Considérant que l’homosexualité est devenue une menace pour toute la société sénégalaise, les membres dudit collectif dénoncent avec la dernière énergie cette pratique.
« La majorité des Sénégalais est constituée de croyants, et ces croyances-là excluent les déviances morales dont l’homosexualité », a tenu à rappeler Ousmane Abdoulaye Barro de la Ligue sénégalaise des patriotes.
Lui emboîtant le pas, le Pr Malick Ndiaye soutiendra que ce qu’ils veulent à travers ce combat qu’ils sont en train de mener c’est que « les Sénégalais prennent conscience de l’enjeu de la fracture sur une question que nous avons réglé depuis plus de mille ans, mais que l’Occident est en train de nous imposer avec son agenda ».
Poursuivant, il ajoute : « Nous ne voulons pas de mariage gay, nous ne voulons pas de regroupement public des homosexuels comme masse de manœuvre, parce que nous savons que cela va attenter aux bases de nos civilisations, saper l’éducation, dénigrer la morale ».
Pour ce collectif, la situation du Sénégal devient alarmante avec les 9 associations gays reconnues que compte le pays mais aussi les sorties du ministre de la justice Me Sidiki Kaba du genre : « Aux yeux de la loi au Sénégal, il n’y a pas d’homosexuels. Nous avons une législation qui condamne ceux qui pratiquent des actes contre nature dans un lieu public, c’est-à-dire ce qui est attentatoire à la pudeur » mais aussi : « Toute personne, quelle qu’elle soit, a des droits ». Ce qui les pousse à interpeller le chef de l’Etat, Macky Sall, sur sa responsabilité de préserver les valeurs culturelles, religieuses et morales qui sont la base de la paix et de la cohésion sociale. Ils exigent également du ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, de dissoudre, dans les meilleurs délais, toutes les associations homosexuelles.
La démission immédiate de Me Sidiki Kaba du poste de ministre de la Justice du fait « de sa propension manifeste à défendre les homosexuels » fait aussi partie des exigences du collectif qui, par la même occasion, demande aux députés de l’Assemblée nationale de réviser les lois portant sur les actes contre nature en interdisant, nommément, l’homosexualité, le lesbianisme, la bisexualité et le transgenre. « Ce qui mettra fin à une interprétation perverse de la loi en question ».
Par ailleurs, Ousmane Abdoulaye Barro et ses camarades entendent porter plainte contre les 11 présumés homosexuels qui célébraient un mariage gay à Kaolack lors du Maouloud, pour les délits d’attentat à la pudeur, atteinte aux bonnes mœurs et atteinte à la conscience des croyants, entre autres.
Pour montrer qu’ils sont déterminés dans ce combat contre l’homosexualité, ces derniers ont décidé d’organiser une manifestation vendredi prochain à la Place de l’Obélisque.
Mariama Kobar Saleh
« La majorité des Sénégalais est constituée de croyants, et ces croyances-là excluent les déviances morales dont l’homosexualité », a tenu à rappeler Ousmane Abdoulaye Barro de la Ligue sénégalaise des patriotes.
Lui emboîtant le pas, le Pr Malick Ndiaye soutiendra que ce qu’ils veulent à travers ce combat qu’ils sont en train de mener c’est que « les Sénégalais prennent conscience de l’enjeu de la fracture sur une question que nous avons réglé depuis plus de mille ans, mais que l’Occident est en train de nous imposer avec son agenda ».
Poursuivant, il ajoute : « Nous ne voulons pas de mariage gay, nous ne voulons pas de regroupement public des homosexuels comme masse de manœuvre, parce que nous savons que cela va attenter aux bases de nos civilisations, saper l’éducation, dénigrer la morale ».
Pour ce collectif, la situation du Sénégal devient alarmante avec les 9 associations gays reconnues que compte le pays mais aussi les sorties du ministre de la justice Me Sidiki Kaba du genre : « Aux yeux de la loi au Sénégal, il n’y a pas d’homosexuels. Nous avons une législation qui condamne ceux qui pratiquent des actes contre nature dans un lieu public, c’est-à-dire ce qui est attentatoire à la pudeur » mais aussi : « Toute personne, quelle qu’elle soit, a des droits ». Ce qui les pousse à interpeller le chef de l’Etat, Macky Sall, sur sa responsabilité de préserver les valeurs culturelles, religieuses et morales qui sont la base de la paix et de la cohésion sociale. Ils exigent également du ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, de dissoudre, dans les meilleurs délais, toutes les associations homosexuelles.
La démission immédiate de Me Sidiki Kaba du poste de ministre de la Justice du fait « de sa propension manifeste à défendre les homosexuels » fait aussi partie des exigences du collectif qui, par la même occasion, demande aux députés de l’Assemblée nationale de réviser les lois portant sur les actes contre nature en interdisant, nommément, l’homosexualité, le lesbianisme, la bisexualité et le transgenre. « Ce qui mettra fin à une interprétation perverse de la loi en question ».
Par ailleurs, Ousmane Abdoulaye Barro et ses camarades entendent porter plainte contre les 11 présumés homosexuels qui célébraient un mariage gay à Kaolack lors du Maouloud, pour les délits d’attentat à la pudeur, atteinte aux bonnes mœurs et atteinte à la conscience des croyants, entre autres.
Pour montrer qu’ils sont déterminés dans ce combat contre l’homosexualité, ces derniers ont décidé d’organiser une manifestation vendredi prochain à la Place de l’Obélisque.
Mariama Kobar Saleh