Idrissa Seck a encore parlé. L’intermittent de Saint James tire ses dernières cartes et ses dernières cartouches avant la grande débâcle qui l’attend en 2019. Il dit que le Président Macky Sall n’a pas de parole. Il est dès lors utile de lui rappeler que c’est sa parole, uniquement sa parole qui ne vaut plus rien.
En 2014, lors de la dernière journée électorale à Thiès, pour devenir président du conseil départemental, il encore pleuré sur les ondes de Sud Fm qui lui offrait gracieusement une tribune pour supplier les thiessois de voter pour lui. Il dira à qui veut l’entendre qu’il ne restera plus, deux semaines à l’étranger et hors de Thiès et qu’il va délocaliser son cabinet fantôme dans la cité du rail. Quatre ans plus tard, Seck n’a pas tenu ses engagements et il n’a pas encore ouvert un seul bureau à Thiès et s’absente souvent pendant de longs mois de la ville.
L’homme avait également dit en 2012 que le jour où il perdrait une élection à Thiès, il va arrêter de faire de la politique. En mars 2016, il a battu campagne contre le Oui, il a été battu de près de 2.000 voix. Il a dit à son entourage que c’était un faux pas et que ce n'était pas une élection où il était engagée directement. Un an plus tard, au mois de juillet 2017, il devient tête de liste départementale de la coalition Mankoo à Thiès et veut être député. Il sera écrasé par la machine redoutable de Bennoo Bokk Yakaar de près de 30.000 voix. Le lendemain du scrutin, tétanisé il convoque ses derniers maires dans la commune et se replie au Cyber campus. Il demande à voir la presse et remercie ses derniers électeurs, mais l’homme fidèle à sa trajectoire ne démissionnera pas. Il a encore manqué une occasion de tenir sa parole.
C’est donc cet homme versatile qui n’a jamais eu de respect pour ses engagements qui prétend donner une leçon à Macky Sall. Plus loin encore dans l’histoire récente, nous sommes en 2010 à Thiès, Abdoulaye Wade inaugure l’usine SenBus dans la cité du rail. Le monsieur des audiences de midi au palais, surprend encore son monde et s’invite à la tribune officielle. Il prend la parole et dit désormais qu’il ne quittera plus jamais Abdoulaye Wade et ne manque pas de glorifier son père spirituel allant jusqu’à dire qu’il est le fils prêt à se soumettre au sacrifice d’Abraham. En terme plus simple, qu’il est prêt à se faire égorger comme un mouton de Tabaski par Abdoulaye Wade qu’il insultait en 2005 et traitait d’ancien spermatozoïde, futur cadavre. Pourtant malgré ce grand délire, quelques mois plus tard, il sera le premier à poser le débat sur la candidature de Wade en citant le professeur Carcassonne. Un an plus tard, celui qui était capable de se faire égorger pour Wade est vent debout pour le départ de ce dernier. Un tel personnage mérite-t-il vraiment le respect ?
Dans son interview avec Gfm, Idrissa Seck montre son manque de culture générale. Il cite la Mésopotamie comme un fleuve. Cette grande confusion démontre qu’il manipule de grande expression sans connaître ni le sens, ni le contenu. La Mésopotamie est une région historique du Moyen-Orient située dans le Croissant fertile, entre le Tigre et l'Euphrate. Elle correspond pour sa plus grande part à l'Irak actuel. C’est le Tigre et l’Euphrate qui sont sont des fleuves et sont partagées par la Turquie, la Syrie, l’Irak et l’Iran.
Pour le reste, c’est du blaba. A la question des journalistes sur son programme s’il est élu, Idrissa Seck n’a rien d’autre à proposer qu’il va changer l’hymne national. Cela n’a rien d’étonnant pour Seck, car son seul programme en tant que maire de Thiès pendant douze ans, c’était de dormir à Saint James entre soirées fines, tables parisiennes et quelques détours dans des épiceries pour bourgeois laissant Thiès dans une saleté totale et ne proposant rien, rien du tout comme programme. Voilà le monsieur à qui les sénégalais ont affaire, il n’a ni programme, ni ambition pour le Sénégal. Il constate partout au Sénégal que le pays sort de l’ornière. Cela le frustre. C’est donc un homme à la fois méchant et jaloux qui n’a jamais supporté que Macky Sall dirige ce pays. Et malheureusement pour lui, il sait que le bail sera prolongé par la grâce du Tout Puissant.
El Malick Seck
Journaliste, conseiller municipal et homme politique à Thiès
En 2014, lors de la dernière journée électorale à Thiès, pour devenir président du conseil départemental, il encore pleuré sur les ondes de Sud Fm qui lui offrait gracieusement une tribune pour supplier les thiessois de voter pour lui. Il dira à qui veut l’entendre qu’il ne restera plus, deux semaines à l’étranger et hors de Thiès et qu’il va délocaliser son cabinet fantôme dans la cité du rail. Quatre ans plus tard, Seck n’a pas tenu ses engagements et il n’a pas encore ouvert un seul bureau à Thiès et s’absente souvent pendant de longs mois de la ville.
L’homme avait également dit en 2012 que le jour où il perdrait une élection à Thiès, il va arrêter de faire de la politique. En mars 2016, il a battu campagne contre le Oui, il a été battu de près de 2.000 voix. Il a dit à son entourage que c’était un faux pas et que ce n'était pas une élection où il était engagée directement. Un an plus tard, au mois de juillet 2017, il devient tête de liste départementale de la coalition Mankoo à Thiès et veut être député. Il sera écrasé par la machine redoutable de Bennoo Bokk Yakaar de près de 30.000 voix. Le lendemain du scrutin, tétanisé il convoque ses derniers maires dans la commune et se replie au Cyber campus. Il demande à voir la presse et remercie ses derniers électeurs, mais l’homme fidèle à sa trajectoire ne démissionnera pas. Il a encore manqué une occasion de tenir sa parole.
C’est donc cet homme versatile qui n’a jamais eu de respect pour ses engagements qui prétend donner une leçon à Macky Sall. Plus loin encore dans l’histoire récente, nous sommes en 2010 à Thiès, Abdoulaye Wade inaugure l’usine SenBus dans la cité du rail. Le monsieur des audiences de midi au palais, surprend encore son monde et s’invite à la tribune officielle. Il prend la parole et dit désormais qu’il ne quittera plus jamais Abdoulaye Wade et ne manque pas de glorifier son père spirituel allant jusqu’à dire qu’il est le fils prêt à se soumettre au sacrifice d’Abraham. En terme plus simple, qu’il est prêt à se faire égorger comme un mouton de Tabaski par Abdoulaye Wade qu’il insultait en 2005 et traitait d’ancien spermatozoïde, futur cadavre. Pourtant malgré ce grand délire, quelques mois plus tard, il sera le premier à poser le débat sur la candidature de Wade en citant le professeur Carcassonne. Un an plus tard, celui qui était capable de se faire égorger pour Wade est vent debout pour le départ de ce dernier. Un tel personnage mérite-t-il vraiment le respect ?
Dans son interview avec Gfm, Idrissa Seck montre son manque de culture générale. Il cite la Mésopotamie comme un fleuve. Cette grande confusion démontre qu’il manipule de grande expression sans connaître ni le sens, ni le contenu. La Mésopotamie est une région historique du Moyen-Orient située dans le Croissant fertile, entre le Tigre et l'Euphrate. Elle correspond pour sa plus grande part à l'Irak actuel. C’est le Tigre et l’Euphrate qui sont sont des fleuves et sont partagées par la Turquie, la Syrie, l’Irak et l’Iran.
Pour le reste, c’est du blaba. A la question des journalistes sur son programme s’il est élu, Idrissa Seck n’a rien d’autre à proposer qu’il va changer l’hymne national. Cela n’a rien d’étonnant pour Seck, car son seul programme en tant que maire de Thiès pendant douze ans, c’était de dormir à Saint James entre soirées fines, tables parisiennes et quelques détours dans des épiceries pour bourgeois laissant Thiès dans une saleté totale et ne proposant rien, rien du tout comme programme. Voilà le monsieur à qui les sénégalais ont affaire, il n’a ni programme, ni ambition pour le Sénégal. Il constate partout au Sénégal que le pays sort de l’ornière. Cela le frustre. C’est donc un homme à la fois méchant et jaloux qui n’a jamais supporté que Macky Sall dirige ce pays. Et malheureusement pour lui, il sait que le bail sera prolongé par la grâce du Tout Puissant.
El Malick Seck
Journaliste, conseiller municipal et homme politique à Thiès