Les travailleurs s’interrogent notamment sur le fait que l’augmentation des tarifs de consultation et les financements octroyés à l’État (844.000.000 FCFA) pour la réhabilitation n’ont pu apporter des effets bénéfiques.
« Le CHRSL va de plus en plus mal, au point de plus pouvoir remplir sa fonction principale d’établissement de santé offrant des prestations de soins de qualité aux usagers de la région de Saint-Louis », ont regretté les médecins.
Pour justifier le boycott du service, ils évoquent « des ruptures régulières de médicaments au niveau de la pharmacie mettant les malades dans un profond désarroi » et des arrêts de livraison de réactifs pour le laboratoire. Un tableau sombre du service des urgences a été dressé. Ce département manque, selon les témoignages des médecins, du minimum pour une bonne prise en charge des patients.
Le personnel révèle par ailleurs des « ruptures incessantes des examens de radiologie (…) obligeant les patients à aller dans des structures extérieures et fustige « surendettement » et « une discrimination des paiements pat l’agent comptable ».
Ils ont regretté par ailleurs l’achat de matériels non appropriés et « régulièrement en panne », des retards de paiement de salaires, l’ouverture injustifiée de trois comptes bancaires dans différentes banques de la place et le non-versement des dettes des charges sociales.
>>> Voici leurs cris de coeur ...
« Le CHRSL va de plus en plus mal, au point de plus pouvoir remplir sa fonction principale d’établissement de santé offrant des prestations de soins de qualité aux usagers de la région de Saint-Louis », ont regretté les médecins.
Pour justifier le boycott du service, ils évoquent « des ruptures régulières de médicaments au niveau de la pharmacie mettant les malades dans un profond désarroi » et des arrêts de livraison de réactifs pour le laboratoire. Un tableau sombre du service des urgences a été dressé. Ce département manque, selon les témoignages des médecins, du minimum pour une bonne prise en charge des patients.
Le personnel révèle par ailleurs des « ruptures incessantes des examens de radiologie (…) obligeant les patients à aller dans des structures extérieures et fustige « surendettement » et « une discrimination des paiements pat l’agent comptable ».
Ils ont regretté par ailleurs l’achat de matériels non appropriés et « régulièrement en panne », des retards de paiement de salaires, l’ouverture injustifiée de trois comptes bancaires dans différentes banques de la place et le non-versement des dettes des charges sociales.
>>> Voici leurs cris de coeur ...
NDARINFO.COM