile
• Ail (1/4 de gousse)
• Piment cerise ou poivre
• 2 cubes JUMBO JUMBO
• 1 cube JUMBO AROME
Préparation
Moudre la gousse d’ail avec le persil, les 2 cubes JUMBO JUMBO, le cube JUMBO AROME, le poivre (en grains ou moulu) et un peu de piment sec.
Laver le poisson, le découper en 3 ou en 4 et introduire la farce préparée.
Faire chauffer l’huile dans une poêle, verser l’oignon, le sel dans un peu d’eau, ajouter le poisson au bout de 2 minutes et laisser cuire à feu doux pendant 5 minutes environ.
Ajouter un litre et demi d’eau et les légumes épluchés, cuire pendant une heure. Une fois les légumes cuits, les retirer avec le poisson et un peu de sauce. Dans le liquide restant, verser le riz propre, couvrir et cuire pendant 15 minutes.

Servir le riz dans un plat chaud accompagné des légumes et du poisson.
BON APPETIT AVEC JUMBO !


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1.Posté par liy deugue le 25/08/2014 11:08
Dr Aliou Ba : “les bouillons commercialisés au Sénégal contiennent tout ce qui est contre indiqué pour les maladies cardiovasculaires.
L’annonce fait froid dans le dos et va sûrement créer un charivari dans le cuisines sénégalaises, habituées à l consommation excessive de bouillons de toutes sortes.Et c’est docteur Aliou Ba qui lâche la bombe “les bouillons commercialisés au Sénégal contiennent un danger imminent pour les consommateurs, car ils ne sont pas destinés à la consommation”, lâche t-il dans l’Observateur.
Il prend ainsi le contre- pied du directeur du commerce intérieur, Ousmane Mbaye qui dans un entretien accordé au journal affirmait “les bouillons commercialisés au Sénégal ne présentaient aucun danger”.“Faux”, rétorque Aliou Ba qui enfonce le clou en arguant que ” ces bouillons alimentaires sont fabriqués dans les pays comme le Maroc et la Tunisie, mais ils ne sont pas commercialisés chez eux”.
Selon lui “le potassium bloque le cœur. Un produit qui a le glutamate de potassium ne peut pas être commercialisé. Ces bouillons sont en train de détruire la population parce qu’ils contiennent tout ce qui est contre indiqué pour les maladies cardiovasculaires.
Les élus se sont intéressés à la consommation des Sénégalais notamment des bouillons culinaires dont la publicité est très présente dans les médias sénégalais. « Relevant qu’il y a d’énormes risques qu’encourent les Sénégalais en consommant ces produits, ils ont invité Malick Gakou à être plus regardant par rapport à ce produit », rapporte Libération quotidien ce vendredi.
Selon un député qui a interpellé le ministre Malick Gakou, la consommation de ces bouillons n’est pas sans rapport avec les « nombreuses maladies qui existent de nos jours ». Le ministre du Commerce de rassurer les parlementaires en annonçant avoir déjà instruit la Direction du commerce intérieur pour effectuer des tests sur ces produits. La Direction, selon le ministre toujours, dispose d’un laboratoire pour contrôler les produits entrant au Sénégal comme le relate Libération quotidien. Il faudrait peut-être rappeler au ministre du Commerce que ces produits supposés « venir de l’étranger » sont fabriqués pour la plupart sur place à Dakar par une entreprise bien connue des Sénégalais.
La virilité des sénégalais n’est elle pas en jeu ?
La floraison des bouillons, appelés « Saf-safal » dans la langue de « Kocc Barma Fall » n’est pas sans danger sur la santé des sénégalais. C’est ce sur quoi les différents intervenants de l’émission « Thème de la semaine » de la radio Walf qu’anime Mamadou Ndoye Bane tous les week-ends, se sont appesanti.
Pour ces derniers, dont Momar Ndao de l’Ascosen, les sénégalais ne prennent pas la juste mesure des conséquences de tous ces bouillons qui assaisonnent leurs plats. Mais il semble bien qu’à la lumière de tout ce qui a été avancé lors de cette émission très suivie que les hommes sont les plus exposés. Leur visibilité serait en danger.

Selon une intervenante qui agit pour le compte d’une association de consuméristes, ce sont les mêmes bouillons qui sont utilisés pour castrer les moutons. « Maintenant, je ne sais pas si les hommes sont plus chanceux que les moutons », ironise-t-elle.

Une trompette que va emboucher tous ceux que Mamadou Ndoye Bane a croisé et qui semblent bien au fait des méfaits de ces bouillons qui inondent le marché et les chaumières sénégalais. « Les hommes ne sont plus productifs. Un ou deux coups, ils sont morts, leur sperme devient infertile et bonjour l'impuissance », renchérit un homme. Comme pour dire que les sénégalaises ont du pain sur la planche.
Bouillons et cubes alimentaires : Ces produits culinaires qui nous tuent !
Les bouillons et cubes alimentaires qui pullulent le marché sénégalais, constituent un danger permanent, pour nous consommateurs. D’origines douteuses, ces produits culinaires sont la cause de multiples maladies au Sénégal, entre autres, on peut citer le diabète, le cancer, l’insuffisance rénales, l’hypertension artérielle ou encore la cirrhose. Le diabétologue et directeur du centre de traitement du diabète de Dakar, Pr Said Nourou Diop d’attirer l’attention du consommateur sur le danger de ces produits au cours d’un forum sur la valeur partagée, organisé par Nestlé Afrique de l’Ouest et du Centre, à Lagos au Nigéria.
Le Pr Said Nourou Diop, souligne dans les colonnes du journal Lequotidien que « l’idéal pour parer à ces maladies aux soins très couteux, c’est de s’abstenir autant que faire ce peut de consommer ces produits dont certains proviennent de la sous-région, sans aucun contrôle, conformément aux directives de la Cedeao en rapport à la libre circulation des produits alimentaires communautaires. « D’autres pathologies sont identifiées comme étant la conséquence directe de la consommation de bouillons et cubes alimentaires fabriqués à partir d’ingrédients très suspects », renseigne le journal. Ces bouillons qui portent divers noms, sont rendus célèbres à travers les spots publicitaires sur les chaines de télévisions.
RECRUDESCENCE DE MALADIES CHRONIQUES Le mal est dans l'assiette
Dolli, Magi nokoss, Jumbo, Maggi, Joker, Adja, Jongué, Tak, Mami, Khadija, Dior, Tem Tem, autant de bouillons utilisés par la cuisinière sénégalaise pour apporter la différence dans sa marmite. C'est une assiette de maladies chroniques silencieuses qu'elle sert ...

Le plat sénégalais serait-il devenu un vrai poison pour le citoyen lambda ? La réponse coule de source, face à la recrudescence des maladies non transmissibles. L'espérance de vie au Sénégal en a pris aussi un sacré coup.

De nos jours, le repas traditionnel, bien assaisonné, présenterait des goûts culinaires souvent plus exquis que ceux de nos mammys. Les Sénégalaises férues de bonne saveur ont l'art de mettre du piquant dans l'assiette. Toutes sortes d'ingrédients passent dans la marmite qui s'appauvrit de plus en plus en valeurs nutritives et s'enrichit en sel et calories. Quand les exhausteurs du goût s'y mettent, il faut simplement s'attendre à un cocktail....explosif. Nombreux sont ceux qui pointent l'index sur la cuisinière : le poison est dans l'assiette.

Aux Sénégalaises, il est reproché de mettre trop d'additifs culinaires dans la marmite pour aiguiser l'appétit, dénaturant le ''thiébou dieune'' qui aurait été, à l'origine, un plat riche en protéides. Tomate en poudre et plus d'une dizaine de bouillons sont mises à l'actif. ''La recrudescence des maladies telles le diabète et l'hypertension artérielle sont causées par nos femmes qui nous tuent à petit feu, avec leurs substances toxiques. Nous sommes tous malades à cause d'elles. Elles ne cherchent qu'à écourter la vie des hommes...'', souligne, un brin ironique, un vieux qui tient sur ses 70 berges, rencontré au centre de diabétologie Marc Sankalé.

Il demande aux autorités de ramener à la raison les Sénégalaises, face à leur utilisation abusive de cette armada de bouillons présente sur le marché sénégalais. Il n'est pas le seul. Le 3éme âge se remémore, avec nostalgie, les recettes toute nature et sans artifice d'antan. ''A notre époque, on resplendissait de santé. On était en pleine forme, car on mangeait sainement. L'alimentation était meilleure''. Du tout bio !

''Le bouillon règle un problème économique. Ils donnent l'illusion du goût''

Autre temps, autres réalités. La crise économique a donné un coup de fouet au panier de la ménagère. Aujourd'hui, déplore Mme Salimata Wade, une universitaire, par ailleurs responsable de la ''Compagnie du bien manger'', qui réunit nutritionnistes, diététiciens et spécialistes de la santé, le Sénégal est l'otage d'une épidémie d'hypertension. ''Même les jeunes sénégalais sont hypertendus'', note t-elle. Et ce à cause, d'une alimentation trop riche en sels. Mme Salimata Wade craint que cette situation ne s'aggrave, en raison de la baisse du pouvoir d'achat des Sénégalais. ''C'est un problème de société qui se pose. La structure du budget n'est plus la même. Les repas sont fractionnés, les charges énormes et le coût de la vie très élevé''.

Quand elle passe à la loupe les habitudes alimentaires des Sénégalais, c'est pour détecter que le mal est d'une dimension économique. Mme Salimata Wade de s'expliquer. ''Jadis, dit-elle, nos mamans mettaient assez de viande, de tomates fraîches, de légumes frais et d'ingrédients dans la marmite. Ce n'est pas par effet de mode que, de nos jours, les femmes recourent de plus en plus aux additifs culinaires. Les bouillons règlent une dimension économique. Ils donnent l'illusion du goût. Du point de vue gustatif, cela donne de l'appétit''.

''Rééduquer le sénégalais et lui apprendre à manger sainement''

Pour étayer sa thèse, la chercheuse de donner l'exemple de l'équation intenable de la ménagère sénégalaise qui dispose d'un maigre budget. ''Ce n'est pas facile avec une maigre somme de préparer du riz pour plus de quinze personnes avec un kg de viande ou peu de poisson. Tout est cher au marché. Des sardines qui se vendaient à 50f par pièce s'échangent aujourd'hui à 500 f, le kg de kéthiah coûte 1200 F Cfa, un kg de tomates fraîches est vendu à 600. Elles n'ont pas souvent le choix'', explique t-elle.

Pour résoudre une difficile équation, la ménagère n'y va par quatre chemins. Elle se rabat sur les multiples bouillons qui donnent le goût du poisson, de la tomate, des épices, de la viande ou des légumes. Il suffit juste de débourser au maximum 200f pour s'offrir autant de saveurs. Et le tour est joué même si les conséquences sont désastreuses, avec des maladies chroniques et silencieuses. Il s'y ajoute, d'après la chercheuse Salimata Wade, ''qu''il y a trop de sel dans notre alimentation. On aime ce qui est saturé en gras et en sel''.

Mais pour l'universitaire, crever l'abcès exige de s'attaquer aux produits synthétiques qui inondent le marché sénégalais. Les bouillons ne sont pas, à cet effet, des cas isolés. ''On ne boit plus, par exemple, du jus mais que des arômes qui sont des produits chimiques''. Avec le système des journées continues, les sandwichs, très prisés à midi, se font à forte teneur de mayonnaise, de moutarde, de ketchup qui sont tout aussi nuisibles à la santé.

Comme solution, Mme Salimata Wade préconise le retour du repas commun en famille. ''On n'a pas d'alimentation idéale à proposer, cela n'existe pas. On doit partir de ce que les gens ont pour changer leurs habitudes alimentaires, en tenant compte des données économiques. Il faut rééduquer le sénégalais et leur apprendre à manger sainement''.
Le véritable poison contenu dans ces bouillons s'appelle le glutamate monosodique. Les industriels n'indiquent pas la quantité de ce produit contenu dans les contenu, ce qui est une volonté manifeste de ne pas informer le consommateur. Le glutamate monosodique cause beaucoup de dégâts sanitaires: Arythmie cardiaque, hypertension artérielle, AVC, impuissance sexuelle, dégénérescence nerveuse et crétinisme chez les enfants en bas âge. Ce produit est beaucoup plus dangereux que le tabac. Les autorités sanitaires doivent sévir avec la plus grande fermeté contre ces industriels marchands de MORT. Il se pose aujourd'hui un problème de santé publique. L’hypertension artérielle, les ABC, l'impuissance sexuelle, la stérilité masculine et féminine les maladies neurologiques connaissent un développement inquiétant au Sénégal. Nous devons nous organiser avec les professionnels de la santé et les associations consuméristes honnêtes et sérieuses pour dénoncer ce génocide silencieux perpétré par des industriels mafieux sur des populations sous-informées et ignorantes.

2.Posté par taalibe le 09/11/2015 22:07
on mange du n importe quoi ,c est pourquoi que les Mr Seye Mr Lo Mr Tourre Mr Camara ET Drame ont toujour la diarreeeeee

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