Le Programme national de lutte contre le tabac (PNLT) a annoncé, mardi, une augmentation de la taxe sur les produits du tabac, qui passe de 65 % à 70 % dans le cadre de la loi de finances 2025. Cette mesure vise à dissuader la consommation, notamment chez les jeunes et les personnes à faible revenu, en rendant le tabac plus coûteux.
Selon le PNLT, cette hausse concerne tous les produits du tabac, y compris les déchets de tabac, les cigarettes électroniques et les chichas. L’objectif affiché par les autorités sanitaires est d’aligner le Sénégal sur les recommandations internationales en matière de lutte contre le tabagisme, en augmentant progressivement la fiscalité sur ces produits.
L’augmentation des taxes sur le tabac est une stratégie éprouvée pour réduire la consommation et prévenir les maladies liées au tabagisme, comme le cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les affections respiratoires. En rendant ces produits plus onéreux, le gouvernement espère freiner l’initiation au tabac chez les jeunes, un public particulièrement vulnérable aux campagnes marketing de l’industrie du tabac.
Dans plusieurs pays, une fiscalité élevée sur le tabac a permis de réduire significativement le taux de fumeurs, tout en générant des recettes supplémentaires pour financer les politiques de santé publique. Cependant, cette mesure pourrait également encourager le marché noir et la contrebande, une problématique que les autorités devront surveiller de près.
Selon le PNLT, cette hausse concerne tous les produits du tabac, y compris les déchets de tabac, les cigarettes électroniques et les chichas. L’objectif affiché par les autorités sanitaires est d’aligner le Sénégal sur les recommandations internationales en matière de lutte contre le tabagisme, en augmentant progressivement la fiscalité sur ces produits.
L’augmentation des taxes sur le tabac est une stratégie éprouvée pour réduire la consommation et prévenir les maladies liées au tabagisme, comme le cancer du poumon, les maladies cardiovasculaires et les affections respiratoires. En rendant ces produits plus onéreux, le gouvernement espère freiner l’initiation au tabac chez les jeunes, un public particulièrement vulnérable aux campagnes marketing de l’industrie du tabac.
Dans plusieurs pays, une fiscalité élevée sur le tabac a permis de réduire significativement le taux de fumeurs, tout en générant des recettes supplémentaires pour financer les politiques de santé publique. Cependant, cette mesure pourrait également encourager le marché noir et la contrebande, une problématique que les autorités devront surveiller de près.