Le Sénégal enregistre une production moyenne en hausse de 53% sur les cinq dernières années.
Sur l’année 2017, le pays a produit 1 150 000 tonnes de riz, dont une grande partie est issue de la région Nord couverte par la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et des vallées du Fleuve et de la Falémé (SAED).
L’objectif est d’atteindre une production de 1 600 000 tonnes de riz paddy et 1 million 080 mille tonnes de riz blanc, soit le niveau de production initialement fixé en 2017 par le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas).
Conforté par cette tendance positive, Samba Ndiobène Ka, le directeur de la SAED, estime que sa société va assurer 60 pour cent de la production nationale nécessaire à l’atteinte de l’autosuffisance en riz. L’année 2018 sera celle de l’autosuffisance, relève-t-on dans le secteur.
D’ores et déjà, le ministre de l’Agriculture, Papa Abdoulaye Seck, s’en réjoui. Interpellé récemment par les députés, le premier responsable de l’Agriculture sénégalaise estime que son pays va inverser sa situation: “le Sénégal va bientôt exporter du riz: “Il y a une réussite totale, et le gouvernement de Macky Sall a fait ce qu’aucun gouvernement n’a réalisé jusqu’ici. Nous sommes les premiers de la classe en matière de production de riz depuis 1960 », a-t-il précisé devant la chambre des députés
L’objectif est donc d’atteindre le seuil de l’autosuffisance, soit 1 600 000 tonnes, a indiqué le DG de la SAED. .‘’Nous savons que le président de la République a injecté beaucoup d’argent au cours des trois dernières années afin d’arriver à cet objectif’’, a dit M. Ka, se félicitant de la présence massive du riz de la vallée dans les grandes surfaces dakaroises. Reste à convaincre la ménagère sénégalaise que le riz importé n’est pas forcément synonyme de meilleure qualité. Là c’est un autre débat.
financiafrik.com
Sur l’année 2017, le pays a produit 1 150 000 tonnes de riz, dont une grande partie est issue de la région Nord couverte par la Société d’aménagement et d’exploitation des terres du delta du fleuve Sénégal et des vallées du Fleuve et de la Falémé (SAED).
L’objectif est d’atteindre une production de 1 600 000 tonnes de riz paddy et 1 million 080 mille tonnes de riz blanc, soit le niveau de production initialement fixé en 2017 par le Programme d’accélération de la cadence de l’agriculture sénégalaise (Pracas).
Conforté par cette tendance positive, Samba Ndiobène Ka, le directeur de la SAED, estime que sa société va assurer 60 pour cent de la production nationale nécessaire à l’atteinte de l’autosuffisance en riz. L’année 2018 sera celle de l’autosuffisance, relève-t-on dans le secteur.
D’ores et déjà, le ministre de l’Agriculture, Papa Abdoulaye Seck, s’en réjoui. Interpellé récemment par les députés, le premier responsable de l’Agriculture sénégalaise estime que son pays va inverser sa situation: “le Sénégal va bientôt exporter du riz: “Il y a une réussite totale, et le gouvernement de Macky Sall a fait ce qu’aucun gouvernement n’a réalisé jusqu’ici. Nous sommes les premiers de la classe en matière de production de riz depuis 1960 », a-t-il précisé devant la chambre des députés
L’objectif est donc d’atteindre le seuil de l’autosuffisance, soit 1 600 000 tonnes, a indiqué le DG de la SAED. .‘’Nous savons que le président de la République a injecté beaucoup d’argent au cours des trois dernières années afin d’arriver à cet objectif’’, a dit M. Ka, se félicitant de la présence massive du riz de la vallée dans les grandes surfaces dakaroises. Reste à convaincre la ménagère sénégalaise que le riz importé n’est pas forcément synonyme de meilleure qualité. Là c’est un autre débat.
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