Dans les journaux de la place; Monsieur Idrissa SECK qui ne s’est pas encore réveillé depuis sa défaite cinglante en 2012, continue à attaquer méchamment, le Président Macky SALL dont le seul tord est de conduire notre pays vers l’émergence au bénéfice exclusive des populations.
Idrissa SECK devrait édifier les sénégalais sur le protocole de rebeusse qui l’a fait sortir de prison au lieu de jouer à l’homme intègre.
L’homme est obnubilé par le pouvoir et refuse de trimer à telle enseigne qu’il a placé Macky SALL en ligne de mire et s’attaque à lui à tout bout de champs pour justifier son existence.
En effet, il est dit couramment que les reproches et les accusations sans fondement émises à l’endroit d’un individu, sont bien souvent le reflet de celui qui les émet.
Les Sénégalais ont opté pour une véritable alternance démocratique en élisant Macky SALL qui a confié la gestion quotidienne des affaires du pays à un gouvernement de patriotes, soucieux du bien être général, ennemi farouche de la pauvreté, de l’ignorance, de la corruption, de l’injustice et de l’insécurité.
Tout le monde a compris cette évidence, excepté le maire fantôme de Thiès qui, en ramant à contre courant de l’histoire, s’est tiré une balle sur le pied et il lui sera très difficile de se repositionner sur l’échiquier politique du fait de sa tortuosité.
Rejeté par les populations de Thiès pour son arrogance et son incompétence et conscient de sa défaite prochaine aux élections locales, Idrissa SECK a érigé la violence verbale comme argument pour justifier ses carences.
Nous lui rappelons que la violence est l’arme des faibles.
Idrissa SECK fait partie de la race des politiciens qui promettent de construire un pont même là où il n’y a pas de fleuve. C’est un véritable marchand d’illusion.
J’invite Idrissa SECK à méditer cette assertion de GANDHI : « On ne peut battre son adversaire que par l’amour et non la haine. La haine est la forme la plus subtile de la violence. La haine blesse celui qui hait, non le haï. »
Lamine NGOM : chargé de Mission/primature
Responsable Jeune APR-Thiès.
Idrissa SECK devrait édifier les sénégalais sur le protocole de rebeusse qui l’a fait sortir de prison au lieu de jouer à l’homme intègre.
L’homme est obnubilé par le pouvoir et refuse de trimer à telle enseigne qu’il a placé Macky SALL en ligne de mire et s’attaque à lui à tout bout de champs pour justifier son existence.
En effet, il est dit couramment que les reproches et les accusations sans fondement émises à l’endroit d’un individu, sont bien souvent le reflet de celui qui les émet.
Les Sénégalais ont opté pour une véritable alternance démocratique en élisant Macky SALL qui a confié la gestion quotidienne des affaires du pays à un gouvernement de patriotes, soucieux du bien être général, ennemi farouche de la pauvreté, de l’ignorance, de la corruption, de l’injustice et de l’insécurité.
Tout le monde a compris cette évidence, excepté le maire fantôme de Thiès qui, en ramant à contre courant de l’histoire, s’est tiré une balle sur le pied et il lui sera très difficile de se repositionner sur l’échiquier politique du fait de sa tortuosité.
Rejeté par les populations de Thiès pour son arrogance et son incompétence et conscient de sa défaite prochaine aux élections locales, Idrissa SECK a érigé la violence verbale comme argument pour justifier ses carences.
Nous lui rappelons que la violence est l’arme des faibles.
Idrissa SECK fait partie de la race des politiciens qui promettent de construire un pont même là où il n’y a pas de fleuve. C’est un véritable marchand d’illusion.
J’invite Idrissa SECK à méditer cette assertion de GANDHI : « On ne peut battre son adversaire que par l’amour et non la haine. La haine est la forme la plus subtile de la violence. La haine blesse celui qui hait, non le haï. »
Lamine NGOM : chargé de Mission/primature
Responsable Jeune APR-Thiès.