Le professeur Abdou Niang, chef du service de néphrologie de l’hôpital Dalal Jaam de Guédiawaye, dans la banlieue de Dakar, a souligné samedi la nécessité d’éduquer les sénégalaises à davantage éviter l’excès de sel dans les mets qu’elles préparent afin de prévenir l’hypertension artérielle et les maladies rénales.
‘’Nous devons éduquer la femme sénégalaise, qui s’occupe souvent de la cuisine pour qu’elle mette moins de sel dans ce qu’elle prépare parce que le problème est que nous consommons trop de sel ’’, a-t-il notamment déclaré.
Le professeur Niang intervenait à une conférence publique sur les maladies non transmissibles, une rencontre qui était à l’initiative de l’Association ‘’Docteur Nakamou’’, à Dakar.
‘’Si la femme a une bonne éducation culinaire elle va sauver la famille de l’hypertension artérielle et des maladies rénales, mais cela est plus facile à dire qu’à faire’’, a souligné le médecin.
Selon, la prévalence de l’hypertension artérielle pourrait baisser si les femmes révisaient leurs habitudes culinaires.
Il a ainsi relevé le grand écart entre la consommation de sel des sénégalais par jour estimé à 30 grammes et aux recommandations qui nous disent qu’il faut 3 grammes par jour.
‘’Vous imaginez ! Et malgré cette quantité, nous continuons à mettre des bouillons dans notre plat donc le problème ce n’est pas les bouillons mais c’est parce que nous consommons trop de sel’’, s’est-il exclamé.
Il a averti que si rien n’était fait, la situation risquerait d’être catastrophique dans les décennies à venir,
‘’Aujourd’hui, nous devons mettre l’accent sur la couverture des cahiers de nos élèves des règles d’or qu’on a l’habitude de dire dans le domaine de la néphrologie‘’, a suggéré le praticien.
APS
‘’Nous devons éduquer la femme sénégalaise, qui s’occupe souvent de la cuisine pour qu’elle mette moins de sel dans ce qu’elle prépare parce que le problème est que nous consommons trop de sel ’’, a-t-il notamment déclaré.
Le professeur Niang intervenait à une conférence publique sur les maladies non transmissibles, une rencontre qui était à l’initiative de l’Association ‘’Docteur Nakamou’’, à Dakar.
‘’Si la femme a une bonne éducation culinaire elle va sauver la famille de l’hypertension artérielle et des maladies rénales, mais cela est plus facile à dire qu’à faire’’, a souligné le médecin.
Selon, la prévalence de l’hypertension artérielle pourrait baisser si les femmes révisaient leurs habitudes culinaires.
Il a ainsi relevé le grand écart entre la consommation de sel des sénégalais par jour estimé à 30 grammes et aux recommandations qui nous disent qu’il faut 3 grammes par jour.
‘’Vous imaginez ! Et malgré cette quantité, nous continuons à mettre des bouillons dans notre plat donc le problème ce n’est pas les bouillons mais c’est parce que nous consommons trop de sel’’, s’est-il exclamé.
Il a averti que si rien n’était fait, la situation risquerait d’être catastrophique dans les décennies à venir,
‘’Aujourd’hui, nous devons mettre l’accent sur la couverture des cahiers de nos élèves des règles d’or qu’on a l’habitude de dire dans le domaine de la néphrologie‘’, a suggéré le praticien.
APS